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froids et humidss.
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Stettin, Oberwiek 22 Afloipb® WilitCr,
Supplément au journal de ce jour.
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Mes appnreils sont proteges par la los les ayant cnregistrés flans le modèle -registrepuis m^anis d'une
marquee de garantie ci-dessouis et leur force électriquc est caaminée au moycn das galvanoBuetre dilfércBiticl a
l'aigfiillc astatiqiae. §«ess opposition restreinte ils s'élèveist a flcgi'és et avcc line telle oppositioai de 10,000
unites de Siemens ils s'élèvent eaicore a öO degrés: e'est «en rés««ïtat apos «loneae ia. preuve la plsis brSiïante du
succes de mes appareils. Sj» concurrence ne les a pas atteints et aae ponrrait jamais les a«ttein«Bfl*e.
(Des dipluines sent anaoneés poiar l'Austriclie, la Hougrie, la Oelgiqaie, l'Angleterre et la France.
Protégés par la Bob contre Husita^ion en Allcmagnc et en ICussie.)
Gromberg pres dcLangheim
royaume de Wiirtemberg.
Monsieur!
Parceque les chaines
autiarthritiques, que vous
avez envoyée le 27. du
mois passéem'ont
rendu de si bons ser
vices et que les per-
sonnes qui portent
ces chaines se trou-
veut mieux de jour
en jour, on m'a de-
mande de faire
envoyer de nouveau
6 chaines par un
billet de poste.
Parrni les per-
sonnes guéries il y
a une icmme qui
souflfrait des crampcs
tous les jours de facon
quelle füt toute con
tractie. Depuis le jour
quelle porte cette cbaine,
ellcn'a jamais eu ces crampes.
Ellc vous fait beaucoup re-
mercier monsieur et dit que Dieu
vous eu recompense. Plus tard je
ferai venir plusieurs chaines.
Je suis avec beaucoup d'estime
Jean Pfitzer, conseiller municipal.
Muraszombai en Hongrie, le 15. Avril 1882.
Monsieur! 1
Je vous prie de m'envoyer encore un de vos
appareils antiarthritiques par un billet de poste.
Avec beaucoup d'estime je suis votre dévoué
Louis d'luftuslieh,
Royal président du tribunal.
Mürlitz pres d'Eilenburg,
province de Saxe.
Monsieur!
Un père d'une de mes
connaissances me de-
manda de faire envoyer
pour sa fille de 14 ans,
quisouifre longtemps
de l'cpilepsie, une
cliaine nntiarthri-
tique. Je vous en
demande avec d'au-
tant plus de plaisir,
comme ma propre
fille a été guérie
par vous. Elle
souffrait aussi des
crampes, qui ressem-
blent beaucoup 5.
1'épilepsie, mais depuis
qu'cllc porte uue chaïne
antiarthritiqueelle n'a
pas eu ces crampes uue
seule fois, aussi se porte-
t-elle beaucoup mieux.
Recevez mes meilleurs re-
merciments pour votre secoure et
ivoyez - moi bientöt une de ces
cliaines par un billet de poste.
Espérant l'avoir bienföt je suis
avec une consideration distinguée
votre trés dévoué
A. W. Schriller, chantre.
^Triest, Ie 3. Mai 1882.
Monsieur! JK#)
Je vous demande de m'envoyer encore deux
de vos appareils antiarthritiques; je vous eu
remercie d'avance.
Vlacld, professeur,
Via della Barriesa veccliia No. 11.
l'invention de mes
est a mes e-xpériences dejongues années dans les hópitaux militaires aussi bien qu'ü mon activité dans les deux dernières campagnes que je dois
!S nouveaux appareils antiarthritiques, que j'ai corrigés ct perfectionnés par des efforts incessants. Je peux bien dire qu'on les admire partout maintenant
-.1.. T.,..I 1.. O..;» 1., nl.mnrt /l«c molo/iinc vinnnonl <9o» IVfiiAlliail1. ('plili-i i «nilffra u fnrep i\f rafrnidiccamanfc ol rl'una via
crampes^ les membres froids et les blessures ©«ivertes. On sait que les médecins tachent souvent en vain de guérir ces maladies. Les'lettres
de remerciment ci-dessous vérifient les grands succès de mes appareils en toute sorte de maladies. Ces lettres ne sont qu'une petite partie de beaucoup de milliers, que
l'on m'envoie chaque année; ceux qui en prennent de l'intérêt, peuyent les voir. II n'y a pas assez de place ici pour les écrire toutes.
J'ai deposé 25,000 Mark en ellets (Werthpapiere) chez monsieur le notaire Brunnemann; sa signature est jointe ci-dessous. J'ai ordonné il monsieur le notaire
de donner 10,000 Mark k celui qui prouve qu'une de ces letlres est falsifiée ou imaginée par moi-mème.
Mes appareils perfectionnés sont composes de deux chaudrons et d'un mccanisme pour écarter l'humidité, qui causent immédiatement un agréable sentiment
accompagné d'un rechauffement. Quoique les frais soient augmentés juste au double par cette perfection, je vends mes appareils comme auparavant: 4 appareil a
Mark, 9 a 15 Mark et 5 a £5 Mark. Ma fabrique est organisée telle que je puisse elfectuer chaque commission immédiatement.
Mes appareils ne sont pas construits d'après le modèle de ces vieux machines de torture (les soi-disantes machines élecfcriques, les appareils d'induction etc.)
qui agitaient et faiblissaient d'unc maniëre cruelle les malades il y a 20 années; en quelques cas eet horrible expériment est encore employé dans nos jours.
Mes appareils sont plulöt des apprêts qui répandent l'éctricité coBitaBiiaellcfiBiciit et agréableuieiit flans les miificles et les Bierfs
dn corps el les mettent en état de faire leurs functions ordinaires L'appareil se porte facilement et Bie nons déraiigc pas flans nos occupations.
Je ferai une description de mon appareil pour ceux qui ne le connaissent pas. Celui-ei est en continuel mouvement comme une montre; si l'apparei) est mis au corps,
celui-ci dunne une chaleur dont l'appareil s'empare Tous les pores s'ouvrcnt quand l'appareil est mis et celui-ci est construit de manière a prendre toutes les évaporations
malsaiues. Ouand l'appareii est óté et quand il devient froid, il se vide de la matière malsaine.
Les petits enfants font plus facilement les flcitts en portant un de mes appareils; ils passent sur ce douleureux et même dangereux procés sans
que les parents s'apercoivent de grande chose et prospèrent visiblement. Ceux qui souffrent flc la gOBfltte et du rlliBBBBttfisilic se guérissent coup d'oeil; les
plns gB'ftndes doislciir* dniis la plupart des cas disparaissent imBBiédiatcaiBent ««pre» que l'appareil soit anis.
Si je voulais mettre profit mon invention, pour prendre des malades autant d'argent que possible, je pourrais mettre mon appareil en plusieurs parties, p. ex.
1) un chauffeur écartant la goutte, le rhumatisnie etc. et 2) une affaire pour faire venir plus facilement les dents chez les petits enfants.
Mais j'ai réuni cette vertu médicinale et j'avoue que mon appareil fera beaucoup d'effet k tous les membres d'une familie, s'ils le portent l'un après l'autre. Ainsi je con-
seille a chaque familie de se procurer un véritable appareil d'Adolphe Winter un, qui soit muni d'une marque de garantie. II ne serait pas bon de prêter eet
appareil des étrangers, puisqu'il ne faut pas porter a son corps ce qu'un autre employait avant. J'ajouterai chaque appareil une explication quant l'emploi, qui doit
être observée soigneusement. Je recommande tous ceux qui soulfrent-gravement el qui veulent ce guérir vite de prendre deux appareils, l'un pour la nuit, l'autre pour le
jour, afin pue Ia "cure électrique ne soit pas interrompue. Dc vleilles blcSSiiB'CS rhiiBftiatiq«ies, des liUïliv d'estomac, la dureté dc
roiiïc. la goiitte et «ine inilaniBnatioBi fles JCIIX sont nommés de graves inaux.
Je prie encore une fois de lire les lettres de remerciment ci-jointes que j'ai choisies de plusieurs milliers. On y voit que mes appareils sont demandés de
toute espèce de familie, on les a même commandés par centaines dans la méme commune. C'est la meilleure preuve de la solidité et de la réellité de ma fabrication.
Les lettres de remerciment sont écrites par des personnes qui out véritablement souffert et qui sont guéries par biiobi appareil. S'il y a
quelqu'un qui s'en méfie, ce qui est bien possible, je prie de faire envoyer de plus amples renseignements par ceux qui écrivaient les lettres. Si cela ne suffit pas encore,
j'envoie aussi volontiers 2 ou 3 attestations de prédieateurs, des maitres, d'officiers municipaux ou des maires, afin que chacun se convainque de la vérité.
J'envoie les appareils affranchis si Ton me paye d'avance, et pas affranchis par un billet de poste.
7 posscssciar dc labi'tquc, premier ct iiuique invente«ir des appareils
(jadis Invalidenstrasse 159). antiai'tliritiques perfectionnés ct fles scmclles élcctropatiqncs pont*
snetire dans la cbaiBSSiirc.te-
«tsmsitit&ntsK* -r'~"
A T* J'atteste ii monsieur Atlolplie Winter k Stettin^ qu'il a déposé chez moi des effets et de sürs documents de
OliilXXlij i-OijL J.hypothèques k la somme de £5,000 Mark. Dans son prospectus monsieur Ad. Winter a promis flO^OOO
Mark celui qui lui prouve une fraude ou une falsification des lettres de remerciment ou des certificats. Cette déposition est faite pour Ia süreté de celoi, qui veut
entrepreudre la preuve. La restitution de la süreté n'arrive qu'après on ait fait des avertissements au „Reichsanzeiger" huil jours d'avance.
Stettin, le 9. Noveinhre 1882. Charles Otto GuiUauiiie Brunnemann,
notaire royal dans Tarrondissement du tribunal a Stettin.
jl Des appareils, les chaines antiarthritiques etc. olferts d'autre part, sont faits de métaux non préparés et ont une fausse construction; ils ne possèdent
pas lc suOHBidrc coni'aBil élcclriqnc^ cc que chaque chimiste afiirmera. Ces offres ne sont que des imitations de ma fabrication, publiées
par ceux qui ont été occupés dans ma fabrique. Ma première invention, faite il y a bien des années, la grande réputution de mes appareils ainsi que Ia déposition chez
Mr. Ie notaire Brunnemann en sont une bonne garantie.
Je prie de faire attention au susdit firma.