IF La Commission dn régime Colonial eongolais. LA JOURNÉE. Conseil communal de Gand. Vaeherie St-Antoine. ™RSWLlan5,uveasntes Chronique locale et provinciale Bureau cental re t& g 0 O fe, PATMóTTE,. Charles Heidsieck FAITS DIVERS. SSkS"s?" 8'51WI tecnts devant Ie Seigneur noire Pieu, aimi qo'il no»1» I'a or.lonné (8). Priez done, mes Frêres. priez, le matin, priez, le soir priez avanl el aprèg vos repasmais, surlont, priez, le ditnanche. C'est la troieiéme recomtnandation que jc vous fais. Honorer Dleu et nous reconnaitro ses suje's. I.e Dimanche est Ie jour du repos et de la prière. Reposez, le septième jour, ros membres fatigués, c'est justice. Nul plus que nous n a applaudi A la loi qui a assuré A la plupart d'entre rous un jour hebdomadaire de repos nul ne souhaile plu3 ardemment que nous, de voir cette loi universellement appliquée et fidélcment observëc. Mai8 neprenez pasexclusivement votre repos dominical dans les délassemenls profanes, fussent-ils irréprochables. Le Dimanclie est par délinition, le jour du Seigneur. Qu'il le soit en rérité. Vcnez en foule, vcnez lous dans nos églises. Venez-y arec ros families soyez réunis sans distinction d'Age,ni dc classe, groupés autour du prétre, qui, A l'aulel, cliaque dimancbe célébre la messe, pour vous, a rotre intention. J'riez arec lui, préparez vous, méme, cc serail mon rif désir et, je lesais, l'espéranced'un grand nombrc d'entre rous, a chanter, en repondant au prétre, les louanges de Pieu. Ob! quel ravissant spectacle ce serail, mes Frcres, de vous voir faire rerivre dans nos églises ces temp3 heureux on les fidèles, dociles A la parole de Saint Paul, s'instrui- saient et s'exhortaient, les uns les autres en toule sagesse, par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques f spirituels, élevant leurs chants vers Dieu A plein coeur, sous l'inspiration de la gréce (9)Pourquoi ne repren- drions-nous pas les traditions religieuses auxquellcs sont resté? fidèles beaucoup de nos frèrescalholiques d'Alle- magne, qu'ont gardées plusieurs églises réforraées d'An- gleterre, et que Sa Saintelé Pie X vient de nous recom- mander avec de si paternelles instances Ia participation a:tive des fidèles aux olGces publics au moven du chant c illeclif? Com me il serail beau, mes Frêres, comme ce serail chose vivifijntc pour vos Ames, de vous entendre chanter et célébrer de tout voire coeurles louangesdu Seigneur (10) faire retcnlir les voüles de voire église paroissiale des accents de votre foi, Credo In Deum Putrem omnipotent au, Creatorem coeti et terra-, je crois en Dieu le Pére tout- puissant, C.réateur du ciel et de la tcrre.Au prétre qui vous e-i-» .n,inir-r Ua aar.imlions de vos cociirs ail-dcSSUS des intéréts et des jouissance terreslres, Surium Corda en haul les coeurs quelle joie ce serail de vous entendre répondre avec un clan unanime Nous les tenons levés cl orientés vers Dieu, nolre Malt re Souverain, habemus ad Dominum; puis, ratifiant I'appel A la reconnaissance que le prétre vous adresse, Gratias agamus Domino Deo nostro, chanter fièrement el grandement en chor-ur Digmimel just urn est, oili, il est noble et juste de le proclamer, nous bénissons pour tous ses bienfaits, le Seigneur notre Dieu. Ainsi préparé? tournet'vos regards vers le Ciel el A apprécier les dons que vous en avez recus, vous seriez plus étroilemenl unis au prétre lorsque, les mains élendues sur l'oflrande préporéepour le Sacrifice, il adresserait A Dieu Ie Pére, en votre nom, cette prière qui «late des commence ments de l'ére chrétienne Voici done, Seigneur, qu'en nolre nom et au nom de toule votre familie ici rassem- r blée, nous proleslons que nous voulons étre vos fidèles j aujetsnous avons confiance que vous voudrez nous accueillir miséricordieusernenl, nous faire passer en paix avec rous, tous les jours de notre vie, el, aprés cette vie, nous sauvef fle Ia damnation élernelle el nous accorder t une place au nombre des élus que vous liendrez groupés sous votre houlelte nous vous Ie demandons par Jésus- i Christ \otre Seigneur (H). Ef, tandis que le prétre, dans un recueillement profond, vous unirait ainsi a lui dans l'acle religieus por excellence, qu est le Sacrifice, vou» continueriez de faire écho auX angesdes cieux et les uns aux autres en acclamant Dieu Sanctus, Sanctus.Sanclns, Domhuis Deus Sabaoth, Vous: files Saint, vous files Saint, vous éles Saint, Seigneur, Dieu des milices celestes. Pleni sunt ca-li et terra gloria tuu, hosanna in cxcelsis, les cieux et la terre sontremplis de voire gioire, honneur a vous dans la 6iiblimitc des cicux flenedictus qui ven it in nomine. Domini, hosanna in excel8is. Béni soit celui qui vient parmi nousaunomdu Seigneur, honneur a Lui dans les hauteurs des cieux. Oui, mes Frêres, honneur au Christ Jésus qui a daigné descend re au milieu de nous, au nom du Seigneur; qui a daigné venir Iiabiler parmi nous a Bethléem, A Nazareth, au Ccn'acle a Gethsémam,au Golgotha; qui demeure avec nous, enfin, sur nos aulels et dans nos tabernacles, afin de nous apprendre, d un fa«;on Men plus siire et plus efiicace que ne peut le faire notre faible raisC!*. qui cat notre Pére celeste, comment nous devons nous souvC2ir dé hui, Le prier et l.'adorer. Car, nous espérons vousle monlrer bienlól, Jésus-Chrisl est f-1 >pip. 'a vérité et la vie (12). 22. Quelle? sonl les allocations de retraite oil autres accordées ;i des agpnts d'Afrique et d'Europe on A des prrsoanes élrangéres aux cadres des fonctionnaires 25. Quels sont les traitements et allocations dont jouit le personnel de l'Etat en Europe et en Afrique 21. Quel est le chlfTre des hommes enrolés a) dans Ia force publique Ij) dans la réserve Quels est lc nombre d'ofliciers et celui des sous-olliciers et caporaux u) blancs 6) noirs Quels sont les salaires des officiers el hommes de ces divrrses calégories 20. Les frontiéres de l'Etat sonl-elles fixées parlout Ouels sont les points sur lesquels les arrangements inter- nationaux resteraienl a faire 2(1.—Quelle est l'organisalion administrative de l'Etat, relative trnt a {'administration centrale qüe quant au per sonnel d'Afrique? 27. Quels sont les traitements et allocations du per sonnel de ('administration de Relgique Dc l'administra tion centrale de Boma? Quelle est la competence des divers departments de cette dernière administration? 28.Quelle est 1'organisatioD des districts? Nombre. résidence et attributions du personnel adminislratifcivil ou militaire, beige ou d'aulres nationalités Quels sonl les traitements et allocations attachés aux di verses fonctions 29. V a-l-il pour Ie personnel des allocations de retraite et quelle serail la charge qui en résullerail en cas de reprise 30. Quels sont les chefs indigenes reconnus, leurs attributions et leurs charges 31. Comment est compose le conseil supérieur Quelles sont ses attributions Combien de fois a-t- il siégé, soit en malière judiciaire, soit en maliére administrative Est-il supprimé par le projet de loi 32. Comment sont composés le tribunal de Boma ct le parquet y attaché? Combien d'affaires a-t-il jugé en malière civile ou en matièrc pénale 33. Oü y a-l-il des tribunaux de 1" instance Quelle est leur competence territoriale Quel est le personnel de ces tribunaux et de leur3 parquets 31. V a-l-il des conseils de guerre Quelle est leur competence Dcs zones spéciales sonl-elles soumises exclusivcmcnt A ce régime Kventuellement lesquelles 35. Quels sont les traitements de la magislrature aux divers degrés préindiqués 3C. Quelles sont les affaires civiles et spéciales aban- doneées A la compétence de la juridiclion indigene Les questions de M. Vandervelde sonl relatives aux billets de l'Etat, a la Caisse d'épargne au Domaine privé, au portefeuille, aux terres, aux cultures, a 1'hygifine. I.ES QUESTIONS DE M. BEERNAERT. oiei la lisle dc9 questions posées par 31. Beernaeri I. - Quelle est approxiinativemenl l'étenduen) du Domaine nationalilu Domaine de la Couronne r) de la partie du sol dont la propriélé e3t reconnueaux indi genes d) des lerriloires concedes a des sociélés, avec indi cations de celles-ci s Quelle est approxiinalivcment la population respec tive des divers domaines ci-dessws Quelle est l'importance des quanlilésd ivoire, du caoutchouc et du copal exporlées de ces divers domaines telle est l'étendue des plantations de café, de cacao, d'arbres ou Jjaoesi caoutchouc faites a) par l'Etat hi par des sociélés coöcê3?ionn?ircs ou des parliculiers i. Quels sont les imnieuble? apparlenanl a I'F.tal hors de son territoirfi ii. Quelles sont les mines n) exploited Paf b. par des parliculiers, el :i quelles conditions Quels permis de recherches onl été accordés 7. Quelle est l'importance des populations soumises en fait i l'administration de l'Etat .s. —Quelles sonl celles qui aequittent l'impól: a) en nr^enlnature. Dans ce dernier cas, sous quelle forme ouelle3 sont les valeurs ou objets mobiliers de toute nature qui appartiennent a l'Etat 10. Quel est le résullal des comples dcfioitifs de l'Etat pour les Vxercifes budgétaire9 de 1903 d 190f», a l'ordinnire ct a l'ex tra ordinaire? II. Quel est le jnonlani aeliiel de Ia dclleditede fondation 12.—Combien d'obligalions onl été émise6 en verlu du deewt du 7 février IKW Quel est Ie montant des obliga tions eo"circulation j-, Qu'elle e9t la composition actueüe du fonds de garantie 11. A-l-il été accordé des options sur lout ou parite des obligations non émiscs Lesquelles el d quelles conditions f l i. Quel est le montant de la detle, en vertu de l'eujprunt tie 1880 IC,. Quel est le montant de la dette, en verlu de l'eniprunl de 1893 17. Quel est le montant de la dette, en vertu dc I'empruntde 1901 18. Quel est Ic montant de la dette, cn vertu de I'empruntde 1901 19. Restc-t-il sur ces emprunts des émissions d faire Des options onl-ellcs été données r 20. Quel est le montant dc la dette indirecte ré9ultant dc la g3rintic d'intérél aeeordée a la Compagnie du cliemin de ter des Grands-Lacs Quelle eet la charge maxima qui peul en résulter pour la Belgique -21,— Quel est le montant des charges devantrésulief pour le Trésor eongolais de concessions récemment accor dées et spécialement de celle d'tin chemin de fer du Bas- Congo au Ka-Tanga? On nous écril do Bruxelles REUNION DE LA DROITE. La droilea lenu une longue reunion jeudi a 10 heures, présidée par.M. Scliol- laert, et qui s'esl prolongéc Jusque 1 h. 13. On y a discuté a nouveau les quatre points soulevés a propos de l'arlicle 2D de la loi sur les mines; pensions lavoirs-douches travail des femmes el des enfants limi tation de la journée de 8 heures. Le gouvernement a renouvelé ses declarations relalive- menlaux pensions. II acceple l'obligatoire corollaire mais pour lc bassin minier du Limbourg seulement. Quant aux questions qui concernent les lavoirs-douchcs et ie travail des femmes et des enfants, Ie gouvernement a dit qu'il laisserait liberté eomplèlc a la Charabre. Jlais sur Ia question de la limitation de la journée de huit heures, le gouvernement a mainlenu qu'il nc pouvail se Xflllier au< amendcmenls Introduits dans Ia ioi sur les mines. I1 l'aut atlen ire ld discussion des projets soumis en section centraie. MM. Ilellepulte, Mabille ct Verliaegen ont insislé eö faveur des amendements. MM. Francolte et de Smet de Naeyer ont riemandé a M.N erhaegen s il demandail la chute du cabinet. M. Verliaegen a répondu qu'il demandait une politique pluslargcment démocraliuue. 11 a suggérél'idée de recourira une séance plénière de la Droite pour élablir les nouvelles lignes de la politique générale a suivre d l'avenir. Le gouvernement ne s'est pas opposé a cette proposition mais il a insislé pour que la Droite ne poursuive pas irrédiieliblement ie vcb? (Jes amen- dements qu'il ne peut pas accepter. LE DROIT DE LICENCE. La Ligue nationale des Cafètiers el cabaretiers de Belgique ne désarme pas. Battue sur la question de la suppression du droit de licence, elle se remet a bataillcr en faveur d'une motlifica tion de ce droit. I'ar pétilioD, adressée aux députés el sénateurs, elle demandc a présent au gouvernement t" De continuer aux anciens débitants de boissons forte; la iouisb*nce privilege accordé par la loi du 19 aortt 1889 2° De diviser laux Bu droit de licence cn différentes classes, avec un maximuhT 'le 1W francg, selon l'impor tance du débit et de la commune, ou e8t 1 cerait injusle, disent-il8, de soumettre au méme tau.T "D Bran(l et petit débit dc boissons fortes) 3" De mellre dans une méme catégorie de débiffl nc boissons, tous les hotels, cafés ct cabarets. (8) Deut. VI, 623. 111) ColoSS. III, Ki. i tüi Eph. V, 19. .11) Liturgie du Canon de la Messe. 112) Joan. XIV, 0. LE GRAND CONCOURS DE PEINTURE pour le prix de Rome en 1997 est ouvert, conformémenl i l'arrélé royal-du 28juin 1889. Rappelons que tout artiste beige ou naluralisé peul étre admis a concourir, s'il n a pas alteint I'.ige de 3i nns le 31 dééembre 1907, J.e lauréal recoit, pendant (jualre années consécutives, une pension de voyage de ü,l)00 francs, pour compléter ses études l'étranger. Oijlre le grand prix, il peul étre décerné un secoml prix ct une mention honorable, Le second prix consisle en une médaille d'or (ft 'a valcur de 500 fran/ s il peul étre accordé en parlage, ainsi que la lealion honorable. --'nirc s'ouvrira A l'Académle royale l.econeours prepar... ,00, 77.7' i des beaux-arts d'Anvers, Ie lunu. fcVfier 7, A I u A-ctes ofïlciels. (Extraits du Moniteur.) ORDRE JUDICIAIRE. Sont nommés Vice-présidenl du tribunal de première instance de Courlrai, M. De llaerne, juge d ce tribunal .Inge au tribunal de première instance de Courlrai, M Soenen,avoeal .luges au tribunal de première instancede Liège: M. I'olain Bvocala Liége M. Thisquen,avocata Liège; Greflier de 13 justice de paix du ranton de N'evele, M. \'an Cuyck, employé au greffe du tribunal de commerce de Gand. Est désigné pour remnlir les fonctions de juge destruc tion prés le tribunal de premiere instance de Louvain, pendant un nouveau terme de trois ans, prenant cours le 9 février 1907,31. \'erbruggen, juge a ce tribunal. UNIVfiftSïTÉ DE GAND. 31. De Vreese, chargé de cours i Ia faC'Ué de philosophic el lettres, est chargé de faire lè couraje lanj:.'" liaioai)<l<i l'jcole apéeiale de eom- métee annexée l'université «c .;!'nd. MM. Nicolai et Cornet, chargés de cour#, sont aulorisés a prendre le litre de professeur a la méme école spéciale. 31. Lambert, inspecteur générol aux chemins de fer de l'Etat, est nommé membreeïu conseil de perfectionnement des études prés les écoles du génie civil et des arts et manu factures. ENSEIGNEMENT MOTEN. M1" Keym, professeur de dessin la section normale moyenne dc l'Elat 3 Bruxelles, est chargée, i titre définitif, de faire, dans eet établissement. Ie cours d'liistoire de l'art. Écoles normales. Mi:e Aubert, régenle a l'école normale primaire de l'Elat a Tournai est nommée en la méme qualité n l'.école normale primaire d,e l'Etat a Bruxelles. dominations ecclésiastiqiies. ARCHEVÉCHÉS DE MALINES. Sont nommés vicaires Perck, le rév. M. Janssen?, prétre au grand séminaire; a Jodoigne St-31édard, le rév. 31. Van Rov. Srélre au grand séminaire i Keerbergen, le révérend Wynants. prétre au grand séminaire? A Tlombeek, Ie rév. M. Dierckx, prétre au grand séminaire, Séance du 9 février. La séance est ouvcrle a li h. 40. M. BRAUN, bourg- mestre, preside. BL'DGET DES HOSPICES, continuation de lu discussion. M. FOUCAERT demande d'abord que les hospices aient assez d'égards pour les membres ignorant le franyais pour leur adresser leurs rapports en flamand il demande aussi que les membres un collége connaissanl le fiauiand, répondent en flamand aux questions qui leur sont ndres- séesen cette langue. Un mot maintemint A 31. De Weert qui jusqu'A 23 ans a passé sur les bancs de l'école, pour qu'il s'abslienne a l'avenir de si.jnoqiu r de ma personne dans-ses rapport?. Qu'il saclie qiiènéè l'Agc h"v,ix ans je fut levé A 4 heures du matin pour servir coniriir* entant de ebflnur A St-Bavon 011 je restais jusqu'A midi. 1,'aprés-iDidi jc pouvais fréquenter l'école des Erères, jusqu au jour ou je devais enlrer a la fabrique, cal-, chez moi il y avail beaucoup dc bouches a nourrir. L'orateur produil une stalislique d'après laquellc Gand paic le moins de toutes les villes pour les incurables 2 fr. par habitant ne parlez done pas des charges qui pésent sur les conlribuables gantois. II demande aussi l'augmentation des crédits pour les enfants faibles soignés A la campagne un crédit pour per- uiettrc aux convalescents sortanlde l'hépital de séiourner pendant quelque temjis a la campagne un crédit pour donner quelques centimes d argent de poclie anx vieillards, aveugles, etc., qui nesavent plus travaillcr. 31. Foucaert critique les adjudications des denrées alimentaire» (les prix sont génèralemenl trop has pour que les mardiandises soienl de bonne qualité) et la prépa- ralion des aüments a l'hospice des aveugles. F.ndepildu reglement, des pensionnaires des hospiees travaillenl dés 4 heures du matin. Venons-en A l'Höpital. Nos griefs eonlinucnt a exister, nous devons done rcnouveler nos iilainles. Les malades doivent se lever A i 1 2 heures, c'esl trop tót. On pourraits'arranger mieux les domestiques sont en general inaptesa soigner les malades, ils sont trop peu payés et ne restent pas longlemps. l'our transporter les femmes qui doivent subir une opéra- tion le préposé est un hommei| conviendrait de chercher deux fortes femmes. Quand 31. Bacrtsoen visite l'hónital, sa presence est aussitót signalée, et on arrange les cnoses de facon qu'il ne voie ni n'entendc rien. I n machiniste retraite ne jouit que de 180fr.de pen sion eommenl cela se fait-il l'our linir je defends A 31. De Wecrdt de se moquer encore dc moi dans ses rapports. M. DE WEERT. l'our déférer au désir de 31. Foucaert jeparlerai en flamand. Dc la part de 31. Lnmpcns j'ai été t'objct d une injure, la séance précédente -et aussi' cn d'aulres occasions, et de méme de la pari de 31. Foucaert. Je leur oi répondu que je prenais cette injure d*bii elle venait. .f'ai appelé des anecdotes les Fails que des femmes doivent prendre de? bains revélues de leur chemise, qu'un water-closet n'a pu fonctionner pendant des scmaines... M. FOUCAERT. C'est bien ainsi. M. DE WEERT. On a parlé de domestiques brutaux. M. FOUCAERT. Pas du lout. M. DE WEERT. Cela n'a pas été dit en 9éanee publique mnis en commission. Et le Bien Public a appelé les griefs dc 31M. Dampens et Foucaert des polins. M. lampens. II y a des journaux qui nous appellent des voleurs. M. DE WEERT. Moi pas. M, LAMPENS. Non, mais puisque vous citez un journal, vous pourriez lire aussi les citations que je signale. M. DE WEERT. J'en viens mnintenant aux critiques de 31. Siffer. Quoiqu'il en dise les biens des hospiees sont parfaileinent adminislrés. Que 31. Siffer prenne des infor mations auprès des curés, vicaires... M. DE HEMPTINNE... Sacristains (Ililarilé.) M. DE WEERT ...sacristains etc. Quant au Grand Béguinage, M. Siffer reproche aux hospiees de l'avoir délruilmais les Béguines nous ont quittés paree qu'elles ne voulaient pas payer une augmentation de lover. Aujourd'hui le Béguinage rnpporte 41,003 fr.alorsque les Béguines ne payaient que 18,01)0 fr. Le rapporteur afiinne ensuite que l'organisalion de l'hónital et autres services des hospiees fonciionnent a la perfection. Qn demande un hospice pour incurables; j'ai étudié la question, ct je suis arrivé A lp conclusion que le soin d'organiscr pareil hospice n'incombe pas aux hospiees. M. HEYNDERICKX. Si ce soin incomhe au Bureau de bicnfaisancc, je vous assure qu'il saura faire son devoir. Mais ce que yogs diles, que l'on renonce aux hospices, est A i'encontre dé leut ce qu ca enscigne. M DE WEERT. J>> vous passcrai mon elude, i'arrivc maintenanl aux injures dont M. Siffer a gralifié les mem bres de la Gommission des hospiees. Hommes honorables entre tous, les injuresde 31. Siffer ne les atleignent pas. M. G. VANDEN ttGHSttiiT.. .}e «lésire rentrcr dan3 l'examên de la question qui nou a jnlfii'esse lp pius ct qui dictera nos voles, savoir I'appracialion dg rayjs df Ia Gom mission des Hospiees sur ("application de Ia representation proportionnelle au sein dc la commission. Les conditions dans lesquelles se présente la discussion aelueile qc sonl nas ordmaires. Nous sommes lous du méme avis sur Ta question de Ig tripartite c\ sur cette méme iiuestion nous disculons dejniis deu? Jóurs. (ltires.) Tout Ie monde désapprotive la letlre «te la commission des ffospifie;. {I est vrai que ceHe-ci se dit peul-élre l'er- sonnc ne pensc comrqe r.iqi, done j'ai raison Molière faisoil dire A ses feniihps sovanjes Kul p'.r.;ra dp Gesprit, liors nous et nos amis Mais Aloliere dans une autre comédie a pris soin dc nous dire que ses fe.nmes snvanlcs étaient en méme temps des précieuscs ridicules. (Hilarifé ■4 drcite el A l'rxlréme-gauche). La Commission des 'Hospices ne yeul pas u na adminis trateur cfiiholique. Pourquoi'? Paree "que fióus sohinVci ilè» intolérants. La Commission des Hospices, elle, est... tolé rante et c'est Ie molifpou'r lequel eile pxclul impitoyable- ment tout administrateur qilt Dé parlage pas ses opinions. (Nouveaus rjres.) Ils'agit, vousle seveï, d'un procés de tendances el un des hommes les plus spirituels de nolre temps ,1 dit que, quand on failun procés de tendances on pourspit, (l'abord, les persoanes pcup les opinions qudies oni ct pqsuile pour celles qu'eUes n'oat pas. M. BA YENS. F.st-ce Molière qui a dit cela ftf. VaNPF.N BOSSCHE. Non, c'est Emile Faguet. Ne vous a l-on jajqais dit que Molière a vécu au dix-seplième siècle (Explosion d'hilarité.) 31 a is, pas plus que d'un calliolique, la conuniSö|on des Hospiees ne veul d'un Qdminislraleur radieo-spcialiste. A celui-ci on nedécerae |)K un brevet d'intolérance, mais on lui déeerne un brevet d'ineapacité administrative. Ce n'eat pas beaucoup plus flatteur. L'alliludede I? commission des Hosjiices est grotesque. Mais l'atlilude du collége e?t liutpilianle. Le collége est partisan de Is representation des minorités. II lp dit et Ie répète. II fait plaider cetle cause par 51. RaerlsóppMevpnl Ia commission des hospieesmois M. Bacrtsoen a affaire a trop forte parlie et 31. Hallier a gain de cause. El ce pauvre collége, dont Ia commission des hospiees, dans toule cette affaire, s'esl moqué plus que de c'imporle qui, n'a pas un mol d amefiiima, M. braun. Cette question de ta representation dps minorités est une question libre. Nous ne nous sentons pas humiliés. M. VANDEN BOSSCHE. Dilcs que vous senlez voire humiliation, mais que vous ne l'avouez nas. Ce qui aug- mente, d'ailleurs, le caractèrè humjüant c'e votre pttilmfe, e'est que, dans les apnarenccs tout au moins. elle est emprè;"1"'(luplicité. Vous présenlez des candidalsel vous ajoutez que VóUs préfércrifZ fn jirésenler d'aulres. Ne croye? -vpus pas que le public en fiónC-iürü Q'J? lou3 tes politiciens doctrinaires s'cnlendent comme Iarrons en fcnre (RiresJ. Un mat encore au sujet d'un argument juridique invoqué dans Ia lelire des Hospiees. Cette leltre reproclie au college (le se préoccuper des désirs du conseil dans la malière de la presentation des candidats en insistent sur ce que le droit de presentation du collége doil, d'après l'esprit de la loi, étre exercé librement el non sous une pression ëlran- gère, 31ais la Commission des Hospiees .-.-l elie yonlu faire une satire contre le collége Ou croil-elle vrainieni, que le collége jirésente des candidats dans sa pleinc imlépen- dance quand il nous «lil«j'aimerais mieux d'aulres candi dal?, mais la Commission «les Hospiees me defend de les présenter.» Le Collége qui pnrle ainsi écliappe A la pression du Conseil, mais il se place sous L dépentlance d'rine com mission suDordonnée.a la Commune Trés bien I trés bien a droite.) La manière de voir de la Commission est blAmée par tout Ie mondg. je rrgrctleque lc collége, qui parlage nolre avis sur Ie fond de la question, n'ajt pas le coqrage de s'alfranchir de Ia tutelle dans Ia(|uelle l'influenlo commis sion des HospiceS a décidi de le lenir. (l,ongue approbation a droite). m. CABJ^IER. Nous nous irouvon9 devant un parti- pris. Nous aurions po nous débarrasser des opposants en votant pour le second Candidal, mais c'est une luttede principes et noqs n'nvobs pas voulu recourir au^'pélii's rooyens. Le Collége, dit-il, vent Aonverlir la Commission par per suasion; mais si elle ne| se laisse pas persuader, nous resterons toujours au mérie jioint. Avec Ie procédé que le Collége a suivi, la dignilé lu Conseil disparait. Vousne voulez pas de gonfiits, dites-vous. La Commis- sjofi pourra démissi.onner.i'i un? admjntGtraüon neut faire «Li chantage, 011 aUóns-nous Vous'nous citez f'exemple de Bruxêi.w. Uais Hospiees comprennent aussi le Bureau de bienfaisance. nii. o[i Cependant la demission de la commission des hospiees de Bruxelles n'a amenéle mojndre gaclus, je suis parfaite- ment renseigné par 31 il. Leraontder et Delbastée. (.e dernier dit que les renseignemenls donnés a 31. Braun, et répétés par celui-ei au conseil communal, sont de Ia plus haute fanlaisie. ïnformez-rous et ajournons Ja question. M. SIFFER. Nolre collègue De Bruyne vient de «lire dans une interruption qu'il'nc veul plus voir des cnlho- liques dans le collége. 11 y a deux ans vous avez dit qu'aussi longlemps que nous n'avons pas notre representation au college la justice nc sera pas satisfaite. Jc répönds maintenanl a 31. De NV eert: jamais nous n'avons pu obtenir les pieces qui nou9 permettraient dc nous faire une idéc de la fortune des Hospiees. M. De NV eert lui-méme nepossède aucun élément. Quant au Grand Béguinage, M. De Weert, un esthète, approuve le vandalisme des hospiees. Qu'il s'informe auprès de M3I. De Vigneet«le Paul Frédéricq. Yenons-en aux injures que j'aurais adressée? aux membres de la commission des hospiees Je donne A 31. De Weert le démenti le plus formel, et je proleste eonlre ses insinua tions. II arrive A ehaqiie séanre que vos eollègues doivent vous rappeler A l'ordre, et vous adresser de dures véritës. D'ailleurs tors de voire rapport sur l'église de St-Paul, vous avez a voué ne pas eom prendre le mot «objeetif». |l y a tant de ehoses qu'il ne eomprend pas il vient toujour? de Gaeneghem (flilarité.) En somme, les hospiees onl un défenseur bien maladroit cn 31. De Weert. Je voudrais demandèr maintenanl A M. le Bourgmeslre quels arguments il a invoqués pour défendre la tripartite auprès «Je la commission des hospiees. Le public est avide de les eonnaitre, jusqu'ici il croit que ce sont les hospiees qui sont les maitres. Quant a 31. le Bourgmeslre il a Fair de se donner toutes les peinesdu raonaepour contentcr lotit Ie monde et nc blesser personne. M. DE BRUYNE répondant a M. Siffer, dit qu'il est toujours partisan de la tripartite mais sous condition e'est que les calholiques l'appliquenl partout, et que le9 hópitaux soient laïcisés; les catfioliques y ont déjatrop d'inlliienee. .Ie l'ai dit et je Ie répète il fa'ul faire le Moe anli-clerical, alor? seulement nous pourrons eonquérir les réformes que nous préconisons. M lampens. Nous n'avons jamais injuric 31.De Weert comme il le prétendmais il lui faut désapprendre de se moquer de nous. Je me demandc, si nous nc sont pas leurrés, pourquoi 31. lc Bourgmeslre prend-il toujours Ie parti Ue eeux qui nous combatlent. M. DE WEERT. Je mainliens que M. Siffer a attaqué Eersonnellement les membres de Ia commission des ospices. M. siffer proteste vivement. Une discussion violente et embrouillée s'engage entre 3131. Sifter et De Weert au sujet des lermes employés. 31. Siffer fait valoir que les termos et figures de rhétorique dont il s'est servi n'ont rien de blessant pour les membres de la commission des hospiees. Les radico-socialistes disent que c'esl bien ainsi. Enfi n l'incident est clos. M. eylenbosch fait connaitre qu'il est intervenu auprès des hospiees en faveur d'un enfant paralytique pour Ie faire admeltre dnns un hospice Aprês un an de démarches, les parents ont essuyé un refus, en termes grossiers. M. baudewyn. 11 fallait vous adresser au bureau de bienfaisance. M. EYLENBOSCH. La facon d'agir des employés est insupportable. M. baertsoen. 11 y a un mot que 31. Siffer ne eom prend pas, c'esl Ie mottolerance Les calholiques et les rcligieux comme tels sont intolé rants de par leur religion s'ils n étaient pas intolérants, ils ne scraient pas de bons calholiques. M. SIFFER. Comment est-il possible M. BAERTSOEN. C'est Ie catéchisme qui le dit. M. ANSEELE. Pourqoui laisser alors les religicux aux hospiees. C'est fort cela. M. BAERTSOEN. Paree qu'ils rendent de trés grands services méme paree qu'ils sonl religieux. J'aime A le recon- nailre comme les hospiees. Pour le fond de la question, je ne partagc pas ('opinion de la commission, mais faut-il pousser les choses jusqu'au conflil M. LAMPENS. C'est la lutte des classes. Unouvrierne pent enlrer A la commission des hospiees. Voila toute la question. M. BAERTSOEN. II ne faut pas étre nécessairement un ouvricr pour connaitre les besoins de la classe ouvrière; un bourgeois les connnii aussi. La Commission des Hospiees n'a cessé de réaliser des réformes les plus utiles, avant et aprés voire presence au Conseil. L'orateur donne lecture de la liste des ameliora tions effecluées, II (jail en disant que toujours les services de Phópila! ont été excellents les.orphelinais également J'ai obtcnu que la preparation des aliments fut améliorée, que les subsides pour l'entretien des vieillards fussent augmentëa. ft*. ANSEELE. Sur notre proposition. M. baertsoen. Sur la mienne, voyea lc bulletin communal. 31. Bar le reconnail. M. ANSEELE. Cela ne prouve rien. M. BAERTSOEN. 31. Foucaert a demandé oii en est la question'de l'augmentation. J'ai transmis votre dejua^de aux hospipps. La 'commission des hospicesdémr-nl rcrmellcmenl qu'il v ail desabus dans le transport dc? femmes opérées, les bains, etc. r?l. DRAWN. M. Cambicr propose i'ajourncmcnlc'est un moyen d'obslrue.tion. J'ai d'une personne auU»risée dc3 reaseignemrnis qui disent que la nouvelle commission briixelloisc fait gsft'r sur gaffe par cse.inple eile fail con- struirc lc pouve.l höpitalA JeJlc-St-l'ièrre A l encontre de l'avïs de tous les gehs sensés. KHe a rajsor,. BRAUN. Depuis que la nouvelle Commission fonc- liortnéj fl n'y a plus de places que pour les socialistes. iti. anseele. YoilJ Ie bout de l'qrfille. C'est un scan- dale un scaadnlc j in. cAmêier. Si les membres socialistes de la com mission sont assez influents pour ne faire nnn.ime? que uea socialistes, cela prouve en leur faveur. Quant a l liópital la Cqinmissioa n'a pris en consideration que l'intérèt des malades, qui est surlout d'élrc logés dans un milieu salubre. Jc propose l'ajournement a (puis, ni. BRAUFi. Je refuse de metlre aux voix la proposition de 31. Cambieri M. cambier. Si le président ne respecle pos lerègle- ment, nous n'ayons qu'a nous en aller. M. BHAUN. L'intérèt des liospioes que la com mission soit complélée Lc budget des hospiees est mis aux voix et rejeté par calholiques el socialistes contre libéraux. fin subside est yolé noijp le congrès archéologique et pour lés Breydtlszohec. La vente de l'irnmcuble de 3I'"e Niraise A Bruxelles est appiótiYée. La séance est levée a 10 h. 14 li. pris lettrs me9ures et battu Ie rappel. Quand les c anciens apprirent ce qui se passait il était trop tard.Les deux socia listes passèrent haul Ia main avec 80 voix contre 09. Les voyageurs se sont rappelé alors comment les socia listes ont accaparé, il y a 20 ans les mutualités ouvrières ct ils se dirent que si l'on n'y preud garde, on proposera un jour d'aflilier 1'Association des Voyageurs al'un ou l'autrc Bond socialiste et l'argent de la société servira pour l'organisation de quelque usine, filature, lissage, leinturerie, etc., que les hommes du parti révolulionnairc rêvent de eréer.L'Association a tenu les affreux '>cléricaux A distance, et elle a été surprise par les sceialisles. P. et A. BEYER,14,rue diguede Brabant, Gand.Pianos, Harmoniums, musique, Luthene. (1703) AU CASINO. A l'oceasion du Carnaval, le concert militaire du «limanchc 10 février, est contremandé, main celui du dimanche 17 février aura licu. (Communiq ié CARREAUX polis,CÏMENTS, Gand-Wondelghem, EDUUAIU) I'ICIIA, fils. Visitez jiöur consei's notre usine, Petit Dock, 138; rive opposée a PEntrepótEd. Picha 6 P. Vi'ombaut. (4036) LIGUE NATIONALE BELGE CONTRE LA TUBERCULOSE. Le Comité, organisateur de la grande féto. de charité qui sera donnée nu Casino, Ic dimanche 7 avril prochain, fait un appel pressant A Ia population afin qu'clle réserve un accueïl favorable aux instances qu' sont faites pour augmenter les ressources de Ia Ligue. Les cartes pour la brillanle festivilé qui se prépareet pour laquellc l'appui et Ia presence de toutes lo9 autorités et personnalitén seront sollicités, seront mis en vente dés la setnaine prochaine. les ÉTUDIANTS flamands catholiques de l'Univer sité de Gand, ont donné avant-hier au Landbouwershuis une fête artistique en l'honneur du poèteAlbert Rodenbach. Plusieurs poésies du regretté poéte llamand.mises en musi que par les premiers compositeurs de la Flandre, ont été exécutées avec le concours d'arlisles en renom. "Le R. M. Hugo Verriest, de l'Académie flamande, devaitretracer la carrière de l'écrivain. 11 s'est excusé au dernier moment empéché pour cause de maladie. 11 a été remplacé par 31. Van Poyvelde, professeur a l'Athénée. Chausmires qF Chaussnres «i Maison LOUIS Seule succursaleJ 44, rue de Flandre, 44. 11 (3946) LE STEAMER hermin A t de Ia firme Brabant et C°, de notre ville, qui fait le service hebdomadaire entre le port de Gand et celui de Rotterdam,a chaviré sous la pres 8ion des banquises entre Dordrecht et Rotterdam. L'équi- page a été sauvé. La cargaison était assurée, sauf toutefois un important chargement de glacés effectuéauSasde Gand ainsi que 1,300 sacs de farine. Tous autres détails fon défaut jusqu'a présent. Méthode BERLITZ 6, RUE DU SOLEIL, GAND. (3382 LE monument élevé la mémoire du comtf Oswald de Kerchovc,par lessociétés horticotes du pays. J'e comité a demandé l'aulorisation de le placer dans le square en face do la cathédrale,prèsde la Ranque nationale et du ChAtcau de Gérard le Diable. L'inauguration aura lieu en avril. TOUS LES OUVRIERS calholiques du bailment ont tenu en eommun une asscmblée dans la grande salie de la Ligue antisociatiste. La salles élait comble. Les syndicals des communes suburhaines étaient réprésentés. Après une disension a laquelle ont pris par MM. Van Quakebekect Gabriel, ainsi que lc président du syndicat des macons socialites, quia essayéde défendre la conduite «les socialiste» vivement blAmée par los precedents orateursd'assemblée a adopté a l'unaniniitó un ordre du jour exprimant sa salis faction de ce que la Chambre syndicale des entrepreneurs flit reoonnu lc syndicat Loon en Hecht et aitaccueilli ccrtaincs de ses revendicalions. Le bureau du syndicat a é(c ohargé par lc mème ordrfi du jour de faire des demarches pour que les aide-masons ohtieenent cette année une augmentation de 2 centimes A l'hcure el pour queles plafonneurs, terrassiersetcouvreura soienl compris dans l'augmentation décidée, LES etablss du cultivatcur Van den riende, A Hoogkameren, Sainl-NiCölfls onl été délruites complete m ent par lc feu, dans la journée de mercredi Les pompiers de St-Nicolas et ceux de la société Alaline? Tcrncuzen sc sonl rendus sur Ie9 licux, mais n'ont pu que circoqgcripe ie sinislre. Trois bétes ont été carbonisócs les autres ont pu étre sauvées. I! y a assurance. CERCLE D'ÉTUDES. La prochaine reunion du Gerede d'Études se tiendra au Cercle calliolique, le Ycndredi 8 Février, a 1/2 heures <Ju soir. Ordre du jour Ferdimnd Bvunetière, copférenpe pqr 31. Firmin Van den Roscli, subslilul du Propureur Génpral. 11, r. aux Vsche8, Gand. Instrijm., cordes, access. pianos, réparat. accordagc. (5896) L'ABBÉ DAENS A ALOST. On écril de Gand au journal socialiste Le Peuplc b L'abbé ijaens, malade, est aoluellf ment A Gand chejt sa socur et son beau-frère, M«' et 31. Delaforterie, ou il est alilé. (II s'agild'Alost el non de Gand) c S'ous nous y somnres rendu aftn d'avoir des renseigne menls de l'abbé méme sur la fameuse leltre de démission. Son élat de santé ne lui a permis de nous recevoir, mais }f. Delaforlprie, au nom de l'abbé, nous a confiriné la deci sion qu'il a prise et qui a ëlé rapporlée par tous les jour naux. L'abbé Daensne veul plu? étre président ni président d'honncur du parti démocratc-chrélien. n Sur line question que nous lui adressons au sujet de9 jnlenljqnsde l'abbé dans l'avenir, M, rhdaforleric s'absenjp un moment pour aller le consultor. Peu aprés, il revient avec cette declaration 4 L'abbé me prie de vous dirc qu'il est absolument décidé tie sp retire? de Ja vie politique. {J veut yiyrp dorenqvaiii en bon chrétien et cn pleine obëissancc covers son pvéque. Dés qu'il sera rétabli, il donnera des explications sur sa eonduile. grand PRIX. - F.xp. Liége, 11. VAN SF.VEREN-ENTE, St Nicolas. Drap. flot", bannières, étendarts, orn" d'églisc. UNE SURPRISE désagréable. II exislc en nolre ville une Association des Voyageurs de commerce société de secours mulucls en eas de maladies, d'acei- cjents, etc. File cqmptc prés dp mille memtorc pt pfissède un capital de 78,000 fr. i,a société menait son existence trés paisiblcmenl, el il faut le dire les membres sc sou- ciaient assez peu des reunions. La société est libérale, les catholiques n'y ont rien A dire. Cependant les élément9 libéraux ayancps ontréussiège faire agréer. Ces jourf-ci uDe ékcljon avail lieu pour deux membres du bureau. Sans bruit, Irs sccialistes gvajent Kj. MARIAGE. Nous apprenons Ie yqayiage de iq baronne Anne-Marie de Rélhunp, fjlje du baron de Bcthunp, membre de la Chambre desïeprés'entants, r.yec le vieomté Joseph de Biolley, Bi borax Oriental est un dési Dfectant pur ct sain, a GRENOBLE, Ie premier présideht de Ia cour il'nppel, M. Pailhe. se remlait ,a palais (!p iuslioe lor8,™ lont a coup ,1 sallaissa M8y uf pi,,s nk,^ Un appflc paui cpnslaler le tlÉpés a dilclaré qpoje maeislrat !:'e W d'pne copgeslion ,»oyoquée par le froi^J Aufómobiles Panhard-Levassor, - ConcessionDaires exclusifs pour la Belgique; li. rue du Alagistrat, Bruxelles. I'ièces de rechange el atelier special Paohard. MORT DU GENERAL TOM-POUCE. Une dépóche de VYellingfon, dans I'Ktat de Soramersel (Etats- l nis,) annonce la mort. en cette ville, du général Tom- Pouce, dc son vrai nom Richard Garnscy. Garnsey, qui était né en (852, avail dó A sa taille exiguë dedisputcrau premier général Ton-Pouce, le fameus ChgrlcsStratlon, lancé par Barnum, la reputation d'etre \'e plus petit aain du gobe. La suprématie de cedernier était 'oulefois restée indiscuiéejusqu'Asa mort suvepue en 1879, Depuis lors, Richard Garnscy,son aipé d'environ treize ana, avail pu héritcr A la fjp dn aom ct dcla vogue de son prédé- cesscur. LUCERNA. Chocolat au lait suisae. G aid con cours phmle fr. 400,000 de prix, ATTENTAT MYSTÉRIEUX CONTRE LE FILS DE Ï.'EX-ROI MILAN DE SERBIE. On mande de Constantinople le 6 février On sail qu'aprèa l'assassinat du roi Alexandre de Serbie. il ne restail pius de la race des Obrenowilch qu'un fils nature! de l'ex-roi Milan, qu'il avait cu de Lhristitsch. hps ngrlisfinc de Pancrenne dynastie avaient, dés la mort d'Alexandre, reconnu eet enfant comme j rétendant éven- tuel a la couronne de Serbie or, hier soir, Gorges Chrjs"- JilBch a été attaqué dans les rues de l'éra ct frappé d'utj coup de poignard. Lc c.qup a été amorti par Ie portefeuille qqe porlajt lèfffsde Milan,et Ia blessure a été Insignifiante. Les uns prétendent que Georges Christitscha été victime d'une méprise; d'aulres que l'attentat n'a eq que lc vql pour mobile; mais nombre degen9 groient que c'est A Belgrade, A la cour du roi p.ierre, qu'il faut chercher le? organisateurs du meurlre.

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Le Bien Public | 1907 | | pagina 2