CHEVROLET BGVRIL Avis Petit ccBur en peine. vorrace a notre voiture, CHRONIQUE DE LA MODE l'été nous parait deux fois plus long De beaux légumes en abondance jl'LLETIN DÜ TEMPS Chronique Agricole. Thédtres et Cinémas. DentinoL TflCHES DE ROUSSEUft Crème S FEUILLETON DB LA LIBRE BELGIQUH da 4 iuillei 1027 par H.-J. MAGOG Pourtant. celui-lè, nluo cue tout au tre. aurait dü litre cuirassé contre de tellea impressions. Un demi-million! Une misère aux yeux du milliardaire Fred Dollar, vênu en personne en- caisser un cheque... ohl tout petit chèque. simplement sa monnaie de poche, histoire d'écorner un peu la lettre de crédit qu'il possédait sur l'établissement. Ce n'est qu'une première visite pour faire connaissance. avait-il dit au caissier en riant de toutes ses dents. Je reviendrai... et ce sera plus aérieux. A votre service, avalt rlposté le caissier, en lui retoumant son sou- rlre. Pourquoi done eet hom me si riche, •tul aurait pu. s'il en avait éprouvó aérieux désir. s'offrir la fantaisie d'encaisser lui-même des millions, contemplait-il avec de pareils yeux la bénéficiaire du «ros lot? Mais. après tout, ce n'était peut- Mre pas le demi-million qui l'éhlouis- ialt C'était peut-être la chevelure «l'or de Simone Estéran. de l'or en core. mais de l'or tel qu'aucune mine, <*t partant aucune bannue, n'en au- pu fournir ft Fred Dollar. II semblait vraiment ne plu9 pou- v.dr s'arracher k cette contempla tion. rleureusement, Simone ne s'en I— LA LIBRE EELGIOlUE beaucoup de venir seule accomplir Ie hall. i! s'avanca pour dépasser la et sa main, qui tenait la menotte de percevait pas. Son embarras, sa ti- Tidité en eussent été considérable- le caissier. mont accrues. 11 lui en coütait déiiuune décision. Traversant rapidement cette ennuyeuse démarche! Mais Mo Castairne. retenu par ses affaires, n'avaii pu 1'accompacmer et il lui avait bien fallu se résoudre venir seule. Seule. pas tout fait. puisque sa petite Pierrette lui sen-ait de garde du corps. Elle n'était pas timide, la petite Pierrette. Personne ne lui fa- Et puis, l'excellent notaire avait sait peur. pris soin de stvler la veuve. de lui préciser ce qu'elle devrait faire. II suffisait de suivre ses conseils. D une voix hésitante.qui sortait dïf- ficilement de sa gorge c^ntractée. Si- monne Estéran expliqua^ Je ne veux pas toucher... Je dé- sire laisser l'argcnt en dépöt. Le caissier redoubla d'arnabilité. Fort bien. madame... Nous al- lons faire le nécessaire. On vous dé- livrera un recu... Mais. quel genre de dépöt?... Vous. comptez sans doute placer la sorume? Et vous'êtes fixée sur le choix des valours?*» Simone s'effara... Oh! pas du tout... Je n'v entends, rien... Ün vieil ami s'en occupera dans quelques lours... •Paternel, le caissier répondit A votre trró, madame. Les fonds resteront k votre disposition. II griffona diverses paperasscs, fit signer Mme Estéran ici et li et lui rendit un récépissé qu'il accorti- pagna du plus gracieux de ses sou- rires. Volei, madame. Ouand vous vou- drez... Tout k votre service. Ils échangèrent des saluts. et Si monne Estéran se retira, entraïnóo nar sa fille qui avait héte de babil- lcr. C'est fini. maman?... On est ri ches! Alors Fred Dollar, qui avait ptten- du a I'écart la fin du colloque avec parut soudain prendre euve. puis revenant sur ses pas. il d'enfant. naraissait devenue dc glaU la croisa, en la fixant avec une in-1 Cela dura quelques secondes, seu 'nnno mii n'Aloi» ntc m.UUi.i. |fmen( QUtflqUfB SftCOndeS. pilis. c'" 1 doei Les chapeaux de plein été. «.Vanme chaque année. lorsque I'on est eté, tv-us voyona la floraison des cha- (.v.jji plu» grands: canotiere, capelines, ü«>»rchw» et oloches qui viennent douce- sueot oinbrager le visage et le gardor des guenr* du soleit. L* paille est coüteuse, pourtant le *iilf-®son 4 gros tressage, que l'on ver- i.ii «4 laqué, se voit avec fréquence. On ie porto, mrtout, dans les colons foncés, óoir et marine, c'est dans le canotier a calotte haute a bords plats qu'il 6e ren- tontre !e plus souventon le gamit peu, va rubeu de gros grain de la rnéine cou- Joitr que le paillasson bande la passé et '•4 -oei» 3» chevaJ sur le bord. accompagner una robe trèe estlvale, aetto grande oapellne de pallia bankou gre- V-o Hit et gtrnit. de rubane grègei. se Vpeli tea te tont souples en den- hn'»- n taffetas tendu, en crê- »o o. vee des dessous en fnse- lis d'étroite o>i telle de Valenciennes, les bonis rout él -gis de coté et troussés d«irièro.ün les garnit de tleurs de mous seline posée® en cache-peigne ou troussé «rrière donnant un genre gracieueement Louis XVI ou bien les fleurs se poeent en oeinture de passé au pied de la calot te lorsque ce sont de petites oorolles. Los grosses tleurs se piquent en avant ou du coté droit, assez haut comme on le fe- *eü o une oocarde. •Tun charme Jeune, oetts forma an pa lila fine croqpöo en pil» el garnla de fleure en taffetai ot panne. Beaucoup de coiffanta d'été adoptent le erin, le crinol, les transparents tissus tressés dont le trébaïa auquel on don- ne .de fort joiie» teintes et des elfets de dessins en tresage trés agróables, avec jeux de damiere, d'écossais, de carrelés an deux colorij, et même trois parfois. Pour accompagner les robes d'orgamli, de mousseline# et de voiles imprimés et, plu» 6implement les petites robes de cre tonne tleurie et de toile de Jony on porta la capeline de tissu assorti et" ten- fa, partois bordée d'une étroite bande fe tulle ou de dentelle. On ne garnit resque point ces chapeaux de plein air ui sieront surtout aux jeunes tillee et aux trés jeunes femmes. Un tour de ra- ban noué h la calotte suttit amplement. Ce qui domine toujours, d'une manière générale, pour les tenues de tout aller, de voyage et de sport* c'est le teutre on le voit, en cloches et en calots en tous les colons .accompagné a peu prés toutes les sortes de toilettes. II est trèo habille dans le noir, la marine, le biscuit et le gris perle. Les calots sont des cloches de chapeau «ans bords que l'on porte trés enfoncê sur la tête, certains sont tayonivés comme des bonnets de dogaresses vénétiennes ou des capuche® moyenagouses, des bonnets d'archcr du XV siècle. Le calot so découpe fréquemmeno suivant Ie mouvement d'aro des sourcils et ménage uno pointe en avant, il se borde d'une ganse cirée au d'un gros grain, d'un galon plafr, en me.-l. A cer tains vieage, cette coiffure originale est trés seyante. I^e calot descend aussi en deux ailes platos sur les oreilles et ce6 deux anses se oouvrent do plumes col- lée8 ou d'une cocarde de rubans, d'une corolle plate. On revoit beaucoup les tleurs sur les coiffants et on pique, volontiers. sur la robe h l'épaule ou au devant du gilet uno fleur assortie i celles qui pareflt Ie chapeau. Ces fleurs sont blanches sur tout, c'est ie camelia, la rose moderne, qui dominent. On les fait de peau et de teutre et sans teuillagq iistance qui n'était pas du mcilleur ROÜL Muis on peut être milliardaire et manquer de tAct aussi bien que d'é- dueatlon. II parut ce jour-lè que c'était le cas de Fred Dollar. Mme Estéran avancait. répondant distraitement au babillaee de Pier rotte. Elle avait héte de quitter l'éta blissement trop vaste, trop sonore, trop empli dc tinternonts et d'allées et vennes de gens affalrés. au milieu desquels la jeune veuve ne sentalt plus frêle et plus timide. Ses veux bi-baissés évitaient les regards. Mais il en est k l'insistance des quels on ne snurait se dérober: il en est que les ieunes femmes blondes ou brunes, rousses ou chftthlnes, trop seules, trop faibles et trop tristes.par- ce qu'aucune protection ne les rassu re. sentent peser sur elles: 11 en est qui les attirent comme le regard du serpent attire et fascine l'oiselet pal pitant Ainsi en fut-il du regard de Fred Dollar. A travers ses paupières bais- sócs, Simone Estéran le sentit, et il lui sembla qu'une forc^ inconnue 1'obligeait k relever ses paupières.Scs yeux croisèrcnt ceux'du milliardaire: un brtf tremblement l'acita. et pen dant une longue «minute ses prunel ies, virant énerdument. fixèrent k leur tour l'insolent. Sous ce regard volontaire, incapable de continuer k avancer. elle s'immobilisa. Etonné. la petite Pierrette leva la tête vers sa mère - Qu'cst-ce que tu as. maman? viens!... Mais Simone ne répondit pas. et sa phvsionomic, tout il coup fermée, ét ran ge. fixc. effrava presque l'en- fant. Oh! s'exclama-t-eHe. Ouel drole d'air tu as!... Maman!... Réponds-moi, maman!... La mère ne semblait pas entendre, mone Estéran. détournant enfin les yeux. d'un air parfaitcment naturel et indifférent, raprit sa marche. niais sans rénondre aux questions de Pier rette. Vraiment. c'était une tansfor- mation compli Absente, 1 es Tr*» allurS cs petit chapeau fa?on cloche fait en paille bleu clair et travaillt d'ap- pllcatlons de teutre bleu eombre. Les calottes de tous les c-npeaux s® font souples et travaülées de nervuree disposées en are de droite k gauche ou de devant en arrière, des phs et des pi- chenettea mouvementent enoore ios ca lottes. On garnit trés en hauteur sur les oreilles. On utilisera lo.s vieux fonds de chapeaux pour en faire des calots, 1'ar rangement en est facile: on enlève les bords. on borde la calotte et on la garnit d'un bandeau de ruban froncó disposé en are de gauohe en droite en passant par dessus. Beaucoup de chapeaux en diadème aussi portent leur bord en haut de ia calotte en un trés cuneux mouvement. Naturellement oe sont lè originalitóe qui vont h des physionomies particuliè- res, le bon ton demands que pour être certainement bien ooiffée on s'en tienno aux formes classiques, auxquelles I'oeii eet habitué. Les garnitures de plumes se revoient en minoehes, en courtes aigrettes, elles sont trèa discrete® et trés jolies. Papiers Peints d'Art MAURICE VRYDAGH .il0 11-13, rue des Plerres, Bmxellea Odol est le premier et (Brovetés s.U.IhO.) Guérlsondel'Asthma, Tuberculose. Rhumatlsme.Nerrr- Cmur Artérlosclérose, Maux de téte, Suruité' Bourdonncm jnts, etc. Prix i-.'lo i l.Txi fr' et pius. Mou tranformateur do l'alr InsDiró guerit la coquelucbe en une beur 06 Ir Visite, et brochure giatulto. S. Wijnberg' 147. rue du Midi, Bruxeilos. 7846A Restaurants POCGARDl VINS RENOMMES O Bd des Itallens et Carei reno-n-ii^cf. 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La tempórature étalt ce matln de 13 de- ,grés A Paria, Copenhague. Oslo. Berne Utrecht, 14 4 Londi Stockholm et Berlin. Barometre ion. o MB/758 4mm. Temiiérature maximum I606. Température minimum ïzoo. Humldllé 97. Eau rectielllle smms. Direction du rent O.S.O. Décllnalson mSgnétlque ïooM" onest. Haute mer Ot'ende, 5 09 et 15.27 h Bruxellea. l<s A BES0IN8 DES SOLS EN ENGRAIS EAUX DE DRAINAGE CULTURE DE LA TOMATE L'Académie des Sciences <ie l'aris fait oonuait-re une nouvelle méthode pour dé- terminer si les sols ont oesoin d'ongrais azotés ou potassiques. Pour l'azote on opère sur 30 gr. de sol. maintcnu a 1 humidité de 30 p. o. et obandonné 14 jours a la nitniication. Après ce temps on prépare l'extrait par l'action de 100 cm3 d'eau distillée pen dant une heure et, sur -50 cm3, on dose l'azote nitrique suivant une methode ca- lorimétriqiie élaborée pour les sol® agn- eoles. La comparaison des réaultats four- nis par l'analyse microchimique nveo ceux d'essais en plein champ, a montré la néceesité de détermtner spécialement, potir chaque espèce de plantes de grande culture, la proportion limité d'azote ni trique ou de potasse qui indique si le sol a besoin ou non d'engrais azotó ou potassique. D'après les expénence* fai- tes, la teneur en azote mtrique au-dea- 6ous de laqueüe on peut prévotr un effefc favorable de ('application des engrais azotés est pour certaine* ol»nt«« «aroma suit Bettorave sncrtèrej ttö 20 mgr. Orge 22 k 28 mgr. Avoine 20 mgr., d'arote par kg. de terre séchée it l'air hbre. Quant au bosom «n engrais potassique des solo agricoles, 1'Académie revalue par une méthode calorimétrique spéciale, en indiquant les valeurs limites pour cha que piante d'une manière analogue a la précédente. Les sols présentant une te neur en potasse soluble a 1'eau supérieu re h 37 mgr. par Icr- de terre söcfit3e a l'air libre, n'ont guère été sensibles a l'addition des ehgrais potassiques dans la culture de la botterave a sucre. Le* neurs limites cherchées o®* erge: 10 k 20 mgr. Avoine: 13 a 19 mgr. Pommes de terre: 25 mgr., par kg. de terre séchée a Pair libre. Otte méthode nouvelle permet de dê- terminer, par une voie biocbimique sim ple et rapide, le besoin de» «ol« agrionl en engrai* artificiels, Des experiences ont été fat tas od Alle- magne sur la mesure et la composition des eaux de drainage. Cet important tra vail ne peut pas ctre résumé en quelques lignes, 11 doit être consulté dans lo texte in extenso et peut servir d'exemple. 11 contient de nombreux tabloaux de résul- tats. voir les i Landwirtschaftliche Jahr- bticher de Berlin, qui donnent- la des cription de cases de végétation dispoeees pour permettre de recueillir les eaux d'infiltration. Cases de 2 m. sur 2 m. cte maoonnerie, contenant une couche da terre de 1 m. 10 reposant sur une töie perforée et nu-dessous do laquelle un fond disposé en entonnoir recuellle les eaux d'infiltration. Un conduit envois ces eaux dans un récipient qui permet de les mesurer. Ce récipient est placé dans une cave. Deux rnngées de 5 Iysimètres, ainsi constitués, plu® une case servant de plnviomèlre, forment l'ensemble du dis- positif d'oxpérionce. Ces cases ont été remplies do terrains différents. On a expérimenté de 1906 a 1918 en meeurant et analysant les eaux d'infil tration recueillies dans des conditions va- riées de turn ure et avee diverses plantes. Voioi quelqnes-nnes des données con- cernant 4 culture® principales: pommes de terre, avoine, maïs, betternve fourrv gère, faites sur ics différents sols en ex perience, tels qu'il sont résumés pnr Ie Bulletin de l'Institut international d'ngricnltnre auquel noii6 empruntons en les analysant ces diverses articles Sols placés dans les divers lysimètree: I et II (tourbo)III et IV (sable glai- 8eux faiblement humiière aveo sous-sol de sable glaiseux avec marne)V et VI (sol composé de sable jaune); VII et- VI IT o! S.lhle clftlr lArr5r«Tr>nn+ nlAi.. esorii nilleurs, elle n'en avancait das molns avec une décision qui conlrastait avec son allure hési- tante et timide de tout k l'heure. On cöt dit aue la jeune femme muette et froirie qui sortait du Crédit Natio nal n'était pas. fo'était plus celle qui v était entrée. Effrayée. déconcertée. Pierrette «e taisait aussi et suivnit sa mère en retenant des larmes qui picotaient le bord de ses gri nds veux Pourquoi done se sentait-elle tout coup pareille envie de pleurer? Elle naurait su le dire. Derrière la rière et l enfanL Fred Dollar avait quitté k son tour l'éta blissement de c édit II lea suivait i distance. Tirant la peti e fille qui trottlnalt le plus vite quelle pouvait. Simone Estéran avancait d'un pas automa- tique. Ses veux regardaient droit de vant elle. dans lo vague, sans s'inté- resser k rien. 0 1 eüt dit qu'elle était en proic k une idéé fixe, qui I'absor- bait au point d<i la rendre étrangère k tout ce qui Feitourait. Mais elle ne rtarchait point au ha- sard, car elle se dirigoa vers les ar cades de l'avenuft de la Gare et pé- 'nétra dans une patisserie k la mode rendez-vous des mondaine?. Mme Estéran avec uno décision qui ne lui était poi it nabltuelle, alia droit k une tab'.® libre et s'y assi avec sa fille. Depuis l'entrée dans ce lieu fééri- que, pnradis de Ia gourmandise. le chagrin do Pierrette s'était envolé. C'était bien la première fois que pa reille aubaine lui arrivait Aussi dé- L vorait-elle des veux les assiettes dc'pondait d'une voix blanchi bnlias et d'éclairs. les choux A Ia cré- mais lointainc. ma;s avec u me. los tartcs. les cakes, dont l'odeur té vraiment extraordinaire alléchant» arrivait jusqu'a ses nari-j vait-elio remctlre A m place eet in nes. connu qui se pennettalt do s'instai Vous nermettez, madame? (Ier h sa fabio avec un saus géne in Devant la taiiie qu'occupait la jeu- qualifiuMe? Et si sa tiniidité s'v op ne feninie une silhouette ?e dressait, I posait. elie aurait pu tout au moiiu Mai* Mmo Kstéran ne boucea pa«ï Illc dit seulement. sans quittor daa 'i'ux le uiilliandnire Fois sage. llerrette. On ne ti Kind pas sur ce ton. F.t Fred Dollar, toujours souriant il avait portant Fureille fine et de- celle de Fred Dollar ontré derrièr>- ne pas répondre. se lover et quittervait avoir entendu la phrase cïrucho •die. Trés l'aise. il attira une chaise la pAtissorie avec sa fillette. téc par 'enfant appala duo gesta et s'cssit en face do Simone. Puis il1 I-a petite Pierrette l'rftt sulvle sans uo» servante. en dlsnnt IfrérefnonL dit en se découvrant et en s'incli-récriininer. malgré les gateaux. De- Nc la gronde* paa. madame... C« mint, mais sans quitter des veux Ja j puis l'entrée en scène de Frod Dollar.j n'ast qu'uu tout r»etit caivnce qui veuve pé'rifiée. ses yeux avaient abandonné les ns rasser» onapd arriveront les bnltaa. Je me nomme Fred Dollar. Vous siettes, les compotiers et toisaient et nous n'en devi ndrone pas moin» plairnit-il. madame, de me dire qui l'intrus avec une expression d'antipa une paire d'atnls. n'e»t-ce pas. ma pe- l ai l'honneur do saltier. thic. tlte demoiselle! A la grande stupeur de sa fille. si Mais. vlsiblemenL Fred Dollar do-1 La table se couvrait de frinndisaa: en oublait les gA- rninait Simone. En SR préscnce, eile'l'appcl du milliardaire avait f.itt sm»- n'était plus qu'une frtle petite cliose gir des servantes empresséas qut alW sans volonté. g«»ieiit devant Pierrette les pètis»«- Toulours souriant. il prononcn ries les plus ten tantes. Ouello fêt» Vous me pei niette/., madame, c'eöt été pour la pauvre enfanL d'offrir queictues gateaux k cette dé- licieuse fillette? Je n'en veux pas' cria auasltöt la petite Pierrette, en lancant A Fred des regards courroucés. Puls. suiidssant lo bras de sa mère: Allons-nqus-en, maman... Je n'aime pas le monsieur, lui chuchota- 5ntor!oouoé qu' teaux. Mme Estéran répondit. avec uno légère Inclinaison de tête Je suis madame veuve Estéran. Et ce charmant baby est le v<V ire? Comment s'appelle-t-elle. Pierrette... Elle n'a pas de aaeur? pa« de frère? Aucun... Le millierdaire. durant ce auestion- ire plutót indiscret. faisr.it l'aima- ble. tandis que Simone Estéran ré- tout autre cireonstance! Mais voilé, les facon de Fred DoV Jar ne lui allaient décidément pa». F.lle répondit fièrement en le flint du regard Non!... (A Wtn et sur la oompositi )n des eaux de dralna- E0- Des essais ont *16 falts en Allemagne relativement b la -ouverture du sol avec du papier pour la culture de la tomato. L© papier goudr mné avait opè de mil limetre d'épaisseur et le pnpier aaphal- té 1,5 vnlm. Los rendemonts ont été augmentés nofableroent dans les paree los couvertea de papier. Ainsi la pnroelle témoin a donné 221.6 kg.avec le papier goudronné on a ©btenn 244,8 kg avqc le papier asphalté '271,2 kg., pendant la période ddn 16 aoüt nn 80 septem^re. CONCOURS AGRICOLE REGIONNAL A FLERON Le Cornice do Fléron organieo aroo la collaboration dea Cornices de la région herbagère et du Cornice d iiupen, un grand concours agricole regional qui se tiendra a Fléron, les 'bmancbe et lundl 7 et 8 aoüt procfiain. tl «st réservé exclnsivement aux éle- veurs do la region herbagère et oompren- dra les catégories ci-aprcs 1. Concours réservé aux espècea oheva- llne, bovine, porcine et ovine; 2. Concours de bétail tracé et insent, aveo U «ollahoration dn syndicat d'éle- vage; 3. Exposition et concours d'avicultnre 4. Exposition de machines et instru ments agricoles. 5. Bons et longs nervicaa 6. Exposition et concours d'horticnl- ture cfc du Coin de torre; 7. Economie sociale. 8. Demonstration de chien* policiera. Nombreuses primes en ospèces, médail les. diplömes et objets d'art, pour une va leur de plus de 15.000 franc». Les demandpfl d'insérip»-*"" goor les conrftrn u'Hnlmaux s'eront reques jus- qu au 25 jnillet courant ehoa !e seorétal- re, M. Henri Petit, h Kefcinne. MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE Cexportation de France de bouvlllons, taurilons et génisses peut s'effectuer aetUAllaroent Bans licence. GRATIS et franco brochtires «nr ma ladies des 1. Pigeons; 2. Poules, 3. pa' - i Be,tai1» ain^i que prospectus sur 1 Aviol et le Lapinex Ie sauveur desjapms, sur demande aux Laboratoires 2me sect., 1, place do Ia 8667. Dotnicent, Bonrse, Bru.xelïes. 4 Julllet h- !/2- Thé&tre mtniatur* (muslque, chants et dans-s) ?eau 8 h' V2' Rb1»- POX-IES-BBROE2RE.— 8 h. 1/4 ?OÜR KtQQR A TWTTq XJTT ItTlTDI 4 JinXXiBV - 506 a. 50, 5i L „r i"1 par l orchestn. L-airt'o Caus»rie par if. Jcnn Néllg: vi l «J"UX aveu*le» Par la coc lération» MuLien3'^onuCg[o.d0nné Par 'e: ArtJ»le« (M. Henri Took). (chant) (DelTAcquaV (Mllo Van der Mass). 8. Second solo (vloion) (LénarC). ui p.. u. -n- 22 U. Informations da presse. Paris. Poste de CUchr. X,7to ysx. ogh«.sK5i^ De 12 h. 30 k 14 h. De 16 h. 45 4 17 h. au Causerie rtójjor Devlgne. Cauger!e do 0< Hcnftar. - Vllï (sol: sable clair légèrement glai seux, pativre en humus; sous-sol: saDle légèrement glaieeux); IX et X (sol: glaise sableuse jnune, pativre en humus; 1# h. ue sous-sol: glaiso sableuse jaune). Ren»ci«nomeVnts°cólon"aujc Ces sols ont laiss i.ltrer, en 325 jours 20, h. SO, L'Amour Tzigane aróretta d'observntion, sons fnmure: I et 11: 1 13 p. o. de la plnie tombée; III ot IV TTïT' 7Z V' T" t' 458 M®trea, SM V. c.; V et VI: 44,1 p. c.VII et de ?a fc^me? an*lftJ8; la (Numéros imparirs aveo numéro® pairs G^nVaU^erAudjffur^de4^ 1'^aa1°cluiu'n "E.'XS.U le. rOcolter ét,it plo. Jr""' élovecs. i| y a en une infiltration plus fmble qn en sol non fumé: la diminution eet fle l'ordre de 5 p. o. de la quantité totale do pluie tombée. Au point de vue de la compos...on chi miqtie des eaux, on a trouvé: pour l'azo te, uno quantité tonjonrs plus faihle sous les sols ftimés quo sous le® sols non f in nés nour la potasse, au contraire, un® quantité presque toujour® trés supérieure dans les eaux de sols tumés; pour la chaux. constamment moins dans les eaux de.* so!« fnméspour In mngnésio, moins dans les eaux des sols fumé», sauf pour les VII et VIII; pour le chlore, 4 part la tourbo, uno plus grando quan tité dan® les eaux de sols fumé»; potir 1 ande sulfuriqne, même observation que pour le chloro (I et II). An point dc vu® des cultures on re- marque qu'elles so Tangent comme suit par ordre des exigences déoroissantas cn eauavoine. nomntcs de terre, betternve. maïe. Sou* l'avoine, il ne filtrnit qu'une -ès faible proportion d'esu do pluie. La composition des eaux de drainage ctiet 1 lies ®n sol fumé et non fumé. pour res cultures et pour rhnque témóin non cnltivé. a donné lieu h de trés nomhreu- scs détermination» dune faqon nette: 1. I rxigenrrs de® plantes; 2. L'influ- enee des variétés des sols 3. L'inflnenc© enornin *i,r qunrfité d'eon filtr'- COUPE NET MauxaaDents J.4MAIM EXIGEZ lo VRAI -3 Ir. 04> T"» pharmacies I VIEIL uil ARGUNT lllrillanls.l'erlts Kenseign. - v« aill" IMals av' devend" I voye» MAXIMA |6. rue de la Collim- achéte et palc les tplue haut® prix Cclanje- Einertlsss Vélo» Main d'Or. Motttat, J.-B. Lonvet, course sur tubes, 950 francs. Vól» Kiamer.eours. 1/2 course, rou tién-s. hommes et dames. 875 francs 100 ir. a la livrais. et 40 Ir, lesm'suiv. Prióre d'indiquei notn, prénom, uge, profession.adreese, n» de la cr-* d'iden- tité et dep» quand v» ha hl to* la com mune. a4921 U\m 6EDR8ES i-a o.rao Haute BRUXELLKS dl«?«rlllo» rzpide et certalcc par U -IRIS» looffentlrt «t irréxbla Prlx fO fr. 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L'été est devenu réellemenf deux fois aussi long pour nous, paree que notre Chevrolet a, comme par enchancement, vaincu 1c temps et l'cspace. Laissez Chevrolet douhler vos heures de' plalsir et conquhrlr la distance d votre gr* PRIXi Coach - Fr. 31.790 Sedan «si 54.835 1 Cabriolet m 4^,500 jme pr.eu Indut Poitr votre facUitê, Je distributeur régional arrangera U paUment diffiré par Vintermédiare de la General Motors Acceptance Corporation La fier té de posséder tme telle voiture est la diffêrence subtile qui sépare la Chevrolet des autres voitures de bas pris GENERAL MOTORS CONTINENTAL SA. ANVERS v SANDWICH Etandez simplement un pen de B O V H I L entre deux tranches de pain beurré. Vous ave* certaine ment du BOVRÏL dans la malson. I'unr le l'iijue-IXiqne ct le 1 oynge c'est SAVOUREUX et RECONFORTANT 11 ne prend pas de place dans votre panier et no demando qu'une minute de preparation. I'élicieut après Ie hnin on k moto. 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Rosamond Johnston et Tay lor Gordon. 21 h., Bulletin du temps. De 21 h. 35 A 23 h., Abraham Lin coln pièce de John Drinkwater (clnq scènes). DAVÏHTBT, 1,600 mètres. Dc 13 h. A 23 h., voir Londrea. De 22 h. k 24 h,, Muslque de dnnse*. BOLLAHDE.Hilversum. 1,050 m. 15 h. 10, Sénnee fémlnlne. 18 h. 40. Séance enfantfne. 19 h. 66. Concert du Kursaal de Scheve- n lagen. POUR la bonne patisserie a domi cile, rien no rurpissse la bonne farlne et la Poudre BORWICK. renv- plapan', la levure. La phte monte oomme vous l'espórlca. Les gAteaux ot autres bonnes ohoses fultes de cette manière ne craquent nl ne dessèohent) Us *ar- dent leur douoeur et la frsloheur Juequ'au moment oil la ramlUs dé- slre les manger. Note* bien 1 BONNE PLE1NE FERINE ET POUDRE :i4h4-FW9ü'A Demande» A votre éploler ou au dépètla brochure gratuite -Recet tes culinaire* - C* BOVRIL, 39c, r.du Lombard, BruxoL 22 h. 15, Variétés. -•OME. 450 Ciètros. ■n.2ü- V,.10, Concert muslque russe. 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Pour permettre h tons les amateurs de jarninage de oultlver aveo snceèa toua les 1 légumes, nous arons composé suivant la formule do M. Gilleken», Ingénieur et Chroniqueur agricole bien connu, un x>roduitqui est cette nourriture convenable; il a'appelle la Légumlne Glllekens Qu'est-ce-que la Lógumine Gilleken» »T La Légumlne Glllekens peut être eon- sidérée comme la nourriture indispensa ble k la croissance normale des légu: Comment employer la a Lógumine Gilleken» C'est trés simple. II suffit de l'ajouter A l'cau d'arrosage ou de la répaudre sur la terre en auivant les Indications rensei- elle contient en effet,''suivant l'espèce quo 1 Knóoaaur chaqne pa<;uet. Après quelques l'on desire cultiver, tons les élémentsJ"urs» remarqueres combien tos nécessaires 4 leur plein développomcnt. j légumes seront devonos plus verte et bleutót vons aurcz la satisfaction de Ier La Légumlne Gilleken» spécia- 'lement préporée pour chaque espèce de légumes, se venei purtont au 'prix de 6 frs le paquet de 30 doses. voir croitre d'une fafon inespérée. Specifies bien Légumlne Gilleken» et mentionnez pour quel genre de légumes vous désircz 1'employeri GARANTIE Achctez un paquet de Légumlne Gille- i Ponr évltcr tout sbus, il ne sera rem- kens et si après avoir utllisé Ia moitié de I bourse qu'un scul paquet A uno mém# eon contenu. vous n'avea pa® obtenu les 'personne et k une même t.dres»e. résultats désirés, renvoye* A la Muison Nous ne foltons oucan envoi contre rem- Louis Sanders lo restant du paquet, les hóursement, toute commar.de dolt ttrt accnm- l*a etablissement» 1. 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La Libre Belgique | 1927 | | pagina 5