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tout démoralisa:,;ea par les atroces dè-
I mangeaisons plus spïc(alem-nt torturan-
tte» pendant la nulL Bonton.» rouges ou
I bla.-u s d'acné, piagu-s eczèznateubea dt-
parent désagrteblement la personne qui
en est affltgfe. I>e larges placards d'éry-
jthènie sont un algnc ularmant, ainsi que
iTberpès récidivant. l'urticalrs. La malade
jdolt 4 tout prix chasser de son sang les
germes de mort qu'il véhtcule dans 1'or-
Iganlsme, au lieu do répandre partout la
I vie column e'est son réle. Dlsons-le tout
de suite, e'est let que dolt tmniédlatement
Sntervenir la puin-ante méthode de Iü.
chelet. seule capable de chasaer Irrévocm-
blement tous les poisons du ssng. Sous
son action A la foia subtile et énerglque.
la peau se trouve vtte et compiètement
débarra»36e de touts manifestation Impor
tune. mème dsns lea cas chron qu-s de fu-
ronculose (clous) de psoriasis, de syco
sis. de prurU-o, d herpès A répétltlon. Tou
ts tracu en dlsparalt pour toujoursv paree
que le traltement Rlchelet ogit pur l'ln-
térleur. La mêine ralson fait qu'll sèche
rapldement ces vieux mnux de Jambes, ln-
termlnables, mals destlnécs A se voUUllser
dis quo lo vice sanguln sera éllmlnó. co
qui est 1'affalre du trclternent KlcheleL
Loraque la plaie se complique de varices,
comme c'est la règle. ou quand les var.,
ces existent seules. le mirne traltement
J dégorge A fond ces grosses velnes mol-
s lasses, et du coup. supprlme la pbléblte,
qnl grcfslt toute la Jambe comme un po-
teau télégraphlque. Disparalsse.it au»»,
les petltes enflures des chevUIea, msr-
chant généraiement do pair r.vec un en-
Korgemvnt des reins. Les malades atteints
de mal de dos. avec ou sans albumlnerle.
ont des bourdonnernents. des verttges. un
Rffaiblissement do la mémolre (surtout
'cello des noms propres). des secousses su
moment de B'endormir. des ernmpes dan»
les Jambes, qui s'engourdlssenL Tous ces
symptémes révèlent vno grave maladle
générale des artèrea qui s'lncrustent de
plaques calcaires. df-venant dure» el cas-
santes. Comme cetté terrible artério-solé-
rose s'accompagne d'une menaqante élé.
vation de la tension artérielle, le casur
risque de falbllr. ou un valseeau peut
brlser dans le cervsau. Ne lalssons pas
lts chofcis on arrlver A co degré. ct. par
des cures sagemynt jirévewtlv-s de Péi'U-
rattf Rlchelet. purgeons notre sang. tS
mo. ns A cliaque changement de salsos»
des i—Jnutabl-s pollons, capables d'lncrus®
ter toute* nos srtères.
Cesl. en effet. su moment de «etts
transformation de la nature que la rècl-
dlV(
de i
i rhumatlsmaies awrtlt générale
1 arthrltlque qu il est prudent de se dé'.l-
vrer d'un a:(e d'aclde urlque. N'est-U pas
plus sage cncure, avant den étre IA. de
recour.r A te v rol drainage du sarg qu'est
la «rectifications sanguine de Richelett
N'OUbllex pas que la c»uj« de leus les
phcnomène» douloureux réslde dans le
tang dont les polsons accumolés enflam-
rnent les nerts. La migraine, les diversen
névraIgles, les fluxions «rtlculalres, les
douleurs osseuses mémea sont dues A
l'enipolsonncrnent ssnguln. et c'est pour,
quol le Dépurstlf Rlohelet constlfuo 1«
»cule euro tatlonnelle et vérllablement ef-
flcace d>- toutc» ces misères arthrlUques.
11 est une autre rlctime du seng A qui
Ia méthode Jü'helet apporte désonnelS
la possib.llté d'une vis rxempte de souf-
f re nee; etst la ft-mme. A toutes lee p4-
rloo. .*o sen existence, mals avec plus de
brutallté au retour d'Age. la femme est
tourmentée par le sang. Aussl les per-
sonnes uvertles n at'.endent-eliee pna 0 4-
tre clout'cs sur le lit ou la chaise longuei
ellc!» aldent leur sang A se placer, tiles
le d.sclpllnent sévèrement. dès qu'll ma
nifeste pur des sensations anormalcs (pa.
eanteurs. tlralllements. souvent troubles
d'cstomac. nausées. bouffées de chaleur)
ses tendances ansrcblques. Cest einsl
qu'une femme soucleuse de son avenlr
peut et dolt. grAce su Dépurstlf Rlchelet.
rntner une vie active et gofiter le bon-
heur méme A un rr ment oü d'habltude
Ia femme w. contidérée comme amolu-
drie dsns ses forces et fa vlullté. Au eet
navons-nous pas lleu d'êtr* surprls de
voir malntunant le Dfpuratif Rlchelet r4-
gncr sans conteete dans tous les Inté-
parfout oü 11 y a de» arthritiques
ouptlr. des
isng et de
A protégér. des ertères A a-uouplir. dei
prédlspositlons morbides du seng et d«
le eouffrance A eupprimer.
Le Dépuratlf Riclielrt se trouve dens
toutes le» pharmacies du monde entier,
maJs le» rersonnes qui déslrent des rer».
seignemrnts complén.eiitnlres p--uvei9
écrlrc directement A il.L Rlchelet. de Se»
dan.pbsrmaclen de lre clesse.enclen Inter
ne des liépltaux de FariMH.rue de Bel
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500 REFERENCES
Commune de Grand-Meuii
LUXI'IMHOUIIG
Le mnrdl 19 Juillet 1927. A 1 heura de re-
levée, 4 la matsen communale. A Grand-
ménil. le collége échevinal procédcra A le
location publlque pour 9 années du
sur les proprfétés de la commune, de le
Commission d'asststance publlque ct de la
fabrlque d'église (environ 550 hectares),
dl vléés cn six lots.
Chaff trés glboyeuse s cerfs, sangUer*.
chcvrculls. llèvrcs. etc.
Joulssance ouverture 1928.
Demander affiche détalllée A M. I^cart.
AlterLsecrètalro communal Grendménll.
8361
ORDRE OU JOU* I
1. Approbation du blian et dn
profit» ot pertos;
3. Décharge aux administrateurs et coxo.
1 bso 1 res;
3. Nominations statui»Ires:
4. Communications dlv-rses.
I'our ssslster A la séaure. MM. lea '.y
tlcnnaires sont ptiés d* se conofrn»-
l'artlcle 22 d"s statuts. 63*.
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du matln, parvis Salnt-Gllles. chausaéo
do Waterloo, A la vente Judlclalre de meu-
bles et effets saisis étant notamment
Machine 4 éenre Unlversel avecp.
Machine 4 écrlre Unterwcod avoo table
•t chaise; un mobUier de bureau en thé.
une; une chalso longue, tapis, glacé, poéle
foyer; un xuoblUer de chambro A ooucher
en chéne sculpté; au comptant sans frals
pour les acheteurs. 8004
L'assemblée générale ordinaire aum lleu
le 12 Juillet 1927. A 1 heuro, A la Calsse
Générale de Reports et de DépéU, rue des
Colonies, 11, A Bruxelies.
ORDRE DU JOU* I
1. Rapport des Uquldateurs st du oom-
2. Presentation du bilan et du compte
de profits et pene»;
3. Nomination d un commlssalre;
Dépèt des litres au plus tard le 2 Juillet
1927
A Bruxelies ft la Calsse Générale de
Reports et de Dépéts;
A Xdége ii
Au
Procuration A remettre A la Calsse Gé
nérale de Reports et de Dépéts au plus
tard le 9 Juillet 1927.
Le bilan ct ses annexés sont A la d!»-
V<-1 dre. l"10? <"e ®»n llvre de cuisln®:
ports et de DépétA a Bruxelies. a390 niamtenant je ne puis plus me rap-
'pcler ce oue i'ai mis sur le feu!...
lit. tu vols comme tu es dé«>
gréable! Voilé que tu m'as fait pen-
chcz nuage destrUGteiCÏ tnfailüUe dc mouche». momtiqueg,
nuage destruateicf tn/ailüUt d« moutfhe«, moustique»,
mitcs, punaises^'
puces, poux,. fourmis,
c af arde, guêpec.
Le FLY-TOX. Dépèl pour Is BELGIQUE
- 163, Ruo Joordan BRUXELLES
FEUILLETON
DE L/\ LIHHE BELGIOUE
du 4 juillot 1927
par Paul SAMY.
Jacques, débarraaeé de sa j et de
Bés chausaures, s ciigagea sur Ie revers
de pierre. II allait atteindre la vanne du
milieu quand de grands cris retentirent.
lie viens! Kevienel criaiént les ingé
nieurs, les valines inontent.
C'était trop tard. Les deux vannes su-
JxSrieuree s'ouvraient rapiüement, entraï-
nées dans leur mouvement ascensionnel
par loe dynamos, et une éne. .nr- cascace
de cinquante mètres cubes par 6econdj
Be précipita d'une hauteur de -ix metres
sur Laurat qui disparut dar-= la ma&-<-
d'eau qui descendait en avalanche jus
qu au lit de la rivière coulant cinquan
te mètres plu* bas dans la plame.
l'our les cainarado» de Lm;demeu
yés 4 l'abri a quelques mètres «le la, ot
qui assistaient unpuireants h ce drame
rapide, le jeune ingénieur était perdu.Un
rotronverait. 6on corps, broyé Bans donte,
dans le large baesin inférieur, oü se per-
da'cnt les eaux du barrage npaisées.
Hativenient, iU remontèrent pour re-
cherchcr les ca uses de l accident. D.,v
jes ouvrier« témoine de la som.aine raise
en marche des vannos, s'êtaiout précipi
tés vers la guórite oü se trouvaient
coiumondea des motcurs.
Trpis commutateure avaient été doe-
cendus dans leur» contacts. lis les relo-
vèrent et les dynamos b'arrêtèrent, ii
trop tard.
Que 8'était-il pae6é? I^s ingénieurs se
le demandaient a leur tour.
11 paraissait impossible que les trois
interrupteurs fussent tombés a la tois
eous le poids de leurs [«oignées. lxturs
tourchettcB les retenaient soudement et
il avait tallu un effort pour amener 'a
broche jtisqu'au contact.
Tandis qu'ils oxaminment le mécapis
me qui avait déclenché la marche des
nioteurs et, par clle, la montée des van-
nes, des ouvriere travaillant 4 l'endi-
guement du bassin intérieur de la Croti-
se, se jntaient 4 l'eau et en ramenaient
Ie corps tie Lnurat qui vivait encore.
Son sang-froid l'avait sauve. Excellent
nageur. il n'avait pas opposé de résistan-
ce au flot qui l'emportait, et. parvenu
dans le bassin, il avait pu, malgré 13
brutaiité de !a chute, se maintomr sur
reau et s'npjirocher de la rive oü on
l'avait recueilli.
II s'était sauvé de l'asphyxic, mais les
membres fatigués, les nerte rompus par
la violence do !a descente, l'organisme
cbranlé par lo froid subit de l'avnlanche,
il restait inerte, respirnnt a peine.
I^g ouvriers hélèrent du secours et.
I'ayant placé sur un brancard destiné
au transport dos pierres. le remontèren'
par la route ju^qu'au village <1 Jbguzon.
a I'hótol de» ingenieur», ou reux-ci, avi
sca de la découvert® de leur camarade,
accoururent, anxieux de son état.
Lo médeciu de la station, prévenu. ju-
gea le cas assez grave pour que la 1 amine
de l'ingénieur fut avortie, ce dont se
chargea aussitöt un de see anus.
On craignait les complications d'uno
congestion, le froid ayant saisi Laura1"»
une heure 4 peine après son déjeuner,
et le rnalade qui nvait repris difficile-
ment connaissance, so plaignait par ges
tes de douleurs internes.
Cependant, au premier examen, il ne
parut pas qu'il y eüt aucune léaiOB. II
était même étonnant que dans cette chu-
te violente et précipitée, Laurat ne se
füt pas enssé les bra« ou lee jambes.
11 avait dü son salut au saut direct
qu'il avait fait a travers la cataract®
dans le bassin inférieur trés profond 4
l'endroit oü il recevait les eaux du bar
rage.
Cette plongée avait araorti la chute
et, entrainé entre deux eaux, i,aurnt
avait pu reesortir plus loin, hors des re
mous formés par Ia gigantesque cascade.
Quoique saisi en pleine digestion, il
put nager encore un moment et s'appro-
cher aascz prés de la rive peur qu'onTai-
dat 4 l'nttcindre.
Ces explications, Laurat devait le«
donner plus tard, quand, après une nui*
que sa mere et le docteur Daillot ppssè-
rent dans l'inqniétude a son chevet. on
constata une amelioration céphalalgiqnc
et la diminution de la fiérre qui faisait
craindre nne congcftion cér< .ale.
i»a viguoreuse s.-.nté du malade Ie sau-
vait de Tissue fatale qu'on redoutait et.
dans la matmée dn lendemain, il poQvait
se souvenir et raconter briévement les
rapides pénpéties de son accident.
IFaiqident, il n'en n'était plus ques
tion poiir les ingénieur®, qui chcrchèrta'.
auasitók les causes de la marche soudaino
des moteurs.
Bei.le, une main criminollo avait pu
produire oette marche air moment pre
cis o i Laurat so trouvait sous lee van
nes -In barrage.
L» t ouvriers témoins do accident
n'avzier.t tu personne pént»rer dans la
guérjte de direction. Ü6 étaient, pour la
plu;>nrt, penchés pour suivre curieus-
meuB le travail des in^nieura.
H y avait, d'ailleurs, le long du barra
ge, un va-et-viont de travailleurs occupés
a bdtonner le terre-plein, et aucun
d'oux, pris par sa besogne, n avait vu
quelqu'un entrer dans le poste ouvert 4
tont veuant.
Uoinment trouver le coupablo au mi
lieu de cette foule compose© d'éléments
étrangers pour la plnpart?
II no taiiait pas de doute. cependant.
q ie l'auteur de l'attentat devait suivre
d en haut le« mouvement des ingénieurs,
et surtout celui de Laurat, puisque
l avalanche s'était produite quand ce der
nier devait scul subir la masse énor
me.
C'était done lui qu'on avait voulu at-
teindre. Pour quel motif? I»cs ingénieurs
et les contremaitres se Ie domanlaient
Une vengeance d'ouvriersP ns étaient
tous nnanimcs a vanter sa douceur et 3a
famihère direction.
Ktait-ce 1 ceuvre de quslques énergu-
ménee de l'anarcfue, comme il e'en gli»
se dans toutes les corporations ourrières,
rocrut'.s un peu partout et venus de tou,
les points du monde?
1! n'y avait pas d'autro explication a
cettrnme qui, fort houreueeinent, n'avait
pa« de suites mortelles.
L'attentat crimincl n'cn subsistait pa®
moras, et lo maire d'hlguzon, aviso par
l'ingénieur eV chef, prévint lo parquet
do La Chatro qui arnva le lendemain
inatin sur les lieux.
Le procureur et son substitut, qu'ac-
compagnait un commissaire de police,
firent aussitöt Jeur erqnéte eur place,
de grand matin, avant le commencement
des travaux.
On recut Ia déposition des ingénieurs,
on fit l'appel ordinaire des ouvriers )iv~
crits sur lo registre d'enrólemente. Un
soul y manquait et ne fut pas rctrouvC.
C'était un Espagnol rorté sur le livre
sous lo nom d'Oliviera Rabanee origraai-
re de Barcelone.
Cette disparition parut suspecte In
terrog®, le contremaltre qui avait engagë
l'Eepagnol répondit que re dernier poese-
dait des papiers cn règle.
11 s'était présenté 4 l'uxine il y avait
une donr.aine de jour», ainsi qn en témoi-
fnaiont lo registre d'inscriptions, ct on
avait employé comme terrassier au ter-
re-plein du barrage.
II parlait l'espagnol et s'exprimait dit
fieilement en francais, c qui n était pns
un erapèehement pour la besogne rudi
mentaire qu'il devait accomplir.
Trarsillait-ii hier matin? demanda
le procureur.
11 était k l'appel du matin, répon
dit le contremaltre.
L a-ton vu dans ie courant de la
/ournée d hier?
Quelques ouvriere do I'équipo 4 laquel-
lo appartenait l'lupagnol, déolarèreut
qu'on l'avait aperqu a la reprise du tra
vail de i'apréa-nndi.
donnèrent son aignalement: grand,
le teint basané, la figure sans bar be.
Faitea-vous un appel du eoirP de
manda le magistral.
Uela r.e nous paralt pas nécessaire,
répondit l'ingénienr en chef qui avait 'a
I direction générale des travaux. Ce n'eet
qu'au dóbut <!e la jonrnée,. tomme main
tenant, que nous nous aesurous do la
présence des ouvriers qui, lo roste du
temps trnvnilient sous la surveillance des
contremaitrce.
De sorte qu'il n". ayau» répondu
4 l'appel du matin, s'enfuir son sttentat i
accompli. II a dix-.vpt heures d'avance I
I sur non« ct il a protité toute la nuitder-
mère des trains montanta et descon-
danta. Jo vai« le signaler de suite 4 «a
brigade mobile de Chateauroux et 4 a
Siireté de Paris qui avisera, conclut Ie
procureur. En attendant, lAitea ferme-
votre pobfe de moteurs. ous ave* com-
mis la plus grave imprudence en le tais-
sant 4 la merci du premier venti.
Cast par nn oxceptionncl haaard, I
répondit l'ingénieur, qu'on a -sit co--e
vérification des rannc*. Sans cela leur
mise en marche n'aurait eu d'autre im
portance qu'une porto d'eau san» cooao-
quei
ce malfaiteur d'exécnter son attentat.
M. Laurat le connaiasait-i!
Jo pu* répondro pour luicerUina
ment non. 11 n'a sous sea ordres qu'une
équipe de techniciena qui travaillent aux
turbines.
Alora il faut écsrter le motif d*
vengeance personnel!® P
Abeolument.
Votre collégue n'eet pas, m'a-t-o*j
déclaré, dans la possibility de répoudm
4 mes questions.
lx- docteur Daillot, son cousin, ye-
nu de Par-A j< ur le soigner ,poum vous
renseigner si SI. Lnurat est en état és
subir un ïntcrroTatoire. Mais il ne vouf
ré|»éterait que ce que je vous ai dit, j'el
suis sur.
1m procureur n'insista pas ct repnt
cheinia do La Chatro dans J'sutcmobilS
qui l'avait conduit 4 Eguton.
Mme Lsnrst ,el!e. no quittaii pas sul
fils quo Ie 'iocteur I)ail! >t ao gnait avis
l'affer tion <l'un frère.
Eh bien, vieuxlui dsmaad* lo dei-
tcur «lan» I'après-midi. alori one IautiK
sortsit d'un sommeil tranquille. <,a va-
t-U?
Micux, je Ie sons, xvj»>ndit Jaoqies
en tendont Ia main 4 son cousm, tan Us
so penchait p<4
Marthe aait?
or. Est-ce quo
Certainement, dit Mme Laars*,
maïs Lou s lui a télegropfné ou ma'in
Mais votre précautmn. d'ailleur* Elle aurait
néceaaaue, n'eét pas donné i occasion j
a en a lion so.
(A smivrti.
