NODVELLES DE L'ËTR&ML BULLETIN TÉLÉGRAPH1QUE. SaLLETia DES BOURSES. leur escorlo, et leurs csdavres abandonnés dans un taillis population tout enlièro deSaint-Sébasticn scmblait, par scs Ëtals-Ums, nous avdns pris l'épéc pour arbilre La déci sur le cötó de la route. Ils ont recu vingt-six coups do feu, acclamations, s'associer un événement qui est do naturo sirih a été rendue: elle est contro nous Nou» riêvons ac- ooitd"* ont portó dans la této. Le jnao Wright a été fu- resserrcr les hens des deux souverains et des deux pays. 1 silli de si prés que son visage était brfiló par la poudre. On n'a aucuns détails sur la cause ct les circonstances de cc guct-anens. M. Wright était 9gé de GO ans et jouissnit d'uno eslime incontestée dans le pays. Dopuis 23 ans, il rósidait dans lo comté do PJielns, oü il exerpait les fonctions de ju go du comlé. Dopuis lo commencement des troubles du Missouri, il avait toujoursinspiré unc haute conflance aux comman dants militaire', ct avait souvent accuciili chcz lui les olll- ciers dont les hommes étaient campés sur scs propriélés. II paraft que deux de scs fi 8 avait été dans Farmétt du Sud.et étaient rovenus depuis la reddilion du général Dick Taylor, sous ms ordres do qui ils avaient si-rvi. On sup pose que cctte eirconstanco est pour quelquo chose dans le massacre de la familie. Ces jouncs gens copendant, de puis leur retour, avaient acquis l'estimo ot la sympathie - génóralo,ct un grand nombroaosoldatsunionistesrevenns dans leurs foyers ont été saisis d'une lello indignation k la nouvollo du crime, qu'ils ont oll'ert do donncr la chasso aux mourlriers. Quelques jours auparavant. le colonel Babcoko ct sa bande s'étaient mis en route, de Jefferson City, pour nc- complir leur couvro de sang, et dans le cours do leur voyage avaient arróté et mis fi mort. prés de WaynosviUc, chef-licu du comté de Pulaski, M W. Stewart, citoyen res pectable, autrefois dóputé sherif du comté. Ils avaient aussi commis dos actcs do bnrbario injus- tifiablo sur dos hommos et des femmes inoffensifs, ct on a signalé sur leur passago la disoarition d'une femmo qui, très-probablement, a été leur viclime. Un savant orientalists vient de traduiro les codes du royaumod'Annnm, qui ne rcraontentpourtant pas plus loin que la fin du siècle dernier, ct dont la bnrbario ralllnéo initio bien aux singuiarités de ces civilisations incomplè- tes do IVxlréme Orient. Les fautcs les plus légèros sont punies par Implication de quelques coups do bambou, afin, dit lo texte, de róvoiller la honto du mal et de provoquer Ie retour au bien après vient le bfUon, puis les travaux forcés, puis l'exil, puis la mort; dans la mort méme. lo caprice feroco du lógislatcur a trouvö la terrible aggravation do la mort lente, qui con- siste dans la mutilation méthodique et successive de tous los membres. II est d'usagc aussi d'exposer après Ia mort Ia téte du coupable, et voici quelle sernit l'origino de ce mode d'cx- pialion. t Cello exhibition est désifcnée par lc signo kinparee que c'est ainsi que so nommo un oisoau qui, soul parmi ces am'maux, commo lo king parmi les quadrupèdcs, agisse contrairement fi la nature. Nourri par sa móre avee la plus tendro art'cction, lc kin la dévore quand ello est vioillc, ct ne laisso qua sa löte, qu'il suspend fi un arbre; lémoin de oette action horrible, un emporcur eut la penséc d'oxpri- mer par ce caractère une exposition dont il n'est fait usage que pour les plus grands crimes, et spécialement pour ccux qui portent atleinte u la piélé filiale. VBilVCI. Corrttpondanct varticuliire de i'icao btj farlexxnt. Paris, 10 scptcmbre. Deux faits continuent k fairc l'objet dc l'attention publi- que. Le meurtre de M. OU par le comte d'Eulenbourg, qui eüt passé presque inapergu si le gouvernement prussien avait eu plus de souci de l'égalité des citoyens devant la loi, so traduit en question nationale, et lo gouvernement s'est ému lui-méme en próscnco des manifestations do l'opinion en Alsace. 11 a fait insérér au Constitutionnel une note deslinée k calmer la surcxcitation de l'opinion publi- quo, dans laquelle il déclare qu'il a chargé lo ministro de France k Berlin de suivre avec attention l'instruction qui 6era donnée k cette affaire par les autorités prussiennes Les termes do la note du ConsHtutionnel sont excessive- ment modérés.et vraiment,cn la lisant, on ne se douterait pas qu'il s'agit, comme tout le monde le sail dopuis quinzo jours, d'un odieux assassinat commis par un ofilcier prus sien dans les rues de Bonn, et contre lequel on n'a prisnu- cune mesure, qui se promènc librement et qui depuis l'af- faire a mémedtó nomraó aide de camp du prince de Prusse. Le sentiment public se révolte en Franco oontre un pa red mépris de l'égalité des citoyens, et si le meurtro com mis par un officier prussien kur un sujet prussien pout no pas 6tro puni dans ce pays, on n'admet pas ici que le con- p.l.l., 1. U - —O—..ul;-,.., j.. un Francais. Aussi Ia pétitinn qi« ejrculc cnAlsace pour demander l'intervenlion du gouvernement, rencontre-l elie une approbation unanime, et l'opinion public attend- clle autre chose quo la demande dc rcuseignemcnts quo nous fait connatiro lo Constitutionnel. L'autre fait dont jo vous pariais hier so rattacho k la quercllc des décontralisateurs ot dos partisans de la cen tralisation. C'est la próseneo dos princes d'Orléans k Ilorne qui fait l'objet du débat. II s'csl envenimó depuis quelques jours entro les journaux libéraux qui professent sur co point des doctrines conlraircs, et l'incident de Berne a amenó des insinuations qui so traduisent par (Us pcrson- nalités. Le Temps ct YOpinion nationale en sont lk, s'accusant mutucllcmcnt d'avoir des sympathies particulières cha- cune pour une branche cadotte. Jo no sache .pns quo le Temps ait jamais prötó lo Dane k pareillo accusation, mais il est incontestable que 1 'Opinion nationale n'cst pas exempte du reproche qu'on lui adresse. Chacun connalt ses attaches avec le Palais-Royal. Mais co qu'il y a do plus curieuxdans laquerelle,c'estqu'ellealieu,parait-il,kDro- pos d'un discours du due de Chartres qui n'aurait pas été prononcé. Lo tólégraphc est laconiquo on co qui concernc l'entrc- vue des souverains d'Espagne et dc Franco qui a eu lieu bier k Saint-Sébasticn. Les lettres de la résidence impériale parient do la bril- lantc réception qui a été faite k l^urs Majestés k leur arri- vée. Jamais la petite ville n'avait assisté k un pareil spec tacle. Lamultiplicitédes communiqués, adressésaux journaux, devaitnócessairementcouduire kdos mosuros plus sóvè- ros. L' Union a regu un premier avertissemont pour avoir persisté.malgré les explications données dans le communi qué qui lui avait été adressé, k déelarcr quo les conseillers municipaux ne sont pas tcnus de jurer obéissanco k la Constitution et fi iélité k l'Empercur. L'avertissement dit que l'auteur de l'article se mot ainsi en hoslilité directe avcc le principe fondamental de nos institutions. Sn mCmo temps, V Union recevaitaussi un nouveau com muniqué relatif k dos actcs arbitraires qui auraient été commis dans un village .do la Vendée k l'occasion dos élco- tions municipales. Je vous pariais l'autre jour du troisièmo drame que M. Emile de Girardin allait produire au théülre, et dans L'Empereur, l'iropératriee ot le prince impérial, rceon duits k la gare par la Reiuc d'Espagno ct lc Roi, étaient de retour k Biarritz vers onze heuros du soir. On lit dans In Patr\c On nous öcrit de Londros que lo gouvernement anglais a ógaloment fait, do la convention de Gasloin, l'objet d'une cirfiula.ro k scs agents k Fötróngcr. Dans cello circulaire, le eom'.u Russell exprimc a peu prés la mémo mamére de voir que lo cabinet des Tuilerics, et déc'aro tcxtucllcment que la convcntiou' est un auo blümablo et indigne de notre t- mps. On lit dans Ie Temps Moil cher Neffizcr. Je regretio, on lisant lo Temps de co soir do n'avoir pas élé vous voir aujourd'hui, pour vous aider k démcnlir do la fagon la plus catégorique, co qu'on a dit do la présence dos princes d'Orléans a Bcrno. La véritó esU|ue le duo de Charlres seul s'est trouvó lk, le dernier jourqu'il a priru commo simple spectuleur au congrèsqu'il a serré la main de quelques personnes do sa eounaissanec; qu'il n'yn cu r.i discours, ni presentation, ot si ros amis sont partis, c'est quo lo congrès était flni, ct quo los excursions en Suisse appolnient tout le monde. Pourquoi tel magistrat que je pourrnis nommcr, qui, d avonturc, est arrivé en raèuie lomps que lo due do Char lres, ct qui n'a pas fui, no sorait il pas inoriininé. Tout cela est absurde. Agréez, etc. l. uluacii. On lit dans YOpinion nationale Parmi les faux bruits qui ciroulent rolativnment k la tentative d'assassinal dirigee contrc le prince Sapieba, il cn est un qulil importo do démentir. C'est celui que la France a reeueilli, en ócrivant hier au soir: On suppose que c'csl un Polon ais du parti cxaltó. Dós la première heure, lo princo Sapieba avail próvu celte calomnicdós le lendtmiain, il nous autorisail por- sonnelleraent a y opposer lo démonli lo plus catégorique. Le prince Sapieha nous a déclaré qu'il n'avait aucun en- nemi parmi scs compatriotcs, et quo lo coup dont il avait failli étrc viclime, n'avait pu élre frappé que par les enne- mis de la Pologne. Lo courrier du Mexique, arrivé ce matin k Paris, nous apporte des nouvelles qui vont juaqu'au lt aoiU. La situation conlinuailk étre salisfai»antc. Uno circu laire du ministro du fomonto avail ótó adressée aux pré- fets en vuo dc favoriscr la colonisation et d'obtenir des propriétaires d'hacicndas qu'ils cédassent au gouverne ment, dans des conditions qui lui permissent d'en facilitor 1 achat aux colons, unc parlio des terres qu'ils ne cultivcnt pas. Un engagement trós heureux et Irès-brillant avait eu beu prés do Tezan, enlre un délachement de cavalerie commandé par lc lieutenant do chasseurs d'AI'riquo Isabey el la bande de Rodriguez. En revanebo, il s'était maHieureusement confirmó quo vingt-cinq lanciers aulrichiens et unc compagnie d'inran- terio mexicaine, accablés nar des forces dix fois supé rieures, et assiégés dans 1 église d'Ahuacatlan, k laquelle 1 ennerai avait nns le feu, s'étaient vus ob.igós dc se ren- dre, 3près uoe béroïquo défense. Le capitaine autrichien Kurzrock, déjk atleint do trois balles, a été froidement assassiné par lo chef dc guerillas Perez, son indigne adversairo. Le vicomto Sotomayor. envoyé extraordinaire du Roi de Portugal, allait ouitter Mexico, retournant en Europe. M. lc général L'Hóriller a dd arriver en France par le mémc paquebot qui nous apporte ces nouvelle? (Patrie.) DAXE1IARH. On écrit dc Copenhague, le 5 septembre, au Pays Comme je vous en avais prévenu, le voyage des deux mille Schlesvvigeois a été uno brillanto marcho triomphale. Partout les populations accouraient pour les acolamer. Sur toute la cóle de Fionio, devant laquelle ils passérent, les habitants les saluaieot par des bruits do piéces d'artil- lerio en agitanl d'mnonibrables drapeaux de Danebrog. A leur orrivéc k Korscer, oü its prirent In chemin de fer, ils trouvèrentla gare décorée, comme cellc des stations sui- vantes, de guirlandes de flours, de bannières, etc. Des honrralis nrolongés les aceueillirent. Ils partirent en trois trains differentsIe voyage fut pour eux une vérilablo ovatioq. Enfin, lo samedi soir ils arrivórent k Copenhague oft la population était agitée comme dans les jours do grands événements. Uno foulo prossée encombrait les abords de uu. la gare; un9 quanlilé de rangées do voitures avaient été I disposées pour les emmoncr. Lorsque les acclamations viioiuüüiadies ijüi icicuin.-in. a icur oiiii'>;e uans ia vifie curcnt un peu ccssé, le préfot leur souhaita Ia bionvenuo dans un discours touchant qui Tut couvert d'apolaudissc- monts. Les habitants de la ville qui avaient oblenu I'hon- neur cnvié do tous de les recevoir dans leurs maisons s'ap- prochérent alorslorsqu'ils eurent reconnus leurs hèles, cc furent des serromonts do mains, des embrassomenls, de rapides propos oü éclatait la joio la plus franehe, la plus compléte. Enfin on monla en voituro, et au miliou des hourrahs, k travers les rues pavoisées, nos frères du Schleswig, sur lesquels des fcnétres on faisait plcuvoir des flours, «agnè- rent les demuures qui leur étaient assignees, et purent goüter un peu de repos après uno journée si remplie demotions. Le iendemnin on les mena voir les nombreuses curiosilés de la ville. Touslesdivcrscercleslcurl'urcnt ouvorts;cer- cles de négociants. d'ouvriers, d'étudiants, tous rivalisé- rent pour icur rcndrc loséjour aussi ngrénbiequo possible. Lo soir, il y eutcn leur honncur representation extraordi naire aars tous les tbéktres: onychanta nos airsnationaux; toute la salto les entonna au milieu d'un enthousiasme in- descriptiblo; tous les coours biltaicnt k l'union; habitants des ties du Jutland, du Schleswig, tous se montraient la comme les enfants d un scul peuple qui ne veut pas se laisser mutiler ct couDer par morceaux. Lc lundi on se rendit par le chemin de fer k Roeskilde, 1 ancicnno capdale du Dancmark; un corps do musiquo cn léto dans Ie premier waggon faisait entendre de joyeuscs fanfares. On maroha trós-lontementpour óchangcr dos sa- luts avec les pnysans qui bordaient les deux cótés dc la voio et qui langaient des bouquets et des couronncs par dessus 1h haie. A Roeskilde, Icbourgmestreregui les Schles- vigeois au nom de la ville, et leur adressa un discours qui, comme tous ceux prononcés en ces jours, ne sentait en rien l'éloquence olllcielle, mais partait d'un ccour profon- dément ému. Dans Ia calhédralc, oü reposent los cercueils do nos rois, les Schl. swigeois couvnrent de couronncs la tombe de Frédéric VII, ce roi si populaire, au ccour si danois au milieu du recuoillemenl gcnóral, oil entendait les san- giots que les malheureux enfants du vieux Danomark, só- parés du tronc dc leur race, no parvenaient pas k étouffer. Le soir, lc cortege rontra k Copenhague; on alia goüter un peu de repos, afin d'étro dispos pour la principale féte, qui aura lieu domain au Jardin zoologique. Lo Roi a dü partir le 6 septembre pour la Fionie ct te Jutland, accompagné de la Reine ct de presque tous les membres de la familie royale. Sa Majcstó csmpte évitcr les districts rapprochés de la frontióre duSchlesvig, afin d'óterauxSchlesvigeois la pen- sóede lui euvoyer des députations. II doity avoir Fan prochain k Coponhaguc elk Stock holm des expositions artistiques et industriollos qui, v, quant k présint du moins, se trouvent ftxées k uno date lequel il traduirait on action 1 article 324 du Code pénalpresque idenliuue. On avait demandé au gouvernement on n'cn connaissait pas alors le litre, on le sail aujour- J danois do retarder d'une annéo la réunion de Copenüaguo, d'huifidéle k la dualité qu'il aadoptée, il intitule sa pièce afin d'éviter uno simultanéitó évidemmenl fkehuuse, mais - - - 1 on n a encore rien obtenu, et 1 on suppose que la cour dé- siro en cela empöcher toute fraternisation dos peuplcs scandinaves. nouvelle les Deux Amours, mais il n'y aura cette fois qu'un coup do pistolet qui tucra k la fois la femme et I'amant. Le théktrede Marseille a fait sa réouvcrlure, par l'opéra- comique-, les Mousquetaires dé la Reine ont été un véri- table triomphe, écrit on, pour les artistesil y avait salle comble. L'Opéra va reprendro Robert-te-Diable pour les débuts de M11" Mauduit, grand prix au deruier concours du Con servatoire, engagóe par M. Perrin. M110 Bloch, l'autre luu- réat attacbée k 1-Académic impériale dc musique, étudio lo róle de Niuus do Scmiramis. M11" Battu remplirail lc rólo de Sémiramis et Obin celui d'Assur. M. Perrin a chargé M. lUindl.chcf d'orohestrc del'Opéra, de communiquer aux musicions qu'il dirige, la fin de non- recevoir opposéc k leur demande d'augmentation d'appoin- tomonts. Se metlront-ils cn gróve? On lit dans le Uoniteur L'Empereur, rimpératriee et le princo impérial ont quitté Biarritz hier, k deux heure?, pour aller k Saint- Sébastien rendrc visite k S. M. la Reine d'Espagne. Arrivés vers trois licures, ils out élé regus a la g-iro du chemin do fer par lo Roi. qui les a eondmis auprés do la Reine k l'HOtcl-rie-Ville. Sa Majesté CaKioliquc a présenté k ses augustes hötes l« prince dés Asturica, ('infante, les aulres membros desa famdlo, puis le nuréciial O'Dunnell, président du conseil, les mimslics d'Elai ot do la juat.ee, ainsi quo les hauls diuoitaires do sa cour. Après ces présoatations, Leurs Majestés se sont rundues a la calhédralc. Ellesont ensiiito passé une revue, cl les Iruupes ont dé filé devant el'.es avec uu eau-aiu el une précision rennr- quables. L'ontrcvue des souverains a été des plus cordiales, et la AHBRIQUR. On lit dans le Mcsoger franco américain .- Lc général Saxton, surintendant dfs affrancbis do Ia Ca roline du Sud, Ia Georgic ot la Florido, viont de publier une circulaire datée du tl ooüt, dans laquelle il donneaux noirs des consci s ot des ordres relativcmcnt aux obliga tions du mariage. Nous oxtrayons quelques paragraplies de cotto circu laire 2. Tous ccux dont le mariago u'était qu'uu arrangement muluel qui n'a pas cté ratifié par uno cérémonie pubbque, sont requis dc f.nrc sanctificr leur mariage par un minis- Ire religieux cl d'obtenir un cerlifical do colui-ci. 3. Aucun couple ne pourra vivre comme mari el femme aussi longtemps que leur mariage n'aura pas été cólóbré légalement. 4. Tous ceux qui prétendent avoir été nnriés légale ment, mais séparOs par leurs miïtres, et qui n'onl pas de certificats de mar.age, devronl obtenir d'uuc société reli- giouso ou d'une église quelconque une autorisalion qui seule leur donnr-ra Te droit do vivre onsemble. Si un hoinme a élé marié k deux temmes pendant qu'il était esclave et que l'unc d'efics sculemcui ait eu des unfanls, il prenlra celle Ik pour son épouse légilime. Le Ledger, de Frederick burg (Virgïnie), public la lelire smvante de I'ex-général confédére Jos- ph E. Johnston, plus connu sous le nom de Joe John ston Buffalo Springs (Virginie), 17 nokt. Vous nie demande/. man avis sur la inarcho k suivre et sur nos luléréls eomiumis. La quesliou est telleineul sim ple qu'on no peut s'étendre beaucoup sur cc sujet. Nous, hoinme» du Sud, dans notre querelte avec les quiesccr k cctte décision, l'acceotcr commo définilivc, ot rcconnaltro que la Virginio est do nouveau l'un des Etats- Ums. Nos devoirs et nos intéréts coincident. Neus remplirons les mis cl nous consullerons les autros en fai?,int tont co oui est en notre p uivoir jiour devdopner le bien élre do nos voisins et rétablir la prospértlé du pays Nous devrions nous acquilter snns délai do nos devoirs de citoyens paisib'es en ehoisi^ssnt qm lquc occupation utile, cn remiili?sanl. s"'l est possinlo, les condition qui nous donnent le droit de voter, cl en donnant nos voix k des hemmos de tendances conservatrices, k des hommes qm comprennent et sont Dréts k soutenir los intéréts do la Virginie, comme un des Etats-Unis. Telle est la conduite que j'nrreeommandée k tous ceux avec qui j'ai conversé sur ce sujet; c'est celle que j'ai adoptée pour moi-mómo et quo j'ai suivio nutant qu'il in'a été donnó do lo faire. j. e. johnston. 1IEXIQIE. On lit dans lo Moniteur frangiis Le paquebot transatlanlique la Florile, arrivé k Saint- Nazaire le 9 septembre. a apoorté au ministro de la guerro des nouvelles du Mexique, dalóes de Mexico lo 11 aoilt tl de Vera-Cruz le 14. Ces nouvelles no conticnncnt aucun fait saillant au point clovuc militaire. D .ns l'état d'O ijaca, M Franco, commissairo imoérialde la province, s'occupo d'organisor deux bataillons dc Iroupes mexicaincs qui soront pour nous d'utilos auxi- liaires. Dans le Michoacan, Ie colonel beige Vandersmissen est reniré k Mordia avec les prises faitcs au brillant comh.it de Tacamburo. Cet ofilcier supérieur, dc concert avcc le colonel Mendeznommé ré mroment chef militaire du Michoacan. a pris les dispositions nécessaires pour main- temr los dissidents dans les Tcrrcs-Chaudos, oü ils man- quont d« ressources ct se débandont dc plus en plus. Lc Jalisco el lc Sinnloa continuent k éirt calmcs. Aumn incident particulier nc mérite d'étrc signalé dc ce cóté. La situation dc l'Et it de Sonora s'est considérablcment améhorée. Un fait plein d'intérét vient do faire ressortir eombien notro influence s'éteDd dans ce pays. Plusicurs tribus indicnnes, ayant rcconnu rempire, ont elies-mémcs chassé les dissidents, sous la direction du général Gand.ira et du commandant do Canori, etdélivré nos urisonniers do Sun Pedro. Au moment du départ du courrier, le maréchal Bazaino vcnait do recevoir du colonel Garnier uno lettro lui annon- gönt la rentréo k Guaymas, lc 12 juillet. de M. Gazielle, ca- pnaine de frégato. du chirurgicn de la marine Mansot, des ólèves Licutard et Macelet, ct do MM. Saint-Julien ct Mar- quiset, le premier 1 eutenanl, le second sous-lientenantau bataillon do tirailleurs algériens. Avec ces ofilcicrs so trouvaient 33 marins el 23 tirailleurs. Le maréchal avait, en outre, regu des avis qui lui faisaient espércr quo la villo d Urès, capitalc do la province, allait aussi so déelarcr pour l'empire. D'aprèsscs ordres, tine colonno légèro s'or- ganisait k Guaymas nour mareber, de concert avee les In- dions, sur Hermosillo, d'oü le lieutenant de Juarós, Pes- quicra, ne pouvaitsorlir. Lc général Brincourt continuait sa marche sur Chihua hua, oü il a dü arriver vers le 13 aoüt. Dans les Etats de Durango et de San Luis, la tranquillilé n a pas élé troublée. Nos troupes achevaient de gagner les. localités qui leur avaient été assignees pour y passer la saison dos pluies. Les enviror.3 de Monterey etdeCndereitaonl ótóletó.^ tre de deux petiis combats qui font grand honneur k iro- trc contrc-gucrilla et en particulier k MM. les lieutenants Isabey et do Goltstein, qui, k ia tóte de faibles détaclio- ments, ontabordé vigourcusement un ennemi biensuoé- rieur en nombre et lui ont fait éprouver des pertes très- sérieuses. Nous n'avons eu, pour nous, que six blessés. Dans lo Tamaulipis, lc 2# bataipon d'infanlorie légère dAfrique, récemment débarqué k Tampico, a regu pour mission de révablir les communications par terro avec San I.uis de Polos:. Cette opération exereera une heureusc in fluence sur le commcreo de Tampico. La légion autrichicnno continue ses opérations dans lo pays diUicile dc la Hucsteca. Le major S-iliouUnikey s'est emparé de lluacatlan, oü il a délivré plusieurs prisonniers autricbiens. Lo général comte de Thun a eu, de son cüté, un engagement heureux au village do las Lamas; enfin, un délachement mixte de 30 Autricbiens ct de 80 Mexicains, attaqués dans le village de Zautla par 400 dissidents, los a repoussés, on leur faisant essuyer de grandes pcrtcs. L'état sanitaire du corps cxpediiionnairc continuo d'étro satïsfaisant. On écrit;de Mexico, le M aoüt, au méme journal La population du Mexique comple »n si srand nombre. agricoles. uuo l'on ne duit pas étro surnr.s de la bienVèTu lante solliciludo que FEmpereur manifesie k l'égard des indigenes. Le 20 du mois dernif r, au pa'ais de Chapulte- nec. Sa Majesté a regu qualorzo caciques de la trihu des Pames qui venaient des bords du rio Verde lui présenter tours hommages et demander k sa justico la restitution de vastes terrains dont leurs villages ont été dópouillós sous les adminislrations antérioures. Lc chef. des indigèncs a adressé k l'Empercur une allo cution qui prouve quo les bienfaits de la junto proteclrice des classes nécessilcuses font connus jusque dans les centros les pusrceulés. ct les Indiens se sont retirés plcins de confianco ct profondément touchés de l'accueit patcrncl du souverain. Dans la riclic provinco de Sonora les deux tribus si nombreuses des Moyos ct des Opatas ont aussi luit parvcmr au piod du tróue ['expression dc leur d ivouemont. Los premiers sont d'cxcollcnts euitivateurs, et les seconds ont toujours fourni de bons soldats. II cnost de méme des Otomis, de la Nouvellc-Gaiice.dcs Tarasques du Michoacan ot des Toitóquos et dos Aztèquos du huut p|al£au d Anahujc, on est situéc la capitale. S.ins les bras desundiens, les champs seraient cu jachère et ios mines cesseraiont de produire. II est done conlormo aux lois de I numanué elk celles d une bonne politique de proliguor aux indigeucs les meilleurs traiteracnts. Les explorations seienlifiques continuent ctamènent de nouvolles décpuverles aux environs do Huachinango. Dans los ruines do la ville récemment retrouvée, on voit les rues bordées d edifices parfutement conservés. Les loits sont intacts ct plusieurs porles fermées. lndépendamment du palais, ou a visité dix aulres monuments, tous bütiscn mt rres noircs dont certains blocs ont une dimension de huil et dix mètres. Cos picrres sont d'un poids immenso, et on seucuiande par quels moyens on a pu les lailler et les transporier, alors quo les anciens Mexicains necon- naissaieni pas I usage du fer ot n'avaient aucuno espèee de bcies de suunnc. Lo zodiaque de lluachinango est d'un travail romarquable. t.c centre est rempli d'liierogivDhos et d emblémes semb!ab|es k ccux du méridion cncaslré dans le iliur dc la calhedralo do Mexico. Les travaux dc la Vatléo préoccupcnl beaiicoup l'Empe- reur. qui s est rendu lui-méme, le 4 aoüt, sur les licux afin de vénlier lo régime des eaux quT menacent. kchaque cruo ct k la fonte des neiges, dmonder lacapitóle L'Empereur, k sou retour, a nominé une commission d'üigémeurs qui doit s'occuper des écoulcments, de la réparation des di gues, derentreticn du Dcsognede HuehuelocaHamancr la solution definitive de cello iinportanto question. Deux com- - v. - pagn-es de soldats du génie, sous les ordresdesoffleiersdo Grenade, - U. 2 p CHROMQUE JUOICiXIRE. Lo tribunal de Bruxelles (■•himbro des vacations), ju- geant eti matiéro cerreeliona-jllOi vlcnt de condumncr la nomméo Elise-Josóphc Bastin, épouse O..., jdurnalióre, k 18 mois d'cmprisonnemcnt, pour s'ctrc Fendue coupable d'infraclions graves aux lois du m u'iage, Irlfr.ictidns coin- mises k Saint Josse-len Noode et iiilleurs-cn Belgiqtfa. Ln méme tribunal a eon lamné Frangols Van B dlaer, cabaretier k Bruxelles; Lnurent Gatade, houlanger, i.i., et Pierre Vandenbirglie, boulangcr a lxelle.s, chacun k six mois de prison pour outrage pubhe; Frangois Balsnu journalicr, sans domicile, k uu ad d,o prisdn, pour rnplure de ban. —II est tide fafen do sommeil'.cr que les gens du peuple, dans leur langage pitlorosque, appellcnt dormir cn gen- darme, c'ost-k dire cn voyant cc qu'i se passe autour do soiainsi dormait Duclos, cantonmcr. k BougiVö!, tspm h Paris oü il s'était attardé el allongó, a it 1/2 heures dtl soir, sur un banc, en face dc la caserne du Prince Eugène, Passent trois voleurs<i«/><nun'cr; ils avisent lc dormeur, dont lo costume ne pouvait assurement pas fairo espérer k nos róleurs unc riehe proie k dévaliser; mais dans leur métier on n'est pas habitué k trouver des gens qui roulunl surl'or; s'ils roulent quelquo part, c'est plutöt dms le ruisseau, et quand ils en sont Ik, c'est qu'ils ont probable- ment vidé leur poclmchez lc marchand de vin; cependant, ,i.ly a la puissance d'ahsorption qui peut n'ötro pas en rap port avcc 1'imDortance do la bourse, et l'ivrogne peutéiro vaincu cn ayant eneore les moyons do combat tre longtemps lk est l'espoir du voleur au poivrier; et puis ne peut-i! pas trouver uno montre? A la rigueur, il est sür d'une cas- quette, d'une ernvate quelqucfoisd'un moucboir...,plus rarement. enfin, si maigre quo soit le bulin, il y cn a un; et la victuno, une fois éveilléc, s'apergoit que la sagesse des nations, si souvent dans Terreur, s estencorc tromjiée quand cllc a proclamó que lc bien vient en dormant, c est s'en va qu'elle aurail dü dire... A moins, nous le répélons, que le poivrier ne dorme en gendarme et no saisisse, dans sa poena la main du voleur, comme fait Duclos. Vdllk comment Lépaule, qui s'apprélait k lc dévalisor, est aujourdHiui devant la police correctionnelle et n'u pas la plus petiicrxplicalioah pouvoirdonnerpour sa défense. J étuis très-fatigué, dit Duclos, et je m'élais allongó sur nn bano: j'avais les ycux fermés, mais je ne dormais pas, cn qui s'appelle; jo roupillais cn pensant k mes petiles affaires; voilk tout k coup que je suns comme je ne sais quoi qui nic touche au cóté, dans los environs dc ma po- cho; jereste fixe et immobile comme un troupier 1'urme au bras, seulcmcnt je me disY a du louche, seyons ma- linEt pour étre malin, je mc mets k ronfier. Alors j'en- tends une voix qui dit tout basA gauche, c'csl k gauche. Ahlq- e jo mcfais dans mou for t-intérieur, il puratt qu'ils nc sont pas qu'un El lk-dessus, toujours sans avoir l'air, j'enirc-bkillc un coil et je vois deux hommes cl unedu beau sexe Alloz, allcz, mos petits agneaux, que je me fais toujours dans mon for-l intérieur failos voire petite affaire, nous voulons enfonecr bibi, vous allcz voir ga. Alors, après avoir taté ma poche droito ct quo les autres lui disaienlA gauche, c'est k gaucheun ae inos (ilous fourre sa main tout douccment dans ma poche gauche; quand ie la sens bien enfoneéo, v'lan! je l'attrape el je la serre do l'agon qu'il n'était pas facile de la retirer; puis je saute du banc et je cricAu voleur! Les deux autres me sautent dessus pour délivrer leur associé; mais jo lc to- nais ferme d'une main pendant que je mo defendnis de l'autresi bien quo, pendant ce temps-lk des sergents do ville sont accourusco que voyant, l'autre particuTior et la dame onljouó le chant du départ au pas gymnastique, et que, des trois, nous n'avons quo celui-Ik qui va payer 1 ócot pour lui et sa société. Nous avons dit que lc prévenu nc trouvait aucuno dé- fensc sórieuso k oppo:-cr k cctte déclaration qui a aussi fort réjoui l'auditoiro par sa bonne humeur qu'ello a édifló le tribunal par sa précision. Tout au plus balbulie-l il que le tómoin s est trompéque d'ailteurs il était seul. Le tribunal l'a condamnó h 43 mois de prison et 5 ans de surveillance. Saint-Sébastien, 40 septembre. Un accucil cordial a ótó fait k la Reine, lors de sa des- ccnte k la gare. L'Empercur lui a baisé la main. Les souverains de France el d'Espagne se sont montrés au balcon et ont été acclamés. II y a eu revue des troupes ct diner k l'Hótel do-Ville. Paris, 40 septembre. D'après des nouvelles du Mexique en date du 44 aoiV, il y a eu un engagement heureux prós de Tczan; mais un lé ger échec a cté subi k Almaculanvingt-cinq lanciers au tricbiens ct une compagnie d'infanterie mexicaine ont été obligés de se rendre. Yior.uo, tOïpplembro. La Cazclte de Vienne pubiie lo texte d'une leltre auto- grapho-de l'Empercur par laquelle le baron de Gablenz est nommé gouverneur du Holstein. Elle porie la date du 4 septembre. Varsovie, 40 septembre. Aux manoeuvres militaires qui ont eu lieu le 7. lo géné ral de Berg a été renversó do olievat ct s'o&t fait uno cn- torso. Toulefois lc général va bien ot on ospórc son pro- chain rólablissemcni. ie» ttL*e«AfHiQOï], PAUS, 11 S«pterabraiehourM).-Bais3«4efr.0.?5MrU41/J f. Bansa d« fr. O.Oi «ar I* 3 p. c. COURS DU 9 4 1/S p. c. an comptaat. 90 50 3 p. c. fin courant, clflL 69 tl DetU intér. 4'Kar:;-c. 40 DilTüréï Crddit Mobilior espagool 513 Kmtiruni iuliM, 5 p. c. 66 35 Crédit Mobilicr815 Gbamm d« (ar da Nora.1091 Midi. 567 Est. 5H (Juist. 550 •Aulrichiens 413 ■Lombardo. 465 Emp. romain, 5 p. c.... 74 1/1 Mexicain 6 p c51 Consolidés Tares46 3/8 COURü du lt. 11/ï p. c. an cofoptaai. 96 85 1 p. fin «oorant, ouv. 69 30 - clOt. 69 90 Oett* intér. d'Espagne. Jiff.irée Crédit Mobilier espagnol 513 <nprum italiën 5 p. c. 66 30 Crédit Mobilier8iS atenin de far du Nord.4093 Midi. 670 - Est. OnssL —Aulrichiens 419 —Lombards. 465 Emp. romain, 5 p. c..71 1/i Moxicain, 6 d c50 1/2 Consolidés Turcs43 t/1 Camn d'nnrtar* dill septembre. ^MjWDRRS.—Consolidés. p. e.. 90 0/0,00. Eipin*. t VlRNSm.-MéiatL, 68 27. National, 72 75 -Nonv. «mp.. 78 35. Rsnqu*, 775 00. Crédit mobiasr. (73 00. LoD dé (Hf8 421 50. Chemin de fer autrichien, 477 90. Changes Londres 109 50. Paris. 43 45 po», PilANCKORT. MétaUiqnes, 5 p.^c.,^60 7/8 Empriini nations', Céitra da «Mtors. 44 septembre. Coruol. k li «tdtnn. 89 7/8. Ecuador nouv., 4 p. c.. P.— Nouv. consolidés. 0. Grecs, S p. c., ld. coupons, 0. Mexcsins, 3 p. r.,2tl/4. Nouvelle - - v.v.ouu de, O ld. 9 p c., 0. ld. dillVrée, ld. Land- cnuearme.torontempioyósaiixiravauxlesnlusurgents et Warrants,-Portugms. 48:3,8 n. c. o.id. t8GJ, (\-Russes, I'Empereur so propose de visilor los autres poinls mena- I If1' "//''iHI-ï' 5 1'-,.c '0-.- SLS'tés m 8assurer «o*»»* UMrnr.t2 S tilre de subven- iJilfi'st c., Hï°e"!/i - tion, 5.1,(MX) piastres a la Compagnie du chemin de fer de I confédéré, 6 A 7.-Cheminde fer Samlirc-Meuse IH/t fi n*.— vera Cruz a Mcaclhn,qui recevra 10.000 piastres oar mois Rotterdam-tnver* 40 1/8 403/8. -(taour-L'i'gi 9 (/^fi9 3,'8. et s'acquittera envers l'Elat en lui remettant plus tard Dour Luxcm bourg, 45 4/8 fi (5 7- Crédit foncierintor national, 4 4/4 30,000 piastres d'aclions. .4 4 1/9 prime. Les travaux s'exóeutcront sous la surveillance du préfet om\rnnilVn J,ni8e?a TnuiSHi s.iPinC'' N',uvf1 'tïi'.'TS t I'SSï:7'»riHM"!orl! 10 Boevememenl IÏS 'mg- cto»' d. r.r 1 iorokr." 10 dans les jssorablées générales do la compagnie. Pour j 79 85.— Crédit mobilier, 473 50. -èhom. de fcr ausiro-fruncnis' s oxpliquor le butde cette subvention, il fam so souvenir 4 78 3-.—Lots du 1858,191 40. Lots, i860. 88. - Chom.fi'lu fur que cello cntreprife est la této de lignoqui doit relier tombardo-vénitien, ïoo Banqno anglo autrtch., 75 90. Vera-Cruz k Alvarado ct ir Anton Liznrdo. et que, vii 1'cxi- Chem. de Trr Lcmscrg Cnrnowiu. -• 1.50. Changes Londres, guilé du tnouillage do Vora Cruz, it est trés sóriouscmont f 43 n venons de nommer. a",rftS Ies par38W quc n0UJ Les departemenls situÓ3 entro la mor et lt .capitale sont -d'Af 'a«' ü3l'4ri'7I' ''jacgM U)adrM' d'ailleurs l'objet des études spóciales du gouvernement, i Indépendainment des tólégraphes, des ponts. des chem in do for, le ministro des travaux publics vient do fairo ouvrir la route charrelióro qui doit relier O.ijaca k Tchuaoan. eu passant par Teotitlan. Los savants ingénieurs, MM. Mon- torde el Maranco, sont chargés do diriger los nombreuses cscouades dc leavailleurs. Trois cents homines sont repandu sur la nouvelle rome qu'on ouvre entro les deux montngnes qui séuarent Pue- b a do Mexico, le Popocatepetl et Flxtaccihuall. Le volcr.n de Popocatepetl est h plus hauto inontagno du Mexique el i s'élève k 5,100 mètres au-dessus de Vera-Cruz. Bionlöt los villes importantes coinmuniqueronttélégra- phiqiiemcnt avcc la capitale el avee les deux mers. Les on- 419 61; Vienm BERLIN, 11 septembre. Métnlliquis, 6 p. c., 63. Emr. national, «7 4/4.— SliHg'ilz. 5« série 74 5/«. lil. 6" série, 91 1/8. Russos, 5 p. c., 99 1/9. - 14. 3 p. c. (4859). 56 7/8. - Km- prnnt volontaire, IT) 1/8. Dollars, 71 3/i.-Cliangos Londres, 6 23 1/2; Paris, 841,8: RambourK, 151 5/8; Amsterdam, 112 3/4; Vionne. 99 l/i; Pétarsnourg (M jours', 88 3/8. AM9TKHI>IM. II 8epiembru -- inicgr., 62 5/16. MéiaR., 6 p. t. 58 13/1 d. Espagne, 39 7/8 ld. intér. 8 p. e., (tl. Emp. National, 62 3/4. Aus««*. «5 1.8. T»rre 46 13 16 Biatt-nnii. dn"im. *0 7/8. Mclalliqucs, 1849-54, 8i). i'.hcmin de fcr russcs, 49! 1/2 BULLETIN COMMERCIAL. ANVr.ns, 9 sop embro —Rois do conslruction II s'osl fail dus jxico kJlontamoras par Saint-Loni: de Potosi ot El Saitillo. l.'exploilation miniórc continue sur une grande ihello. i vcnt!a J,1?-,F'?ndrcs 4 K «t ce'"; fi» Champ^ne fi fr. te-sr» L'hbtel dos Monnaies de Mnieo l frjpi.é MO OI» piastrra JIlM" v,"dB Tonos dans lo mois dc luillcl, cl lo |WW la Fwri<ic, Va,'mS mÏ,hCInuL™'fr. iwStoiï- qui emportfl ces ligoes, aura k bord uno soumie bien plus CrinsOn a vendu 3 balles queues de bceufsd-i la Plata, sur l'impor- eonsiderab c. La nouvelle Compagoie de Guanajuato vient i«ion du nivireHcathorBslL—HuilesLes huiles d olivesfifnbrnitie d'maugurcr les iravaux do la mine de Vil nlpando, dont on sont plus furmes ei provoquenl un cburnnt régulier daff-ires pour altend de grands résuliats. MM Broekman el Montosdcoca ,a consummation, li »'ost vendu in,000 kil. Malaga, dans les prix de sonik la lóte de la direction. I Lr; lMurMi'.<n filli<(l0° k"; MoS?lï6 do fl> .'I9fi «o par KX) kil.- li m. la basso Califoniio. S Sin-Antonio, uno oompaenio i „tonl|«. tonsatóo, Momóo la M.ric «w d'toporcaol, BtWrè" t"ÏS STSSSTtitRflKte liéiieltccs dos gisemcnts argenlifèrcs dc Snn-Juan. Le der- ordinaire on demande 92 a SM ot p ,ur blanc o.u 95 par 100 kil Lo llier floanivr dc l.allfornio, arrivé h New York, a npportó livrable surrourintdu nmisavalu 8»rt reslulenu fini; suroclöbro vingt-cinq llirres d'argeul de la plus granlo pureté, pro- on a payé de 811 85 el on demande 85 ril; sur les I derniers uii'is wnant de celté mine. on p»ïd 8J, prix auquel it y a encore beaucoup d'acheiturs, mais pas de vondeurs. On a égalcmonl vendu 4,200 barilspétrole ralllné, l ti livrer par Conceltino.encoro en charge a Nc\v York aux dernitres 1 n,'"" au P"* do fr- 88.—Résines: La demande pour les résines nouïcau dld trés-activa et sous finiluenco du flock IJj.., Z'. 7,,".- "ir.orn avancé. On a vendu 40,000 kil. brai noir S fi 7 rvwi M 11,s ParS° kl1- On demande acluol- fi n. 7 et 45,000 k I. eoiop-^ .,c rnr.Uif.Ml'lml lemen! pmr ces deux sorics fT- sy'° 1. fiiJOu on n r,-vendu (69 barils. d impon^" P™"'11; ;i prix nou divulgué.—P,i«: Lo murclié 0,1 1'?H{S?"np2?£ e« grain ct la demande continue régultëro. Ou n ve.^.J t/'ilfes Arracan pc'.é, tant pour la consommalion que pot., "xpor- laltofr.- -Sa ndouxNo»? avons nppris la voaic do ;0 barils d'Amériqué dispomble, (to la marquo Wilcox, fi nrix Irès-fcrmes.-' Sucres bruis Nulls avons appris la vento dc 4tO caisscs sucre Ha- vane, d'imporlaiion par ié rwviie Tres llermanos.Sucres bruis do brl'.craves: Cello douceur a .ii/Mé lieu fi la vcnio, a livrcr sur U camppgnc prochame, do 100.000 kil. d'Pno sncreric do 1 intérieur, an prix de fr. o'. le n°19 en consummation.— NuifsSons 1 influence des avla plus fasorabks de lélr-nger. nolre maé.'hé était plus ftrme et on tenait fl. 97 par 50 h. pour toulos les provenances de snift étran- gers. D i renfort sulf de la Plata regu hier par lc naOnjTamworih, de Bucnos-Ayres, 939't et 4910/2 pipes so trouvent vendues fi livrer oü tien sont en destination de diverses fabriques de l'intc."'eur du pays. II ne tss'e done d'invendu par co naviru que 71/4 pipes. fiAND,8septembre.—Lins.- Lc marché de c« Jour était assez appi u- visionné, mais tout le stock était en tin cominun, d >nt uno grande parlio cn iin nouveau. Les vieux Uns sont toujours l'objet de grande» iransactions; los prix haassentchaquesestaino. ALokercrict Saint- Nicolas il y avail quelques parties lin nouvesula qualité en était Irès-communc. Li stook en vieux lin», dansoc» Contrées. est presque toialcment épuisé. - Kils do lin ct d'éloup is.-LeS transactions ont été Irès-suivies ct les prix très-fermes. II s'est traité cello scniaine, par ongagcmenl, des ailair^ considerables dans de grands otablis- sements linies de cctte villo. ToilesDifférents genres do toiles inanquent oomp'.étement.-- Colon La venio a élé bonne. Les Ills do r.<'» 3D ;i 40 simples et doubles ont subi une hausse d environ 90 cen times lo kitogr. LOUVAUS', 44 septembre—Froment, 400k., fr.24-67 24-18 91-37,' B. 0-91. nouv *2-83,12-67, *1 19. B. 4-G9; scigle, 16-00, H. O-O»'; aarrasin, Uu-OO, B. O-OOsvoinefi fourrtge, 15 87, B S 84fi brasser, OO-UO. H.O-OO; orge 49-64, H u-5»; n.,ÜO-00, H-O-OC^niledecolz?, l'h., 97-57, It. 1 3iepurée, 409 57, H. 1-37; de tin. 79-70, H. 4 37; graine de colza, 400 kil., -43-50, II. O-DO; de tin, 34 00, 0-00; de Suif, le k., 0-84, II. 0-00.—Peauxvachos et génisses, le k., 0-75, B. 0-tuboeufs. 0-7i). H. 0-00vcaux, 4-45. H. 0-00- NAMUR, 9 septembre.—Froment, 100 k., Ir. 15-00, H. 0-23; mr« teil, 16 50, ff. 0-OU; épeautre, 14-95, H. 0-95; seigle, 45-50, H. 0-00; aarrasin, 1S CO, H. 0-00; avoino, 47-00, H. 4-00; orge, 18 00, H. 0-00; Sais, 18-00, B. 0-00; ffivcroles, 18 00, B. O-OO; graine do tin, 38-O0, 0-00; de colxa, IS-S», U. 0-u I; pommes de terra, 6-00.11. 0-6'>. paille, fl-IW, B. 0-50; foin, 19-00, d. 0-00; houblon, 270, B. 30; lin brut, 470, II. 9; cbanvre brut, 130, H. 0; tabac, 940, B. 0; beam, 300. fl. 90; laine, 460, B. iaine brute, 225. B. 5. RRruwblz, 7 septombro.—Froment,hectol.,fr. 10-75 H. 0-00; anigle, 40-50, B. 0-00; avoino, 80 kil., 46-50, B. 0-00; caufs, tu 25, 1-50. B. 0-00; beurre, los 6/4,9-00, B.0-00. |R BRUXELLES. Ellery PORT DB ARRIVA6E8 dn lt septembre.—LefiÉv. John Jennefer.c de Bergen, avec stockviscb. v départs dn 41.—Le navire Amandas,,c. Walker, fi l'avenlure, aur lest. CoorlierVerstraeten-Demeurs. PORT D'ANVERS; ARRTVAGK3 du 8 soptembro.—Lo st. asgl. Zingari, c. Nash, da Wesi-llarilepool, avec div. march. Le st. fr. .Antilope, c. Chéron, du Havre, avec div. march. du 9.—Lc st. esp. Norte, cap. Arritola, de Bordeaü» - avec div. march. La guël angl. John ei Jencfer, c. Ellery, de BeffeCl» >vec siockflcbe. Départs dn 9 —La goël. esp Saeta, c. Vatte, piur Bergtn, ch. —La goël. fr. Cléraatile, c. Hautot, puur Sunder.and. sur lesi.—La goël. fr. Minerva, cap. Lebot, pour I Anglelerre, sur lest -La goël. nan. Einighe t, cap. Burt«ge, puur l'Angleterre, cb.--Le koffholl. Meermin, cap. Smiih, pour Le.lb, ch. Le koffholl. Johanna, cap. Udema, pour Gopsnhague, ch. -La barqu-< pr. Vorwarls, c. Schubbe, fi l'avenlure, sur lest. -Le brick pr. Louise Auguste, cap. Nauman. pour Memel, sur lest. Le brick pr. Carl, c. Wcncke, fi l'avenlure, sur lest.—Lo brick norw. Uhler, c Nielsen, pour la Havane, ch.— Le brick norw. Thorcsa Lina, c. Lydersen, pour Gothombourg, sur lest. La barque norw. Runer, cap. Ericksen, pour Elsencur, sur lest.—La barque russe Veritas, c. aiochltom. pour Bjorncborg, sur lest.—Le si. angl. Fusilier, c. Walker, pour Newcastle, ch. MARCHÉS ETRANGKRS. bordeaux, 9 septembre.—Esprit de Languedoc fi 88 degré?, fr. 61 a d® de bettcraves 1« quniité fi 90 degrés, fr. 67. AMSTERDAM, 8 soptembre.—Froment sans affaires.—Seigle dis- p"nible avec peu de défaite aux cours intérieurs, ft livrer un pcu plus faible.—Sarrasin nouveau faiblc et en baisse, suraimésans de mande.—Graine de colza ei baisse de 4 4/2 Ldc I n sans variation. Itiiile do navetles disponib'e, mais surlnut sur livraison, vendue en baissede tin dispouible et fi livrer en légere hausse. scniEDAM, 8 septembre.—Montwyn, fl. 9-S8; genièvre, 44-75; preuve d'Amsterdam, fl. 46 00. cologne, 7 septembre —Froment eff. indigène nouv. par 200 I. 6 a 8 1,8 ih. pap., d® éiranger 5 7/41 nap.; novembre 5 2/3 oap., 5 4390 arg.; mars 6 1/33 pap., 6 arg.—Seigle eff. par 2001.4 2/3 pap. sur novembre 4 it/2'l pap., 4 8/ln arg.; mars 4 47/60 pap., 4 93.30 arg.-Orge du pays par 2 0 1. 4 4/2 pap.; do Oberland 5fiG4/6 pap. —Avoino par 9001.4 2 3 pap. Berlin. 7 sep'.cmbre.—Scigle sur cutomne 43 0/0 th. fait; prin- tempa 4*1.8 feil. STETTIN, 8 septembre —Froment disponïbla 52, 611b.: «iplom- bri septembre-octobre 6t 1/4 feu; octoore-uovembri 621/4 pap.; prmtempe 65 3/4, 65 4/9 faiL—Seigle disponiblu 49 1/2, 43 1,3; sep tembre septembre-octobre 43 fait; octobre-novembre433/l fait et pap.; printemps 46 3/4 fait, 47 pap. RRE8LAU, 7 srpiembre.—Froment aur sep'rnibre 51 0/0 Ut. pap. Seigle sur sep'cmbre 40 1/t tb.; printemps 431 fit hambourg 7 sepiombre.Céréaies: Marché calmc ct lourd. Lo troment disponiblo est oa biisse de 3 th. LiVERrooL 8 sepiembrc.—Le marebé aux colons est ferme. On a vendu IU.OOO balies, dont 3,000 par spéculalion et pour l'exptr- ta.ion, comprcnanl balles Aménquede fi d Fernambouc de fi MaraDham de fi Bahia de 4 Egypte de fi xmyrne dc a Pérou de 4 et Surate de a d Imporia- Uias dujuur - balles et antéricuiemont Les venteede la semaint soni de 113,680 balles, dom pour la consommalion, 21,340 pa® spe culation et 98.360 pour l'oxportationles importations de 33,470l>g exportalions de 20.100. Slock a ce Jour 361.1 to balles. Oncotomidd ling New-Orleans 18 3/4 d., d® Upland 18 1/2, Tair Dhollerah 13 3/4, Broach «3 1/4, Bwgule 9, Cbine 14 3/4 fi Is. Btet-mlvll. MARIAGE DU 11 septembre. Sfieyc, tailleur, rue Ha<tfe et Rondon, couluriöre, impasse des Minimes. Vaodensieeo eon- Bsear, rucau Reurre, elCIaire, scrvanle, Marché aux Poule'ls. L Enlréo. charron, impasse des Wallonncs, e'. Denuyer fleunste id. Ouitlclier, rue Bodenbroek, et Swisser, rue Haute.—Vandewver maguimer ruc des Navels, et Mondei, rue des Six Jetons.—Lalle- rnans, magon, impasse Meulenberg, ct Coidyn, dentellière, id. De Brucker, magon, impasse Slo Thérèse, et Verrocken, dentel- lilro, ruc Blaes Liegois, marbrior, iue des Radis, el De Brueker. omriërn, impfisso du Convent Laurent, apprfltcur de bièros ruo du Mirmr, et Dupon», servaite, rue des BogirdsDehavers, oliau- dronmer, impasse du Due de Savoie, et Clues, rue des Picrres Ver boy si, c rdonnier, rue d'Alost, ot Ouiugn n, journaliëre, rue du Bummol.—Loellter, dbeniste, ruc de l Empcrcur, et Doboom, mo do Ruysbroeck.—Droessacn, mégissier, impasse du Foyer, cl Vinde- vogsl, dentellière, id.—Kaueon, Ferblantier, impisse du Cèdre ct tan Antwerpen, ruo de la Vicrge-Noire. décEs du 10 et du II 8EPTEMBitE.-Windelir.ckx. 11 ans.rut dos Vors.—Debeekcrs, 69 ans, vcnve Vandermeerseh, ép.Gaudron marchand de chevaux, rue des Taoncurs.— Massard, fabrioanl do chocolat, 62 ans, ép Falesse, ruo Haute.Gantois, pensionuëe de do la ville de Bruxcll s, .2 ans. vouve Miehei, ruo St-Ghislain. tillers, magon, 2i ans, rueBelliard.—Dronsarl, 83 ans. ruc dcPa- choco.—Matthys, cordonnier, 63 ans, ép. Engelman, id.—Avanzo 21 ans, ruc du Poingon.—Henry, graveur tur cristam, 61 aas ép! Francois, rue dc la Vierge-Noire.—Delafonlevne, libraire, 51 ans. vcuf Dromé, ép. Herla, impasse Pérignon. -Cosyns, 90 ans vcuvè Denollin, rue des Benards.—Weber, reatier, 71 ans, ép. Vanden- berek, rue d Argent.—Gubbarl, 17 ans, ruo N.-D.-aux-Neigts. ïille, caissicr de voitures, 53 ans, ép. Dewinter, impasse dc la B .ulo roulante.—Dix enfants au-dessous de 7 ans. SPECTACLES KT CONCERTS. - Mardi 12 Sbptembre. monnaie. 7 h. 4r® rcpréscntation (reprise) de la Dame Blanche, opéra-comique en 3 aetcs. Mcrcrodi 13, 3* represent desi"« ARTOT la Fillc du Régiment opéra-comique en 2acles, MUoArtot rcmplira lc réle de Marie. galeries. Relfiche ponr les répéutions de Ia Blche au Bois grande féerie en 4 aotes ot 16 tableaux, de MM. Cognard frères- ballets régtés par M. JusUmcnt, maltre de ballets au Tliéfitre de la PorU-Sl-Martm; 16 décors nouveaux; 300 costumes nouveaux dessinés parM. Marcelin, exécutés par M. Gustave Morin, costu mier Uu Théfilre de la Porte-St-Martin. PARC. 7.1/4 h. Ir» representation (reprise) dc le Supplicc uno femme, pièce en 3actos; V* représentalion do Un tlumme j bronze, vaud. nouv lc Chapeau d'un horJpger. c. en 1 acte. A l'étude le Supnliee de Paniquelle SuppliceU'unhomme Une Maltresse bien agréable. theatre LVRIOUB, place du Marché, (auboarg de Cologne 7 h. La Fillc des Chiffinmers, drame en 8 tableaux. 4cu.—Thefitre des Délacsemeuls (ancien Paradis des Roses' nie dc Cologne.—Ouverture Ie 11 odobre proch«in, sous la direction de M. A. Delort.— Drames—Comédixa Vaudev.llcsOpurcites— Intermèdas. société boyai.e de zoologie (Quirtier-Léopold) -ti' -lh Concert do symphonic sous la direction do MM. Singoléc et Saor/ Program no t" ie Banquet, qnuilrille (Feust); 9" Sirueusén cn-' tract® (Meyerbeer); 3®Amorellen, valse (Gung'l!; la Travipa fanlaiMo (Pacluei') Patli, polka mazurka (S n.re'; 6» Oeverlure 7 grand orehestre (Singetée 7>'les Uvrpes Eoliennes, va'ae L'■- beril'; 8" Lars, fanlsislé (Wel.-r 0» lis Carablns,polkaiM V i GRANDE SALLE UK L'OHII.NT, ruu .lu l'Höpllal. I»irrcü.!n J. Olivier el Comp*. Chaque soir, concert, ballet ct oDérrRrts' Entree5(1 centime». CASINO DES galeries —7 h. Tons leé soirs concert Tucal ct instrumental :duos, saynètes, operettes. Représentalion cxlri- ordiuairo avee Ie concours de MU»CarolineVadé, artiste du Tliéfiire- Lyrique de Paris.F.ntréo 60 centimes. riitqi y. ur.N/., silué vue de la Lui.—M. Ronz imformclo public do Bruxelles 11 de ses laubourgs qu'il arrivera de Francfort Ie «u septembre. av.cu e Iroupo coiupjsdod'artistes de premier o'rdroit qu'il comple donner a |r® représentntion le 23 soptemlire.fi 7 bru ms dn soi', dms le Cirque ronstruii fi cel cffet rue de la Loi II a réitm tout cc que l'ari équeslre peut produi c de giand et d« merveil'eux Chevaux magmllqucs er.-ssésn liberie, grandes manoeuvres et quadrille- cxéeulespar 16 fi 9U personnc- panionii- m-s et pieces fi grand speclac'c. Le public sera inilié aux einmivanles péripélirs d'une ('.basse ör.- gtaise, pour laquelle deux eerfs ent été «xpressémenl rtn ss'es" La Iroupo iinfidrupède so compose de 106 i licvutix, de meillèurès races; 9 élépliai.ls, dressés par M. Huffasl et executant des i,mis mervnillouxlions, dommes par M.Baihy Cooper; i finesavam cl exces»! vement amusant. Se guérir ostoraac, ncrfs.Roiirine.snng, par la dóliciausa bevalen ia ARABicA Dn Barry, 42,rue ao FEuiparcitf

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l' Echo du Parlement | 1865 | | pagina 3