CONSTIPATION
Pilules AiJiéritfliiiêg
ö«s SSöïiérs. 1
LE RETOUR D'ABE.
EXTÉRIEUR
Tiens Monsieur Dupuis
DERNIERES N0ÜVELLES.
CHAMBRE DES REPRESENTANTS
ïeFmÜie«Kffi.COrre"P m<ra,t, ll""1
sfp'oSriey;;fojel res ni ,ies i*™"™
T VÏT'J*fr'isnm'iiïLT"T0STes>
Sl i,arlin «a"SS«£|
ÉTAT-CIVIL DE GAND.
ON NOUS ÉCRIT «le Malines
S. (1. Mgr Van «!er Slappen, évéque titulaire de Jaffa
auxiliairc dc S. G. Mgr Hercier, archevéquc de Malincs,
est alleint d'unc paralysie hémiplégiquc par suile d'unc
attaque d'apoplexie dont il a élé frappé receinment. Son
etat inspire do vives inquietudes.
Essayez ie nouvel aliment phosphate COLLIN
pr enfants, 1.25 fr. la boite, 32-34, dlgue de Brabant.
371»).
S. Q. MGR VAN DEN BRANDEN DE REETH
archevéque «Ie Tyr, doyen du Chapltre métropolilain, alité
depuis deux mois par suite d'un refroidissement, est com-
plètement rélabli.
O UN GRAND NOMBRE D ACCIDENTS MORBIDES,
dont la cause parall inconnue, sont dus A un état de consli-
paliou habituelle. Ces paroles, prononcées par Ie célèbre
professeur Trousseau, ne sont, hélas que trop justifiées,
et nouibrcux sont les gens a qui leur triste experience
prouve (jue quaud l'inteslin fonclionnc mal, rien ne v;
plus. Constipation, enibarras gaslriques, excès de bile,
aigreurs, uiaux de téle disparaitront sous la bienfaisante
inlluenee du CaliOg sirop de figues de Galifornie,
recommandé par les medeeins comme laxatif parfait et
régulateur naturel de la machine humaine. 1 fr. 30 et 2 fr.
SU dans loutes les bonnes pharmacies du monde. Dépól
l'harmacie anglaise de Ch. Delaere, Bruxelles.
UN VIOLENT INCENDIE a détruit de nuil mercedi
le bazar teun par 31.Van Sinfiet,rue du Bruel (Neckerspoel)
a Malines.
Le feu s'est déclaré au rez-de-cliaussé du magasin
I,'origine du sinistre est inconnue.
Le bazar a élé détruit, ainsi qu'une partie dc l'étage les
dégóts sont cstimés a une quinzaine de mille francs.
L'Elixir cle "Virginio Nyrdnhl qui guérit
le9 varices, la phlébite, le varicocèle. les hémorroïdes est
aussi souverain contre tous les accidents du retour d'dge
hétoorrajies, congestions, vertiges, élouffemenls, palpita
tions,gastralgies, troubles «ligestifsetnerveux, constipation.
Nyrdanl, 20, me de la Rochefoucauld, Paris. Le flacon
4 fr.GO, franco.Enroi gratuit de la brochure explicative.
Exiger sur ['enveloppe de chaque flacon, la signature de
garantie Nyrdahl. Dépot a Bruxelles, Ph. DERNEVILLE,
bu, Boulevard de Waterloo et toutes pharmacies.
Nécrologie.
On annonce de Seriing, Ia mort de M. Léonard Bovy-
Ruelle, conseiller communal, élu sur la liste des intéréts
communaux.
Leb février est pieusement décédé au chiUeau d'\n-
nevoie, l'dge de 78 ans, Monsieur Charles de Montpellier
d'Annevoie veufde dame Alix Vergauwen. La mort de eet
homme de bien laissera dans la province de Namur d'una-
nime9 regrets, et particulièrement au village d'Annevoie,
ou la familie de Montpellier, depuis toujours, n'a cessé de
se dépenser au bien d'autrui et d'etre la providence des
pauvres. Lea funérailles seront célébrées .1 Anncvoie, le
samedi, 9 février.
FRANCE.
APRÈS LA SEPARATION.
DEUX MODÈLES DE CONTRAT,
M. Briand a établi, comme suite a la circulaire du
5 février dernier, deux modèles d'actes a passer par les
préfets pour altribuer i des ministres du culle, ou a des
associations, la jouissance des édiflees reiigieux (églises ou
chapelle8) qui appartiennent d l'Elat ou qui, ayant appar-
tenu d des établissement» ecclésiastiques, sont placés sous
séquestre.
Le modèle A est destine d élre soumis aux eeclésiastiques
qui se sont présentës ou se prësenteront pour trailer a litre
individuel.
Le modèle B a étê rédigé pour le cas oii afin d'éviter
d'avoir d demander l'adhésion nouvelle du préfet d chaque
changement de curé, la jouissance d'une église serail
demandée au nom d'une association.
Enfin, le ministro a établi deux autres modèles, C et D,
pour des acles d passer par les maires, au nom des com
munes. Ile sont destines a permetlre aux préfets dcrépondre
aux demandes d'avis qui leur seront adressées par les
municipalitcs. Us sont d'un caractèrc purement indicatif.
Le gouvernement, en effet, n'entcnd nullement imposer
ces modèles aux maires, qui reslenl libres, comme le porie
la circulaire du 5 février. d'arrëtcr les termes des conlrats,
d'accord avee les ministres du eulte ou les associations,
pourvu qu'ils ne sortent pas dc la Ic
quaranic-six ans, s'est librement donnée d elle, ne se dou-
tant pas qu'un jour les établissements reiigieux seraient
dépouillés de tous leurs biens.^
La Flandre liberalequi a brulc de l'cnceus
devant Mgr Lacroix, a l'époque oü cllc le croyait
aeuuis au radicalisme républicaiu, rep rod ui ra
l-elle cede protestation?
LE SUFFRAGE UNIVERSEL ET LA R. P.
La Commission du suffrage universel s'est prononcée,
4 l'upgnjmilé, pour l'élection au scrutin de lisle par dépar-
ements avec representation proporlionnelle- Elle a adoplé
le chiffredes électeurs inscrils comme base de la représen
tation et s'est arrêtée au chiffre de 25,000 pour un député,
tonte fraction supérieure a 5,000 électeurs étant comptée
npur le chiffre entier. Toutefois, lorsque le nombre de
iiC-pqtési élire est supérieur a dix dans un département,
pe départenienj sgra (Jjyisé en circonscriptions fixées par
une lei.
L'Eclair raconte une curieusc anecdote
lin jeune séminariste, rappelé sous les drapeaux pour
deux ans, par nos aimables ministres, arrivait dernière-
mgnt dans un régiment de tirailleurs algériens.
tjès ie ^£j;^iier iour, il constate dans son paquetage Ia
cqspariiio'n 'd'un objef d'liqbi!lement. On aait que Ie
tureo coqime Iejjauaveest'naturcHeraent dtnpardcur.
Mais quel ne fut pas 1'ptQpnctnent de la phambrée, com-
posée uniquement d'indigóncs tnusulmana, lorsqtfon vit,
je soir, I? ligumi s'agenouillcr au pied de son lit... et prier
uiipresslonnés par d<-' CCt acl<", les braves jnusiil-
tnans se renseignent... et apprennent que Ie bleu -,
arrivé de J/rgnee, rsi un marabout! Dés le lendemain, a la
grande surprise de l'intéressé, lc paqqetage du séminariste
élait au complet...
Pfndant que nos ministres francais cijapardent, les cl a*
patttelirs bédouins restiluenl.
ALLEMAGNE.
LES ELECTIONS ALLEMANDES ET LA PRESSE
Berlin, 7 février. Tous les journaux consacrentde
longs rommentaires aux élections.
L'ofticieuse Gazette dc l'AUemagne du Nord écrit
Dne majorité nationale solide fait enlrer dans Ie nou
veau Reichstag une majorité qui sera indépendante du
parti Ie plus nombreux, celui du centre. Le centre ne
pourra done plus grouper une majorité avec l'aide des
8ocialistes et des Polonais.
L'organe oflicieux ne console ensuite par l'argumentation
originalement spécieuse que voici du succes du centre
Si,dit-il, les socialistes n'ont pas vu leurs forces encore
plusaffaiblies par ce scrutin, c'est gr.lce au parti que l'on
se plaisait a considérer comme la digue la plus solide
contre le llot montant du socialisme. La vicloire remportée
sur les socialistes est en même temps une victoire sur le
centre.
Ce n'esl pas précisément l'opinion du Berliner Tage-
blatt, qui declare que Ie gouvernement, s'il a gagné une
cscarmouche, n'en a pas inoins perdu la bataille elle-
méme.
Les journaux libéraux sont unanimes a demander au
gouvernement de donner désormais au libéralisme la place
4 laquelle il a droit, et, bien entendii, ils le mettent en
garde contre toute tenlation de renouer ses relations avec
le centre.
Les journaux nationaux libéraux l 'engagent 4 constiluer
une majorité libérale conservatrice mais il est 4 remar-
quer que les organes conservateurs acceptent avec mau-
vaise gr4ce l'hypothèse d'une majorité ainsi composée, cc
qui prouve bien que l'accord electoral des libéraux el de3
conservateurs n'ètait qu'un accord de circonstance et que
les frères ennemis reprendront rapidement leur attitude
respective d'avant la dissolution.
Le J'ori-aerts, socialiste, évite, *1 pour cause.de com-
menter les résultats d'hier. 11 se borne 4 faire valoir l'aug-
mentation de voix dont il a bénéficié au premier tour.
Quant a \&£ermanica, organe du centre catholique, elle
fait ressortir que Ie gouvernement sort vaincu de Ia lutle
qui était réellement dirigée contre le centre. Puis elle
affirme 4 nouveau son opposition.
Le centre a inoins que jamais, dit-elle, ('intention de
devenir un parti gouvernemenlal dans le sens voulu par
le chancelier, c'est-4-dire un parti qui n'a qu'4 dire oui
dans toutes les questions.
LA PROTESTATION DE MGR LACROIX.
Le Bulletin de Tarentaise donne le texte de la
protestation que Mgr Lacroix a lue devant les
prêtres de Moutiers, lors de son expulsion, le
9 janvier dernier.
Je proteste d'abord cn mon nom personnel. Quand je
suis enlré dans ce palais il y aura bientöt six ans j'y ai pour
ain3i dire étê introduit par ce méme Etat qui m'en cxpulse
d eettc heuye presque comme un malfaileur. Ai-je besoin
de dire que je n'ai jamais riea fait pour juslifier celte dis
grace? Vous ne l'ignorez pas, Monsieur ie commissaire. Nul
plus que moi n'a montré dc deference et dc courtoisie
envers tons les représentants des pouvoirs publics nul n'a
préchè avec plusd'insistanoe le respect ile la Constitution et
des lois qui régissent notrepays nul enfin,ncs'est appliqué
davantage 4 enseignpr l'nmour de la France 4 celte vail-
jante population de Tarentaise dont la Providence m'a fait
le pasteur.
Je proteste aussi au nom de mon clergé qui avail l'habi-
tude de regarder cotpme sienne cetle vieille demcure b4tie
a» comtheDcement du XVII' siècle par un illustre arehe
vêque «t qui la tenait pour I'un des plus précieux joyaux
du patrimoine qui 9 été légué 4 ce diocese par les généra
(jogs disparues.
Jo proteste encore au nom des pauvres de la ville et des
environs pour qui c'étalt une douce et ancienne tradition
de venir frapper 4 la porte de ce palais, sürs qu'ils étaient
,1'y étre accueillis d'une fa?on toujours affable ou plutót
cbrétiennc, et dp g'pa re(ourner sinon avec un sccours
important, du moins avec l'une de oes parojes qui psrtent
du cocur et qui valent souvent mieux que des pieces d'or.
Je proteste enfin au nom des droits sardes qui onl été
6olennellement garantis par b» Convention de 18(50 et que
la France ne peut rtnier sana commettre un véritable
attentat CQVf re celte ooble province de 8avoIe qui, ilya
Voici la liste definitive des députés au Reichstag, que
publieront les journaux de demain
Centre catholique, 110.
Conservateurs, 59.
Nationaux-Iibéraux, 50.
Socialistes, 43.
Anlisémites, 31.
Parti de l'Empire, 22.
Parti démocralique, 28.
l.nioo libérale, 11.
Déuioerates de l'AUemagne du Sud, 7.
Lorrains, 3.
Independents, 3.
Danois, 1.
Les journaux allemands reraarquent que, parmi les
110 députés du centre catholique alleinand, sont compris
les députés du centre alsaeien.
lis aflirment y étre autorisés par les déclarations des
députcs alsaciens.
Les socialistes ont perdu en tout 37 sieges les démo-
crates, qui sont en partie voisins, en ont gagné seulc-
ment 12. Les gauches ont done perdu au total 25 sieges.
Les conservateurs, antisémites et agrariens ont gagné en
tout 15 de ces siéges. Les nationaux-libéraux en ont gagné
0 el les indépendants 1. La minorité démocrate a par con
séquent été diminuée, dan9 les dernières élections, de
25 sit'ges. C'est 14 le fait prépondérnnt qu'il importede
soulignci'.
Toutefois, il est bon de remarquer que, dans le cas oü
le gouvernement voudrait restreindre, supprjmer ou modi-
fier le suffrage universel, dans le cas oü il proposerail des
lois d'exception ou dans Ic cas oij il se Iqncerait dans une
aventure guerrière, il se heurterait encore, malgré les
droites et malgré les nationaux-libéraux, a une majorité
compocie de 225 voix environ (majorité composée des
députés du centre, des démocrates et des socialistes).
STATISTIQUES.
Berlin, 6 février. Le Centre catholique, les Polonais ft
les Alsaciens disposent de 135 mandals et gagnent 8 siéges;
les droites,avec les agrariens et les antisémites, de 113 man-
dats et gagnent 15 siéges les nationaux-libéraux de
57 mandats et gagnent (5 siéges les gauches (socialistes et
démocrates) de 91 mandats et 21 siéges.
La majorité constitutionnclle, ennemie des lois d'excep
tion et de I'absolutisme, comprend 220 députés auxquels
se joignent une dizainc de nationaux-libéraux au moins
la majorité patriotique comprend 3-23 députésla minorité
naiionaliste, qui vote tons les credits militaires sans objec
tions et pousse a la politique mondiale comprend 163 dé
putés conclusion le prince de Billow ne peut gouverner
actuellcment sans les démocrates. dont Ie programme
électoral se résumé dans eet article Ktabliasenient du
régime parlementaire en Allemagnc a.
Lc prince de Bulow sera done forcé de se réconcilier
avec le centre et gouvernera, s'il y parvient, comme il est
probable, avel la majorité d'autrefois renforcée de 24 voix
323 députés. Son réve d'une majorité composée de
conservateurs et de nationaux-libéraux s'est trouvp irréa-
lisable, gr(|ce la forpe de yésislanqe du peqtre.
Dn Figaro
La Constitution veut qu'il y ait un député au Reichstag
p^v 100,00(1 habjtant9. En France nous suiyoqs Iq méme
régie et, scïupuleusemant, q Ia vejile de chaque consul
tation électorale, nos circonscriptions sont remaniées. En
Allemagne, !e Reichstag n'a que 397 membres, au lieu des
6)0 qu'il devrait avoir puisque l'Empire compte (50.000,000
d'4 nes. Oq sc garde bien de respecter Ie principe, a caqse
que ce respect de la légajiié prpfiierait aux partis d'oppa-
sition.
Dans un article de la Pecue politique et purknitntaire,
M. Marcei Rouffie a noté que le nouveau palais du Reichstag
ne coclient que 400 places. II a été construil pourtant
4 une époque récente, et déja Ie dévcloppcmeot de la popu
lation exigenit un plus grand nombre dc députés. Mais
déj4 aussi les dirigeants de l'AUemagne avaient décidé sans
doutc qu'il n'y aurait jamnis dejuurpourla sincérité et
l'équité de la représentation electorale. C'est 4 peq prés
la pensée des hommes d'Elqt de Louis.Philippe quelquc
temps avanl lc 24 Février.
L'inégalité des circonscriptions électorales permet an
chancelier de Bltlow d'obtenir un Reich9lag oü l'AUemagne
libre ne reconnailrait pas son image II suffit de fi.OPQ
voix 4 M. lirpmpf, natjonal-Iibétai, pour se faire élire
député de la Ir' cirronscription de Berlin il en faut prés
de 100,000 a 31, Ledcbour, social jste, pour passer dans la
.Ma'-gré ce? clrccju^lances, malgré la prcsslqn officielle, les
groupes d'opposition conscrvenl la majorité du corps élec
toral et lc parti socialiste 4 peu pres oljassé du Reichstag
a réuni 3,2o0,00ti suin-ages (pour il millions de votans) Le
rappel de ces données précises est utile, si l'on veut appré-
cier saincraent le résultnl des élections allemandes.
N'oublions pas, d'ailleurs, que le nrince de B(\to\y avait
déclaré la guerre au ccutrëen méme temps qu'aux socia
listes La social-démocratie succombe dans une partie
inégalc, oü I'adversaire a gardé les atoiits. Quant au centre
catholique, il revient 3U Reichstag renftircé. tl a gagné des
siéges; el l'échec des socialistes, loin de Ie desservir,
accrolt son prestige,
SUÈDE.
BRUIT D'ABDICATION
Une dépêche Laffan de Stockho-oi dit que lc roi Oscar de
Suède aurait ('intention d'abdiqtier prochaincment en
faveur du prince liéritier, qui ést cctucllenicnt régent du
royaume.
L abdication aurait probabbment lieu le 6 juin de celte
année, date laquelle les aouver^ins ftteraient leurs noces
d'or.
Par contre, un télégramme de Carlsruhe annonce que Ie
prince hérilier est tombé sériensunenl malade en cette
ville, oü il élait allé rendre rtrtfj 'graud-duc et
4 la grande-duchessc de Baile.
que vous, lc premier vendeur des Grands Jlagasins...
étes en ballade 4 5 heures de i'après-midi Je eoiu-
prends voire étonnement, .Monsieur, mais je «lois vous
dire que depuis 45jours je ne fais plus partie de ia
maison. Gar ayant atlrapé un terrible froid qui a com
plètemeut abuné ma voix il m a élé impossible de
serrir convenablement ma clientèle. J'ai done drt don
ner m.i déinission. C'est bien fdcheux, 3Ionsieur
Dupuis, d'autant plus qu'il existc depuis quelques
année< un reméde absolument infaillible contre les
maux qui vous accablent. Je Pai essayëetj'en suis
ravi Ge sont les scules véritnhlcs Pns-
titli'S miiiéralcsi dc Soilon dc Fuv
que voii9 achetez pour fr. l.SJC Ia boite dans toutes
les pharmacies et drogueries.
Depót général F. Bruucr,
véritable» Pastille»
Soclen de s Fay
Bruxelles.
agent des soulos
mluérales cle
13, rue de Ia Madeleine,
DépótsPharmacie DE MOOR, me de Bruges, 38.
«Tetidi, 8 h. du soir.
Séance du 7 Février.
La séance est ouverte 4 2 b., sous la présidence de
M. SCKOLLAE ,IT.
MOTION D'ORDRE.
M. maenhaut demande que la Chambre fixe a demain
Ia discussion sur la prise en consideration de Ia proposi
tion de loi concernant Ie couchage du personnel des établis
sements industriels et commerciaux.
REVISION DE LA LEGISLATION MINIÈRE.
Suite de la discussion des articles.
M. VERSTEYLEN, rapporteur. Nous sommes en pré-
8>qCuivoque(' amendement8 et '®l»orte qu'il n'y ait pas
J'ai dit hier qu'il y avait en 1905 780,000 aflitiés a la Caisse
cpargne et M. Denis m'a répondu que cela faisait en
moyenne 400 francs par téte. L'hoaorable membre se
trompe mais, en supposanl même que la rente soit de
100 francs apres sept ans, elle serail évideminent plus forte
apres un nombre plus considerable d'années et l'on con-
viendra que c'est trés beau.
Quant a l'amemiemenl de M. Denis, je ne pourraisme
resoudre ale voter celui de 31. llcUepulte oblige unique
ment les patrons du Limbourg a faire des ver.-ements Je
ne puis davantage me rallier 4 cetle maniére de voir
Beste a savoir si nous devons faire une loi unitaire 4
lexempie de l'AUemagne, comme le demande M. Denis,
uais ce n est pas le moment d'examiner ce système. Si l'on
estime que lc regime de la liberie ne convient plus, nous
cxammei'ons Ia proposition i!e 31. Denis en temps el lieu,
pour en faire un projet de loi special.
Le système de 31. Janson préte lc flanc 4 plus de critique
encore que celui de 31 Ilelleputte, car it impose, en tous
cas au patron 80 p. c. de la charge. Quant a 1 amendement
31. t'epin, il doilétre subortlouné a une loi militaire
qui n'est pas meine proposée.
On ne lient aucun compte dans tous ces amendements
3 I existence des caisses de prévoyance qui, comme celle
du Couchant de 31ons, intéresse 20,000 ouvriers et leur
sert des pensions fort importanlesdes ouvriers mutilés
touchent ues pensions <ie francs üq. moycunanl
I 2p. c. du salairc, exigés annuellement dés ouvriers el
des patrons.
M. VERHAEGEN. Nos amendements n'exigent que
fr. par ouvrier et 24 fr. par patron. Ne les avez-vous
done pas compris
M. VERSTEYLEN. Vo3 amendements exigent w
des patrons et vous n'accordez qu'une partie ,r-
de la caisse de prévoyance du couch—^vantages
AJ. VERSTEYLEN. II faudrait une loi et cette loi n'cst
hmirPnïp05ee.' Mia'S J"c nei PI?"rrais admettre l'obligation
iour un^. partie du pays et Ia liberté subsidiée pour 1 autre.
FRANCOTTE. L'lionorable rapporteur attaque a li
us le gouvernement el I'auteur de 1 amendement. (Önrit)
iiiii» Lie a la der?'^e partie de l'amendé-
ment Ilelleputte, de fa^on que l'afliliation serail obiipa-
loire dans tous es charbonnagcs du Nord, tant pour
ouvrier que pour lp patran, puur
K. A4ASSON. Vous avez done varié depuis hier.
M. FRANCOTTE. Oui(Exclamations 4 gauche.) Le
seconde partie de l'amende-
ment de M. Ilelleputte qui etend le système a tout le pays.
M. DELPORTE. Vous avez dit hier qu'avec Ie système
actuel, I ouvner n était pas certain d'avoir sa pension.
M. FRANCOTTE. II faut généraliser le régime et
le loi 3 bassin niais il faut le faire par un projel
M. bertrand. Le déposerez vous
M. FRANCOTTE. II est déposé. Et a ce propos, je
dirai que j'ai retrouvé les minutes ilea réponses faitt-9 a la
commission spéciale et dont M. Ilelleputte dit n'avoir pas
eu connaissancc. Ces minutes sont, (le la main de M De
Jacr, l'ancien directeur géneral, et j'en ai fait une nou
velle CQpie.
M. Denis. Le gouvernement ne nous dit rien des
pensions d invniidile.
M. mabille cslime qu'il faut faire cesser ('injustice
dont soullrent les ouvriers mineurs qui ont versé depuis
toujours pour la pension sans béneficier des subsides
del'F.tat.
M. FRANCOTTE. l,a lol s'y oppose.
R? MARILL^. F.h bien faites un petit bout de lol no"-
modifjer, 1
M.HELLEPUTTE acéepte la proposition du gouverne
ment 81 CClUHCt se declare disposé a saisir la cLmbre el
Al- fR4NflOTTf - Nous sommes absolument d'accord
Lc gouvernement depose en consequence Ie texte d'un
lEl'lime ''enf°rme 1 l'a,ln"'11 'le ''amendement
55?ns?ENIS ,Ieman(le si on est d:4ceoid sur l'Age de
A* VANpERVELDB consiate que te dépót de ('amen
dement du gouvernement est une victoire pour MM Helle-
putte et Denis. 31ais 'e gouvernement, qui acecptc auiour-
Hge de 5b ans, se réserve de fixer dans la loi 4 veni- r.ee
de 00 ans.
M. FRANCOTTE. La loi ï'égleta ce point, et c'est la
Chambre qui Jq vo.tj;ra.
PRÉSIDENT. La discussion neiil-elle élre close?
ihilarite). Voici un autre amendement de 31. Fléche!
Les amendements Janson, Denis, Pcpin et FIéchet sont
successivement rejetés.
M. HELLEPUTTE reljre sou amendement et se rallie
a Ia redaction du gouvernement «ui regie l'afliliation obli
gatoire des mineurs 4 la Caisse de retraite en attendant
quune lui speciale nil réglé Ie fayon générale la question
des pensions ouvricres. i
Cette rédaclion est adoptée.
M. DENIS d.éyclftppÈ ion aiuendcment relatif au travail
des en?an»s et ues femmes dans les mines.
augusteyns appuie eet amendement en flauiand
dabord - en francais ensuite. (Mouv, livers et murmures.'
FRANCOTTE. La question de l'interdiclion du
La.aii des enrants est tres complexe. II n'esl pas possible
de f-rmuler unc interdiction generate si l'on inter.lit le
travail dans la mine aux enfanls a aol moins de 14 ans
on etupychera le reorulement du per onnel ouvrier car les
enrants s'engagcront dans d'autres industries.
Ai. FLECHET. Elablissez l'instrin lion obligatoirs.
m. francotte. Elle n'?j;istepjs encore,
w- D^|,p.ORTE. File lesera blentót.
irt. FRANCOTTE. Je n'ai 4 tenlr compte que des fait»
acquis. 1 our ina partje ne veux pas prendre parti sur la
question du travail des enfants, mais je me rallie 4 l'amen-
qement Ilelleputte visant l'interdi-tion du travail des
femmes.
M-.ypRHAEGEN in9iste en faveur de l'interdiclion du
travail des enfants. Oa ne peut pasen conscience envoyer
gq fopd ije la mme (les enfants de moins de ijualorze njg
dont l'intelllgonoe n'«st pas encore formec.
II n'est paa moins bon de légifcrer pour interdire Ie
travail des femmes, méme s'il n'y a plus que 25 femmes
occupeés dans Ia mine, comme l a dit hier M. Francotte.
M. VAN CLEEMPUTTE sc demande s'il n'y aurait
pas licu d'inlroduire dans le texte au second vote, une
disposition inicrdisant nun sculemcntaux femmes agécs
de moins de 24 ans, mais 4 toutes les femmes Ic travail
dans les mines. 11 fait des réserves sur l'amendement de
31. de I.antsheere.
Af. CARTON DE WIART craint également que les
enfants. se voyant interdire le travail du rond.nedésertent
la mine pour aller Iravailler dans d'autres industries.
M. hymans. Décrétez alors l'instruction obligatoire.
M. CARTON DE WIART. La solution que nous prëco-
Disons a été étudiée sous toutes f es faces el l'on ne pourra
nous reprocher d'avoir marché l'aveuglétte. Kn adoptaot
l'amendement Ilelleputte In Chambre fera une oeuvre sage
et une oeuvre bonne.
'aif-il ai. HYMANS. Je voterai de grand cocur eet amende-
uii ii ment. Nous devons ètre unanimes pour empècher que
I'enfance ne s'épuise au dur labeur de la mine- Celte
réforme serait compléte si le gouvernement inslituait
rm8truction obligatoire. On ne devrait permetlre 4 l'enfant
dt' Iravailler que lorsqu'il aurait terminé son instruction.
(Trés bien a gauche).
M. maroille estime qu'il est inique de permetlre a
l'enfant de iravailler dés l'dge de 12 ans dans la mine. C'est
un crime au poinl de vue physiologique.
M. SMEETS. Vous avez entendu dans Ia bouche de
31. Hymans l'ëloge de l'instruction obligatoire, mais
puisque la classe ouvrièrey perdra en salaire. i'espère bien
que 31. Hymans complètera sa pensée cn adnerant4 notre
système de cantines obligatoires. (Rires 41'extrêmc gauche).
M. DENIS se rallie sauf quelques légères réserves de
rédaclion, 4 l'amendement Ilelleputte.
L'amendement Ilelleputte, relatif au travail des enfants,
est adopté par 119 voix et 6 abstentions, les membres du
gouvernement et M. Furnemont.
Les ministres déclarenl qu'ils se sont abstenus paree que
Ia loi de 1889 leur donnait le moyen d'intervenir.
M. FURNEMONT déclare s'étre abstenu pour que les
membres du gouvernement ne se trouvent pas seuls 4
8'abstenir dans ce vote.
I n amendement assimilant les femmes majeures aux
femmes mineures, quant 4 l'application de Ia loi de 1889,
est rejeté.
Ai. buyl (motion d'ordre) veut allirer I'attention de Ia
Chambre sur la situation des travailleurs de Ia rue, dont le
fouvernement s'occupe fort pen. (Murmures et protcsta-
lons 4 droite crisIe reglement, le reglement
M. LE PRÉSIDENT. Ce n'est pas une motion d'ordre.
M. buyl est forcé de se rasseoir.
Séance levée 4 5 h.
Aujourd'hui séance 4 2 heures.
a 0 h., dans
On nous telephone
LE PROCÉS DU SOIR
Le ministère public a dans le procés que le Soir a intenté
au Petit Beige uemandé a la Cour de confirmer le jujfr-
«nen^aHequel le tribunal s'était déclaré incompétent.
UN COLLABORATEUR du XX* Siècle s'est rendu
Alost cbez i'abbé Daens. II rapporte que c'est le 30 janvier
que l'état de M. Daens s'aggrava.
Lesmédecins traitants après consultation avisèrent le
malade que s'il avait des dispositions 4 prendre il devait y
aviser sans retard.
M. Daens demanda un prétre.
M. Pierre Daens sans s'ojiposer 4 la visite d'un prétre
demanda a son frère s'il allail renier lout son passé
politique.
A 10 h. 3 4 on alia sooner chex le doyen de St-Martin,
11 est faux que M. Daens ait élé 1'objet d'une pression
quelconque de la partdu clergé alostois.
Ni lc doyen ni les vicaires n'élaient au courant de la
maladie de 31. Daens.
C'est M. Van den Abeele, vicaire, qui a'est rendu chez
l'ancien député.
11 entendii sa confession et ensuite a recueilli devant
2 itmoins unc declaration con<;ue dans les termes suivants
Je demande pardon a Dieu du 6candale que j'ai donné cn
désobéissanl a mon évéque en commnnauté avec Ie Sou
verain Ponlife.
Je regrette d'etre resté si longtemps en suspens el de oc-
rien avoir fait pour en sorlir.
L'abbé Daens a reeu le viatique le ieademai
les sentiments de Ia plus édifiante piété
MM Fonteyne,Daemers, Delf"-'
taient 4 Ia cérémonie. - l«r,e €l Pierre Daens ass,s'
L'état du «--*
...diaue s est beaucoup améhoré.
la PRINCESSE ELISABETH accompagné de
31"' vanden Steen de Jehay est parti jeudi pour Paris. Elle
sera de retour demain.
Les princes Léopold cl Charles et leur scnur ironl pro-
chainement 4 Ostende a la villa Osterrieth.
LIMPOT SUR LE REVENU A LA CHAMBRE
FRANCAISE.
Paris, 7 février. 31. Caillaux lit l'exposé des motifë du
projet d'impót sur le revenu. II propose de juxtaposer les
impóts réels sur toutes les catégories de revenus, en un
impót personnel global.
Le projet institue des impóts sur le revenu des capitaux
mobiliers et immoliers au taux de 4 les revenus indus
triels et commerciaux au taux de 3.50 et les revenus du
travail au taux de 3
Les taxes sont cvaluées pour le revenu foneier par Ia
commune, pour les revenus industriels et commerciaux
par les agents du Abc, sauf Ia declaration des conlribuables
contestant les chiffres du fisc, et pour les revenus du travail
au moyen de la declaration.
Le mode d imposition des valeurs mobiliéres franeaises
est maintenu. Toutefois, le ministre demande 20 millions
deplus, sans augmenter les impóts sur les valeurs des
pères de familie a petits revenus.
Toutes les valeurs étrangères ont libre accés sur les
nrarchés francais, moyennant un droit dc timbre de 2
sur la valeur nominale, et I'impót sur le revenn au taux
de 5 0/o.
Le litre de Ia rente francaise continue 4 étre exempt,
sans toutefois que les possesseurs de revenus conslitués
en fonds d'Rtat soient affranchis de I'impót sur lc revenu
ou de I'impót global,
r.»,» r
'A c .itlon doit élre acceptée, si l'on n'a pas Ia preuve
..e son inexactitude.
Ainsi il n'y a pasd'inquisition et pas d'arbilraire.
Les garanties de l'administration sont le controle sur les
banques el les sociétés de crédit, et «les amen.les rigou-
reuses en cas «1e fraude.
La lecture du projet souiève les applaiidissements des
gauches «Je la Chambre, et les protestations de la «Iroitc.
Lc projet Caillaux est renvoyé 4 Ia commission des réfor-
mea liscnles, au nom «lc laquelle M. Lauraine prend l'eóga-
gement de se meltre sans retard a 1'étinle.
LA CONDAMNATION DE NEBOGATOFF.
Saint-l'éter?bóurg, <5 février. Le Tsar a confirmé'e
Jugement du eonseil de guerre comlamnant l'amiral Nebo-
gatoff4 dix ans «le forteresse et plusieurs «le ses officiers A
direrses peines «l'emprisonnement.
A L ACADÉMIE FRANCAISE. RÉCF.PTION DU
CARDINAL MATHIEU.
l'aris, 7 février.— L'Académie fraB^aise a recu solennelle-
ment cette aprés-mi.li Ie oardinal Mathieu. élu rn rempla
cement <lu cardinal Perraud
Q'esl le cotnic «Vllaussonville qui présidalt Ia séance. Lc
oa?«lin«l Mathieu avait pour parrains deux membres de
i'Acailémie,originates comme lui de la Lorraine,MM.Alfred
Méaières et F.milc Gebhardt.
Le cardinal 3lathieu, dans son discours, a d'abord
remercié l'Académiede l'avoir élu. t Je vousdois, a-t-»l «lit,
l'honneur insigne de représenter le clergé francais 4 l'Aca-
«lémie, suivant une tradition aussi ancienne qu'elle-méme.
Vous n'avez point voulu rompre votre Concordat. Fondés
par un cardinal, vous vous étes mostrés défërents pour le
Sacré-Lollége, et la pourpre de mon prédécesseu; i portë
bonheur 4 la mienne. Je sais, en effet, qu'-cn me nommant,
vous avez considéré mon litre plu9 que me9 litres.
I'arlanl du cardinal I'crraud, Mgr 31athi<v, *'Mprime
ainsiLe cardinal I'crraud était la figure la plus impo
sante du clergé francais. U jouissait d'une r«;p»tation
incontestée d'etrateur et d'écrivain, et par son admirable
tenue sacerdolale, il avait onquis Ie respect des incroy&nt»
eux-mémes. Le peuple, «lont la voix est quel«|uefois calle
de Dieu, l'avait canonisé «le son vivgnt.
L'orateqr rsppelle eqsuile daQ9 quelleg conditions le car.
dimlPemu<:?fitrmi l'ordre d<- FÓratoircs-c. !>.«'e dc
quelques autres eeclésiastiques. l'ui>«. pnr'aat dc lé.«.,ue
d'Autnn, il rappelle qu'au* deux extrémitcs «le l'Eu.-.ipe,
den peuplea malheureux attirérent Ia pilié du père Gratry
qui déclara la guerr« aux oppresscurs «Ie l'Irlandc ct dc la
I'ologne,et Ianca le l'ére I'crraud contre l'.Vngleterre. et Ic
Përe Lcscocur contre la Russic.
Dans la derniére partie de son discours, Ie eafilm
Mathieu a parlé des qualités morales du cardinal r«-;ml
et de son talent d'oratrur.
Le comte d'Haussonville a répondu au recipiendairc.
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Ainrm(«n. 2 l/i80 05
Namur, 1903 3 i/J101 -
iuveri, 2 i/Sip.-. 1887 103
Aav.r» 1903101 50
Blankriiberglie 188502 75
Bruxdies, 1S0J107 75
Bruxrlle» 11b1905 94
Bruxclies esl95 50
Bru. MarlUcn t p. c. 85
Gacd. 188685
Laekcn 190592 50
i 128 7
87 7.i
96
95
Lifjre i860
Uége, S p. c. 1897..
Liige 1905
Miliufs 1885
Malines 1897
Namur 1887
Namur 18942 1/2 ftó -
Oiteade, 2 4 pr-, 1898 83 7..
Saiiit-GUlt-j 189493
Schaarbeek lp. c. 189/ 81
Spa (Tllledo) 190592-
Taurnai 18745 52 3/1
Turnhout, 18999^
Verrlrr» 3p. c. 4 p. 1873 itfj
Cougo (Klut inddpondanti 96 30
Congo (omortlMnblc94
Congo 5 p. eyg «x,
Cnn.o 'ot* 4 url««»... gg gy
Vervier» 1893
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BANQUES CA1SS8S ETC.
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Banque d'Anver* (lib H|5
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Buique Li^gcots pr
Bauquc d'Outrcmcr cap
Banquo d'Outrcmer «lhr
Banque de Report»
8auquc lutern. do Brux.
403 59
295
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117 50
773
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Senqnc Nationale.
Banque Slno-Beigc.
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Crédit Anvetiol»-..
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Crédit Nat. Ind. p. f.
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Orient595 1
Soeiété gén. P. de ré». 4098 -
TRAMWAYS ET CQEM1NS DR FF.R ÉCONOMIQUES.
4550 -
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Alexamlrlep. 205
Au» i Or eye (ch. vldnai) 291 50
inver»(0 Gén.; dir. 88 23
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A,trakanord.
Atliéncs-Plrée.priv.
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Brnxelloil.prtr.
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Bacarest (Ir. unit de) d.
Badiureit (tr. uni») p.l.
Tram C«r Nord Midi e.
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CarUgèuepriv. 132 50
CarUgéneord. 145
Ca tan c110
Central-Nord c»p. 124 'O
Donkertpie-Caiidic. S3 50
Bconomiquull.'i
85
14 75
07 50
18 50
153
61
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Isp. (Klee.)cap.
B»p. (Klec.)dir.
Kap. (Elcc.)p. f.
Tr. Est-Oaetl de Llégc.
Florentlni
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Galatzdlv.
Gand e
Gand Klectrlque.... div.
Bougrlu (T. Ecl. KI.) a.
tot. Trant1.
Ifew.,dlv.
Uégeol» dlv
Llége Strung 0
94 50
23 75
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489
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35 -
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Madrid et
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1»p«gn« pr. 469
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ProtlneiauxCh. Ier. pr. 1225
Provi'udain (Naple»)... 378
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Tranip. et En'j. lsdut.
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Union Anvcrdéi-.e cap.
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Union dc» Tramw. tap.
Union de* Tramw. nut.
V«r»gvle, Jonluaiise..
Veronediv.
Vrr.i<t'„iiw....
VU. Beige. (UiGil
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Pieper in.-, éribl jr
Pieper («nc. établ.i o
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S.'iiubro el MoseRe, o.
Sod de Ch.4tcliap.iu.
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Trost Mé;al. dlv.
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