A HERNIE
EXTÉRIEUR
co n\i i hci:
DERNIÈRES NOfJYELLES.
CKA3IBRE DES REPRÉSENTANTS
Votre cas ressemble-t-il
au suivant?
ÊTAT-CIViL DE GAND.
PRANCE.
La Jouissancc clew ê^liKes,
L A COLS RB DU BLOC.
Paris, 7 févricr.— Après avoir jèté Ia consternation «lans
lc bloc, Ia nouvelle que 1c Pape repousserail fornicllemenl
ia formule des contrats «Ie jouissance, qui foal suite la
circulaire Briand, a provoqué dans les milieux ma$onni-
ques ft combtsle un violent mouvement dc colère, eom-
pliqué de dépit.
On a vu aussitól tous lee Sec la ires réclamer des repré
sailles conire l'Fg'isc et mener ucc active propagamle
auprésdc leurs amis pour obtenir dc la Cüambre qu'elle
annule. fen guisc de réponte au Vatican, son dernier vote
relat'.f a ta suppression de In declaration.
II fauts'attendre a voir detnain tons iesjournaux du bloc
fcindre une indignation de commande et summer lc gou
vernement de be plus essaycr, avec les calholiques, dc ces
iw-disant 'aceommodements que vanlcnt tanl les jacobins
M assure que les amis de M. Combes vont manoeuvrer
dos demaia en vue d'entraver les travaux dc la commission
Scuntorialc, actucllcmcnt saisic du j»rojet sur Ia déclaralion.
On annonce en outre que, sous la direction dc 51. Pelle-
tan, unc importante fraction des radicaux-sociaüstcsde la
Chambre va s'efforcer d'acculerle gouvernement a un poli
tique d'oflcusivc conlrc l'Eglisc.
UN ARTICLE SO COURIERS D ITALIA 3
LES EIUEUCH£S DE M. BRIAND.
Borne, 8 fevrier. Lc Corriere d'Italia, organc eallio-
"u en ta'sanl I'cxamen du lexte des instructions
Uriand aux préfets, au sujet de la jouissance des
cglises, et des modéles de contrals, il csl évident qu'après
les violences de langage de 31. Clémenceau, contrc les
évéques et leurs décisiocs, 31. Briand prépare des embüehes,
moins évidente?, mais plussürcs.
Lc but poursuivi par M. Briand ressort clairement.
surtout des deux points portés dans les modéles, par
csquels on voudrait réduire l'fcgHsc a une situation qui
modine lout l'esprit du eontrat proposé par les évéquee
en Ie rendanl priliquemcnl différent de celui vo'ulu pareux*
e procés-verbal des évêques dit que lorsqu'uo cure, par
des motifs quelconques, quitte ses fonclions, la jouissance
nc. c a(jparticïil de droit a son successeur. Cette trans
mission de droit est naturellement unc clause nécessaire
pour assurer la celebration pacifique du culte pendant la
uuree du eontrat.
contraire, la circulaire minislériclle lèse ce principe
r jen*,e') en établissant que, chaque fois qu'ufi nouveau
-ure entrera dans l'Eglisc, la municipalilé sera libre de ne
pas renouveler Ie eontrat avcc lui. Cette disposition trés
grave met les cures dans I'étrange situation de devoir ee
soumeitrc a I'exequatur des maires, c'est-J-dirc de la majo-
me municipale, facile ;i changer el «lans sa plus grande
parlie inspiréc dans ses deliberations par de3 idees étroitcs
et des tendances personnelles.
II est elrange que, malgré l'esprit de liberie du XX» siècle»
on revienne au moyen-agc el aux anciennes lultes pour les
investitures.
Cependant, M. Briand olTre la manièrc d'éviter cctincon
venient, maïs a un prix que les évéqucSetlc Saint-Siége
ont refuse plusieurs fois,
pas'cuUuelb»'1'1 UI» associa'''°n» nième ne s'appclant
l'endan' i i~' le' e"e öura ,9 joutesanCB dc3 églises
■n duree entière du toölrat.
^.êtrange que M. Briand, qui déclarait loujours que
i<?n aeysit whsidérer comrae culluelle chaque association
«yaBtdii-ectement ou indirectcmeet pour but la cclébra-
ton du culte, ct qui élait si rigoureus dans son interpre
«at'.on, qii'ïl y comprcnait aussi les séminaires, admette
tnaintenaat, au contraire, que pour la célébralioa du cullc
dans les cglises, on peut avoir des associations non-cul-
tuclles.
UN CURIEUX E5SMPLE DB SYMPATHIE
POSITIVISTE
Cu 31. Malcolm Qutb, appartenant a l'Eglisc de 1'lluma-
nitta Newcastle (au nord de rAngleterre), vient d'envoyer
a ilgr Bourne, archevéque de Westminster. unelctlreet
un cheque, que Sa Grdce est priée d'expédier a S. Em. Ie
cardinal Richard, archevéqufc de l'aris.
Dans sa Ictlré a Mjjr Bdurne, il. Quin fait reinarqucr
qoWugöstc Cómte, dans son testament (écrit cn is>3>, a
laissé avis qii'en cas de separation de l'ËgliSe cl de 1 Etat
en France» ses disciples devraient contribucr, pour la
sommc annuelle dc cent francs, 3 l'cntrelicn de l'Eglise
calholique a désélab'ic comnic prfctlvc dc leur com-
munauté dc sentiments religieux avec e]le, eten recon
naissance des grands services rendus par la religion
calholique a I humanilé»
M.Quin fait égalenicnl remarquer que lesysteme dc sépa
ralion de Comlc élait que cette separation provint d un
désir de l'Eglise clle-raèuic, et non qu'elle frtt imposée
l'Eglise par uü gouvernement hostile el oppresseur, I.C
cheque envoyé a l'archevéque n'est autre que la souscrip'
lion «les disciples de tiomte «3 Newcastle eouscriptioo pro-
voquëe par Ie désir exprlmé dans son tcslamcat par lc
philosojihc posili viste.
ETAÏS DE L'ÉGDISE.
LA CIRCULAIRE DE M. BRIAND APPftÉCiÉC
PAR L ÖSSEftVATORE ROMANO
h'Ossetvatgre romano declare que, dans l'esprit el la
lcllre de la circulaire de 31. Briand, la nomination d«s
cures devrail étre soumise a l'agréinent «les maires qui
pourraient loujours refuser Ia jouissance «Ie I'église au
nouveau r ure sacs meme étrc tcnus de «lonner !cs motiffe
de ce refus aux évéqueS, il serail défchdu de signer le
eontrat ct parlant il'intervenir comnic supérieurs hiérar-
chiques du curé et, en cas «le discussion sur la vali«lilé
des pouvoirsilu curé, la question devrail étre résolue par
les tribunaux civils au lieu «le I'élre paries évéques.
Partant. ajoule l'Ossenalore. h circulaire de M. Briand
n'oltre a l'Eglisc ni slabililé daDS Ia jouissance des ëililices
du culte ni respect «Ie Ia hiërarchie. De la circulaire de
31. Briand, il nous parail rësultcr une mëconnaissance dc
la hiërarchie ct l ingërence arbitraire «lu pouvoir civil dans
les affaires «lu culte et une instability «lans la jouissanrc
des edifices du cultc,
I^Ösêemulore conclul cn constat,ml que l'Eglisc etl(S
évéques ont conscience d'avoir poussé jus«iu';l Ia dcrniêre
limite-IeMrsdisposiliotia paisibles ei conciiiantcs. lis ont
ofterl la paix ct si leurs tenlatives ccboucnt ce sera Ie
pouvoir civil qui tout prix aura voulu la guerre-.
ITALIË.
LA GRÈVE DES DOCKERS EN ITALIË,
Milan, (1 février. A Livournc les débardeurs du p«rl
ont proclamé la gxève générale.
I»a situation, iléja trés grave, s'esl encore cmpiréeala
suite «lu manque de charboa.
A Géncs lc menque «lccharbon a force plusieurs établis-
sements a fermer leurs porles.
On craiDt <|ue des désordres tt'éciaienl.
M verhaegen defend l'amcndcmenl. La loi dc
iKWdont parleJI. crstcylen n'est pas suflisamment pré
ijisepour au'.oriser le gouvernement agir. Noire amende
ment sejustilie par desraisons toutesjpécialèsil l indhBtrie
des mines. I.eslavoirss'imposent par de» raisons «1'hygiéne
el de morale. Il y a des charbonnagrs, celui de Bois- Je-Luc
noiammrn», «ïui ont rompris cette nécessité mais Ia mesure
devrail èlrc "géuéralisée. 11 n'y i pas d'iccenvénients a
craindre. mais nous concédons quite temps necessaire aux
qutriers pour se renilre au lavoir ne «loit pas étre pris
«lans les hcuresuC travail. (Vivesprntcstalions sur les banes
libéraux).
Til. HYMANS Voiis voulez le lavage obligatoire. otre
argument est grotesque. Vous faitcs dc la parade La
douche obligatoire
m. fürnéjwont. I'ouf les «lépiités(On ril.)
M le president. Je viens de récetoir uü amende
ment dc II. lc minislre. II modilie l'amcndcmcnt «Ie
31. Ilellepultc cn cc sens <|ue les conditions relatives a
I'usage des bains-douches rerontfvées par arrété royal.
M. frangOTTE juslilie son lexte i, amendement
liellepüttc-'.'crhaegen n'est pas apjwicablc. hongez qu'il y a
dans certaines mines 4,000 ouvnërs I (Approbation sur
divers banes).
LaniendfinentministériclauquclscralliaitAI. 3'erhacgen
estadopté a l'unaüiuiité,
La Chambre examine cnsiiilc au chapilre dcl hrgiène
un amendement dc M31. l'cpin et Maroillc rel3lif a l'orga-
nisation d'un service medical.
MANSART estinic qu'on ne fail pas assez pour
enrayer la iiropagalion del'anliylostomasie. II faudrait que
l'eau du fonJ fut rcnouvelée tons les jours afin que les
ouvriers puissent se laver. L'acrage devrail ëgalemcnt étrc
améliore.
M. MAROILLE appuic. On licvratl ebliger les charbon-
nages a installer des locaux oü le mineur, arrivant au jour,
pmsse se chauffer et se rhabiller. On lescmpëcherait amsi
de l'réquentfcr les cabarets aroisinant Ia mine. II faudrait
aussi que l'Oufrier puisse aller se soigner gratuitement
chez le médecin de soö cooiA. Les charbonnages ont bien
des médecins eux, mais ils sont peunoniufeux.
M. le président. J'ai reen un nouvel amendement
de M3I. Pppin, Jlaroille et 31ansart «lisant «iue des inspec
teurs spéciaux seront chargés dc vciller a fa salubrity «les
mines et d l'hygiède des galeries d'aéi'agc.
ÈM. sMeets et caluwaeRT insistent en faveur de
'adoption desamendements Pepin ct consorts.
M. FRANCOTTE. IIy a peut-étre desabus. nnissont-
ils aussi gënéraut. qd'on l'a dit Kn rêalité, l hygiène a
beaucoup gagoé dc nos jours. D'ailleurs. les observations
qui ont ete présentées trouveront mieux leur place «Iaü3 la
discussion de rilon budget que duns le débat actuel. Le
minislre releveles critiques qui ont ëlé dlfigécs conlrc
{'inspection des mines, l.cs fonciioncaires sont en nombrc
8uffisants. Leur zèle ne s'cst jamais ralenti. Au point «lc vue
del'aérage totltes les ameliorations ontëté réalisées.
M. haroille. Nous vous fournirons des rcnseignc-
meuts precis lors de la discussion du budget.
M. FRANGOTTE constate,cn ce qui concernc lc choix
du mé«lecin, que la loi sur les accidents du travail consacre
Ie principe «lc la liberie. On me dfijuimde aussi, dit-il
d installer des boites dc secours, mais la loi sur Ie eontrat
«lc travail present la presence de boites de secours «lans les
chai-ScüöfifiefL
L'embüche est claire, et il est évident que cel aUentai
lend a frappcr la hiërarchie, comnic Ic3 associations cul
tui lies déja condamnécs.
l'artant, le eontrat, dans les termes imposes par
M.Briand, sera refuse co in me aussi dangereux el contraire
o l cspr.f, fondamenlal de I Kglise que les lois cl circulaires
eiaboreesjugqu'ici.
(.CS apparcnces p.cifcaltiMs tie la ch-eulaife Be peuicol
pas en moililier l'esprit essenli.l el eaeher que JI Briand
ne vent pas accepter ('in dljlion ,1e pais, faite par les
evéques et leSaint-Sicge.
L'IMPOÏ SUR LA RENTE - L EXPOSE DES MOTIFS
y?-'c' |es oonclnsious du passage dc l'exposé'des
modls du projet du gouvernement de Pimpót sur
Ie revenu, relalif a Piinpót sur la renle
Nous vous proposons «lesoumettre tons les possesseurs
de rentesiconstituées en fondsd Etats nalionaux a 1 impót
general. Maïs désireux «lc clairement démontrer que e est
le revenu, quel qu'cn soit Porigine, et non Ie tilreque nous
entendons frappcr, voulant pleincment rassurer les por-
eurs de rentes nous demandons de percevoir l'impól par
voiedavertissemcnt direct. Kn «les termis plus précis, Ie
coupon sera mtégralcmcnt payé, demain cuinmcaujour-
«t hui, comnic hier. Les rentiers seront simplemenl invités»
sans qu'il soit besoin «le leur imposer unc declaration, les
agents du Trésor ayanl des moyens d'information sullisants
a 3'jquiltcr ullërieuremenl l'impót calculéau taux de 4
uc leurs arrérages.
3 olonlairemcnt, pour bien r.iarquc-r au porteur de
rentes que la laxe est assise sur leurs revenus, quoique
constitue en valours <1 Etat cl non paree qu il provient de
fonds publics, pour rendre plus tangible ce «jue nous avons
alhrme, a savoir que I'Elat n'a id aucun cas, lc «Iroit
uatteindre spécialement les rentiers, nous nous condam-
nons a unc complication d'ccritures et de perception.
volontairement aussi, pour conscrver, aux rentes
frauraises., uu marché large el libre, nous mainlcnoD.
1 exoneration «les droits .lc timbre, de transfert ct dc trans
mission «lont dies oat bénélicic juvquïri. Si bien que,
tandis que les valeurs Franyaises pnycronl (i ou II
«1 impuls, suivanl qu'elies seront nominatives ou au por
teur, les propriétaires dc fonds d'Etat ne scront taxes au
taux «Ie til est juste qu'ils supportent un id impót. 3
ANGLETEFvRE.
LA PROCHAINE SESSION DU PARLEMENT.
La Tribune, loujours bien int'ormée sur la politique
gouverncmentale, annonce que le discours «lu trónc a
l'ouverlure du Parlement, Ie li févricr, fcra au moins une
allusion a la cxisc constilutionndlc provoquée par la
resistance que la Chambre dis Lords oppose la Cüambre
des Communes.
Lc premier minislre aurail sur ce point son projcl tout
prepare il cousisle en subslancc «lans Ia creation dc pairs
a vie ct «lans la limitation du droit de veto a unc période
de six mois, eelte limitation du droit «lc veto étant la
condition essenticllc a iaquelle lient ie parti libéral.
La question d'lrlandc sera menlionRee «lans lc discours
ét occupera une parlie de Ia session. Le gouvernement pro
posen une formule de home rule mitigé, Ia creation d'un
conscil central clu et sonverain cn maliëre administrative.
L'Educalion Bill figuren dans les projets de la nouvelle
session, mais non point parmi Ips mesures importaules.
La Daily Chronicle dit que si la Chambre des Lords
rejclle comrne lout lc fait prévoir - !c bill limilant son
droit dc veto, le ministère cn appcllerait au pays sur cette
question particuliere.
Quant au bill sur l'enseigncmenl, a enjuger par Ie dis
cours qu'a adressclundi a ses clecteurs le nouveau minislre
dc l'inslruction publique, le gouvernement le représenlcra
au Parlement plus ou moins modifié, en insistant sur deux
principes fondamentaux le contróle des ëcoles par Irs
conlribuables et la suppression de toule enquéle sur
les opinions religieuscs des mailres.
Le gouvernement fera, en outre, ressortir que la base dc
l'enseigncincnt public reside cn allocations voices par la
Chambre des Communes, et. suivanl les expressions du
nouveau minislre, que depuis deux siècles c'est un
exiome de la Constitution anglaise que la Chambre des
Communes décide seulc ct sans partage dc Ia disocasc des
fonds publics
RUSSIK.
Ml^AÖÜATION i>E LA MANDCIIOURIE.
Un communiipié du gouvernement a fait connailrc que
le re trait «lis troupes russes du territóire «lc la mandchou-
ric avail étéönlonné et commence, el que les gouverne-
tiieills intéressés, Chinc el Japon, avaient cu connaissance
dc cctle mesure par les représentants de la Russie a Tokio
ela Pékin.
Aux tcrffies uu irailo «ie Portsmouth, un délai d'un an
fcl ticnii ëtait imparti a la Ilussic pour cette évacualion. Le
décomplc du temps, fait a partir du 1 14 octollrc 1905.
lixait, comme ürti'.e ektréröe. la «iale du a.'lli avril 1907:
c est uonc avcc unc anticipation dc quatrc-vingts jours
que Ia Russie s'acquittc de ses engagements.
Celto altitude, qui contre.sfe crefc ïa maüière foute diffé
rente dopt Ia Russie interprétait autrefois la convention
fusio-chinoise «ie 190-2, relative aussi ël'é Vacua lion de la
Mandehouricj csl dbnnée par ia presse oflicieuse comme un
gage des sentimentsnouveaux «lont Ia Russie s'inspire dans
ses relations avec l'empire du Milieu.
Le Aovoïé Vréntia considère que les conse«|uences
stratégi.jncs dfc l'acte politique auquel la Russie vient dc sc
riieoudre doivenl èlrc l'orgauisation intensive de la region
de l'Amour it de Ia Province maritime. Le premier soin
du gouvernement doit étre le peuplement «Ie cas confins
h'nstallation de sept divisions de tirailleurs au «lcia du
Baikal la construction du chemin dc fcr dc l'Amour, Ia
creation de nouveaux ressorts de colonisalion et d'admi-
nistraiion.
M. SMEETS. Vous nous parlcz d'abus Ij'ti Sc passcnt
cliiz nous. Permetlez n; >i dc vous en signaler clic/ ypns.
I n inspecteur du travail qui s'ëtail toujour? actjuitté par-
faitemenl «je sa lache, dans lc pays «Je L ége, a éte révo«|ué,
paree qu'il avait dréssS des procés-'erbaux k certains
patrons Je pourrais citer «1'aulres cas.
L'oraleur réclame a nouveau la lihcrlé du choix uu
médccin pour I'ouvricr,
M. fiALüVVAEïW' «iemande que Ie minislre fasse une
en«[uële sur les c onditions hygicniques des charbonnages.
II préconisc J cette fols l iristitution d'une comffiission.
M. LE PRÉSIDENT. Nous pourrioDs clóre cette dis
cussion. (Adhesion.)
L'amendement proposant d'élirc les inspecteurs du tra-
vail au suffrage univcrscl est re poussé par assis et levé,
ainsi que celui prescrivant le libre choix du mcdecin.
l'nc discussion s'éngagc siir la «jueslida de saroir si
l'amendement Cousot étendant l'inspcciion médicale atl
travail aux charbonnages doit étre vote rn mémc temps
que l amenilcipent l'épin. crëant un service spécial d in
specteurs de l'hyglêfle.
Ces d^ux amendements sont repoussés cl la séance est
levéc.
Mardi séance 2 heures.
A In Cliniii1»r<; frnnenlsc.
l'aris, 8 février. On adoplc Ie projet relalif 3 l'améliora-
lion du canal «Ie Lens.
On reprend la discussion dc l'inlerpellation sur les o >ëra-
tions finaneieres dirigées contre les intéréts de la Répu-
blique.
3f. Wilm dit que les socialistcs sont logifjucs «|uan«l ils
luttent ponr l'intëgrité du patrimoinc national, pour le
légucr enlier au régime social. II assure que la Bussic n'offre
aucune garantie a ses créancicrs. r. T#
>L Pichon vent se lever et répondre, mais tes voisins Ie
font rasseoir.
M. Wilm critique Iongucmcnl lc régime intérieur russe,
au milieu «les applaudissemenls de 1'cStréme gauche, «lc Ia
droitcét du centre.
M. Pichon pfotestc contrc l'intervention permanente
«lans Ia politique intéricure d'un autre pays. (Vifo applau-
dissements).
J'aceomplis, «joule lc minislre, un devoir «jue tous ici
vous devriez remplir. (Applaudisseuients sur tous les
bancs, satiFsur ccux dc Pcxtrémc gauche.)
31. Wilm termine efl dissnt «|uc lc nouvel «rrrpront,
avant Ia reunion dc Ia Kouma, serail un réritablc daogcf
pour 1'ëpSrgne franyaiae.
3I.J urës ne s'émetil pss du fléchisscment dc la fetHe,
mals, cc «|ui est grave, dit-il, cc sont Ice manoeuvres pour
l'aggravcr. afin dc combatlre l'oeutre parlementaire.
lpi>Iaudi?scmenls sur dc nombrcux banc?).
31. Jaurrs «iemande Ie contróle des grands établissement?
Je crédit. II n'est pas oppose au placement «les capitsux
franyais J l'élranger.
Lc minislre a raison, dit-il,«le criliqucr 1 intervention «lu
pays dans les affaires intérieures d'un pays élrangcr. mais
il est I«:gitime que tout le pays puisse s'exprimcr libr.'menl
sur les affaires intérieures du pays oii dc grands capilaux
sont engages.
.31. Jaurès parlc ensuile de la puissance indu«lriellc
russe.
11 réprouve les mana*u vres dc la Russie pour se procufcf
des emprunts.
Parlant de M.Bouvier, il declare regroltcr que cclui-ci ait
préparé un emprunl clandcstin pour renir co aide a la
réaction russe.
31. Caillaux «lil qu'il regrellc qu'on n'ait pas loujours
unc réserve suflisante pour un grand pcuplequi a toujoUrs
fail honneur a sa signature.
II estimc naturel que les Francais font «les placements
a I'clranger. il nc faut pas exagérer la situation, car les
fonils places a l'élranger donnent unc plus grande garantie
3 nolre diplomatie.
31. Aynard estimc l'interpellalion Jaurès «langercuse
paree qu'elle met en cause lc crédit franyais cl nos relations
extërieures.
La séance continue.
G AND.
Par 100 kilos.
From ent .fr.
Seigle
Urge
lu. «les Poldres.
4rpine.dll pays.
Marché
FLVRIER.
fërr.
a JU
ft i-j a
m Bi urre ct ai,
Ouverture
Bcurre, le kilo, fr. 2-80 ^-lö
OEuft, les 2Ct, J-G0 i 3-<K>
Marchcau Retail. Animaux exposés ei
qeaux 121 vcaux
18
o/: ufs.
Etat8-1j nis d'Amérique.
ÜN DON DE M ROCKFELLER.
New-Vork, 7 février. - On annonce que 31. Bockfellir
a «lonné au conscil «lc l'inslruction publique 52 millions
pour venir cn aide aux institutions d'cnseigncment.
LE PROCÉS THAW.
New-York, 8 février. Eo prevision «Ie la deposition dc
31""Thaw, femme «lu meurlrier «le 31. Stanford White, unc
foule plus grande c-ncore, si possible,que ces jours derniers,
occupait aujourd'bui la Salie d'audience.
Lc témoin a rnconté ses relations avec Thaw. C'est en
1903 qu'il lui proposa pour la première fois de I'épouser.
EUe rcfusa, lui declarant qu'elle I'aimait, mais qu elle nc
pouvait accepter son offrc a cause de White,I'auteur «Ie son
malheur.
l'Ius lard, a son retour a New-York, Thaw rcnouvela sa
Iemande en mariage. Ellc refusa «lc nouveau, mais cette
fois paree que, cnlre temps, While lui avait «lépeinl Thaw
commc un miserable qui avail causé lc malheur «lc plu
sieurs jrtiaes liliesil lui avail rnconté notammcnt que
Thaw avail n'pan lu «Ie l'eau bouillaste sur une dc celles
I'ii avaient etc ses victimes, qu'it cn avail attaché d'a litres
t les avaienl battues jusqu'a Ie? laisser pour morl-s. Lors-
qu'elle expliqua son rcfus, Thaw prMesia viveroent cl
déclara que tout er'a nViailijue raconlars inventcs panics
personncs inl. ressres lc perdre. aliss Nesbitt fit alors unc
enquête, qui fut toule en faveur de'fbaw. Elle consenlit
alors au mariage.
La deposition de M"" Harry Taw a produit une tres vive
impression. Un est gcnérairinent «l'avis qu'elle aura au
moins pourrfiet d'éviter a i'accusé la peine capitale.
Vendredi, JS 1,. (lu soir.
Seance du 8 Févricr.
'2 li.sous la présidenec do
La séance est ou
M. SCHOI LAERT.
PRISES EX CONSIDERATION.
La Chambre vole In prise en consideration «les (imposi
tions dc loi motlifiant les art. ±>71 el ±27' «In Co«l«-Civil
abrogcant Pari. 510 du Code l'éoa', eoncernanf lc rom'haffc
des briqufticrs et augiueutaal lc Iraitenu ui «les grdiicrs.
MOTIONS DOB 1)15E.
MM. BUYL. SSIETS. DEMBLON et WAROCOUÉ
demandent qu'on folic la discuvsion dc Icurs (iroposiiions
de loi el interpeliatiuns.
PHÉsXDKr.T I' v a 38 objeisa I'nnlre du jour.
La Chambre «iécule «Ie nc ricn changer ,i celui-ei.
LA 1.01 SUR LES MINKS.
On reprenil la discussion «Ie la loi sur les mines. :i la
«[iiestion lavoirs.
M. VERSTEYLSN, r^iime i|ti il v a un danger ;i
accepter cet amendemenr. En eff« i. on oppos.-ra lc vote qui
sera em is.T ceux qui veulent Tiiabli-seaient «lc ccs lavoirs
On «lira que (e gouvernement n ëtait pas armé pour fairc
etablirc«:s lavire pui?q:Tila fal'u A cellefin une disposi
tion speciale dans Ia loi sur les mines.
On nous telephone i
LÊ RÓi quillera iiruxelles aujourd'bui, satnedi,
pour Paris, cn compagnie du colonel baron Snoy. Sa
Majesté sera 3 illcfranche dimanche malin. Son automo
bile a ëté expédié Villcfranchc d'ou elle conduira le Roi
a St-ilaphaci.
LA souscription pour lc monument Lamber-
mont s'élêve, ce jour, d 23,000 francs.
UNE TEMPËTE a ravagé jeudi, lc port ct la rade de
Toulon. L'n cuirassé s'est échoué sur la plage el a recu de
sérieuses avaries.
LE MATIN CE BRU7EI-LES. L'assemblcc
«les aciionnaires du Matin de Bruxelles a proüöflcö la
liquidation de la sociélé.
ENCORE UN INTERVIEW DE L'ABBÉ DAENS»
L'abbéDacns, interviewt' par lc Journal de Bruecelies,
declare 1
Jc n'ai subi qu'une seule pression,c celle dc ma cöü_
seience. J'ai ëté et je suis encore fort raalade ct, surle
point de mourir, j'ai voulu étre prët a comparaitrc «levant
le Souverain juge. J'ai pric axdemmenl. II m a éclairé. J'ai
vu «ine je m'étais irompé. j'ai COHlpris que Ie premier
devoir d'un prëlrc élait dc vivre cn conformilé de vties
avec son évéque,qui csl en conformilé de vues avec le Papo.
Quand j'ai pric mon ancien élève, 31. lc vicaire
Van den Abeele, de venir m'entendre cn confession,
je savais quelle declaration prëalablo jnvals lui faire
je i'ai faitc sans sollicitation, dc mon jdcin gré, en plcinc
lucitiitc, et c'est «Ie mon plein gré el en plcinc Itrciditë
que j'ai «licté a mon ncveu la retractation dont les jour-
naux ont public le lexte.
M. I'abbé Dacns, autorisé par 31. lc déyen d'Alosl, a «lit
encore
Jc me suis séparé du parti «lëmocrati«|ue chrélien.
J'avais voté mon exclusion avant que ld comité directeur
ne la votdt cl il est claircmer.l «lil «lans les Iigncs que je lui
ai ailrcssées, que je veux ob ir a mon érë«|ue.
31a rétraclation porte done aussi bien sur les «loclrines
sociale?, «juc mon evèijuc trouverait non conformes aux
vues du Sainl-Pèrc, «langcrettses ou inopporlunes, que sur
Ia question rcligïeusc.
Aujourd'hui, jc n'ai plus «lc programme que celui dc
mon ëvëquc. Jc n ai ricn approuver ni .i iniprouver.
Cerlaine trrcur d'aujourd'liui |.cul étre la érilë «lc ilcmain
il y a «lts questions telle l'inslruction obligatoire ou
encore le suffrage univcrscl, sur IcsqueUrs tous les callio-
Inpies peuveot avoir telle opiqjon qui leur convient
cl vous avez vous méme a l.i Chambre, jc crois, l'occasiou
de constater «pTil v a des divergence? en malièrc sociale.
Mais, cn qualilë «Ie j»rëtre, je veux me tcnir a l'écart «Ie ccs
polémiques dans icsquellesj ai commisla faulc «lc vouloir
jouer uu röle.
INCENDIE DU THEATRE DE MACON.
Macon, 8 février. I n inccnTic a «létruil eomplélemcnl
lc theatre. II ya 300,C00 francs de dégats. Un nc sigoalc
aucun acciilcnt dc pcrsonnc.
ASSASSINAT DUN GOUVERNEUR.
Sl-Pélersbourg, .8 février. 31. Alexandre Owsky, gou
verneur de la province dc Pcnsa, a cté tué bier d'un couj»
«lc revolver au moment il sortaildu théatrc.
li'adjoint du chef de la police, un sergent dc ville, et un
décorateur «lu theatre, «ïui poursuivaieni l'assassin, sont
aussi tombés sous les coups de ce dernier.
L'autcur dc l'altcntat. griévement blr9së. a él«'- irans-
porté a l hópilal oil il est mort.
UN TERRIBLE ACCIDENT S>êt produil j (iross-
Slawsk, prés Kruschwilz.
On célébraitlc mariage «lc icloria JasczÜI» avccl'ouvricr
Vincent Bassa, chez la mere «lc la mariëc.
A «lix bcures, les invités sc retircrcnt, «i les épouXjcur
oicrc, leur frere Michael ct leur soeur Frdnftska, allen n(
Se couchcr.
A six heiizes du malin, «les ouvriers sc rrmlircnt a la
fthrique «lc lucre «lc kruschwilz, frappêrelt a la fcnêlic
pour nppeler Michael cl aller ensemble au travail. Personoc
ne leur répondit et ils entendirent un rale qu'ils («rirent
pour un ronficment.
Des voisins ayanl entendu plus lardce r5lr, lirenl ouvrir
la porte cl trouvêrenl la chambre picine dc fuméc ct lc8
cinq malheureux ?ansconnaissance.
Deux médecins appelé3, réussirenl a ramener a la vie les
trois femmes, mais los deux hommes élaient «léja mort?.
^Ce terrible accident a été prow«|ué par un poële «|ui
aTait étë iacompKteiuent fenaé, cj-rés a-.-irêtc bcurre -Jc
charkon.
UNE INSURRECTION DANS LA
RÉPUBLIQUE ARGENTINE.
New-York, 8 février. Le Sun annonce, d'aprës unc
dépêche de Bucnos-Ayres, qu'au cours de 1 insurrection
qui a éclaté dans la province de San Juan, vingt iicrsonocs
auraient éié idéés, et beaucoup d'autres blcssécs.
Suivanl des bruits qui courent, les insurgés auraient
l'intenlion de marcher sur 3Iendo/a.
Lc mouvement est attribué a des causes locales.
Öuenos-Ayres, 8 févricr. Le colonel Sarmienlo, chef
du mouvement subversif de San Juan, a asstinjë Ie gouver
nement provisoire, a remis au minislre de l'intcrieur Ia
copie du pacte qu'il a signé avec les membres du gouverne
ment dëchu.
Ce pacle dit «|u'après cinq heures «lc combat enlre lcs
forces rcvolutionnaires et les forces du gouvernement de
la province, cn presence dc l'cffnsion de sang ct n'ayanl pas
les cléments nécessaires pour les soins ;i rendrc aux
blesses, les forces du gouvernement, les employés subal-
ternes ct les citoyens qui ont combattu pour sa defense,
"teraient respectés.
jpt42 nioutons 7 a,70---
poresmainres i.NO coéfionsdclaitlis vacht -
I'» vachcs detailMgènisséïï 0 granus buuufs -
ba-ufs (|5 (aurcanx TObétes maigrcs.
Le bctail gras valaii dc fr. 1-4'iS I«(iO béte abattu«
Les veaux fr. 1-20 .i 1-30 Ic kilo. ptfë mant.
Les pores fr. 0-93 1-03 lc kilo. pestf vivanl
Marché aux peaux. Baeufs. vacbrs kI géni
a 0-CX)taureaux, fr. 1-1 f a u-00veaux, fr. IU
0-4J a 0-76 Ie tout par kilo.
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SffUos good average, par 50 kilor, cntrejvót
Févr. W 1,4 Mars i«» 12; Avril üi I 2 M i
Juin (1 U/0 Juillrl II 11; .\o«)l 1! I i Srm
Oct. 41 i;t Nov. it 1.1 Dec. II 3,1 J.mv. m'oii V
000 sacs. üarché calnu'
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100 kilogrammes. Marché calme.
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o d^vril 22 1.2 N 000,0 V 3 «l oclobre 21 7 i)
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49 0/0 a 00
gKiA.- Les 100 kifog. Marché southiu.
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la ville industrie! M Ou a 80 B«ruf d'Auslrali
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f.a Wata 91 00 i 102 00 huif de moul. «l'Austr.die
a 1U6 00Suif dc mout. ac l'intcrieur 96 iWJ l"ü c
Sulfates d'A mmoniaque.
Atfg.'ais bon gris prompt
avril 30üfö
Tourteaux de Lin d'Amériiiue. Marché ahnc
Dispon. 17 0,0i 00 0/0 Mars-avril 17 0,0OU 00 i m
17 u/0 a 00 0/0; l derniers 17 3 8.
Samdoux. Wilcox «l Amériquc par 100 kilos
J'tvr121 5 1 Mars 121 3 Avril 121 3 I Mn: 121 I
Juin 121 1,4; Juilltt 120 I 2 DispOD. 124 H O. i
calme.
Salai.sons. Marché souteno.
Back lUö a lit; Short tal back 106 a 111: Short
back HG a 120 Antwerp back 112 a (MX) I m I
middles 123 a 000: Bellies 000 a COO: Kpaulcs
séchées J10 éOOO Epaylcs au borax UOO A (XM».- j
borax Hj 000 l'ic Nic fumé 152 a CO0: Jambon bor
0C0 a 000 Jaatbop furaë UOO a 000.
Marché ferme.
19 1,2 Févricr. 29 12
uiars-c
BrlixcHeSt le 21 fWcertlórC >905.
3, ruc «lc id üouttiéi*
"J'étais at-
avcc le kmps,
«tcgenera cn
lü OIK-ilil'
pou» ais
aorinir. I n
loux opinidtrc
me dcciurait
la poliriuc ct.
npres ld
lourou,
2nd. Je
ni appel
|e sounnus üe
fnsux ito reins
LIVERPOOL, 8 févr. Marché aux colons,
turc. Vcntcs probables 8,000 balles. liniiorir
3l,ü00ba!!e8. Marcfié cnlflic.
i.iverpool. s févr. Marché aux colons.
Vente du jour, 8,000 balles uC'Ut 503 balles
speculation ct ('exportation.
américain férricr-raars 5 69/100: n
0 l'/ilOO avril-rnai 5 61/100 mai- uin 5 63/IO«.l
«Iec^-Ttbrc 17/100.
Dispon.-•jnericains. Marché soutenu, prix cn bal-
LE HAVRE. A févricr. Cafés. Coic olfirie!
café3 a termes Santos gooii YTrrscë. "ar 50 kiloentr.
Févr. 30 73 Mars 59 75 Avril 39 7.'i 31 ai 19 .1,:
4000 Juillet 10 25; Ao0t40 5<) Sept. Wftiï Oei. i 7
Nov. tl 00 Déc. tl OUJanv. UU IK). Marché soutenu.
metaux. Londres, 8 févricr. Cuirrc (cotir.m
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'ob.'igeant quitter mon tra-
vuil. je Oo«nmen-;üi empiover l'Emiii :.ion
Scolt, dont l'efiet i:ü prc-Ji-iicux, car bientut
Ia toux diminua. la respiration devint meil-
lcure ct jc pus dormlr Ma guérison sacbcva
rapldeuiciit ei lirmtenant me sens dispos,
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Salnl-Glllfo, 1897
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93 73
Saint-liillcs, f DU i
Chcui. dc Ier Tic. I 1/1
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Si-Jos-e-tcn-N'ou.lc IS
Namur, I90ö 3 1/2
luo 3<)
Sl-Nicolu». 1893
tn»rr». 1 l/l Apr. Itc7
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Schaai'cH X p. c. 18
Aim ril 90S
102 75
Spa (vilied-) 1903.,
Brusclicf. 1902
107 73
1'ournal 1874
Bruxcllcs lib1903
94
Turnbutil, 1899
Bruxcllcs csl
93 23
Vervier» 3p. c. «i p. 1?
Brux. HoriUme 2 e-
85
Congo (amonuixjilr
Charleroi (ville) t305....
S'.'i --
Congo 5 p.
üand. 1096
83 30
Ccap io'.i A prlxa.»
HBVEflC VARJAHLK
•U.vlon Alh (Cana!)
Cbiuiay
Eccloo Bruges
11X) -
258 30
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1023
1(125
Flandr* Occident o
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Uuiul i trucuicn
Cenl. «ud A/ucric p
•Jiiuuy
M«.-■».■!,
Céog») nr. 1' "1 r
Itrjj -
i Mon-alUulni-..,!.
Napje, .XoU R .jsno
Con:;oJouu.-
êou^o (j»urls fond*)
Con^o... 6* p. <le
780
j Ik-unisch. fcr 500 p.
i Uêiinl- choains «lc 1
sud Ou»t brdr.
umgo cap
303
NI VMWAYS KT CIIKMI.XS DE FV.K fiCOfOVIQU!,
553 I Lifoe SeraJag e
ilcuadrted.
int A Orcye(cb. «icinal;
Anver»lu' G-.;u.) c«t-
tavci» Cii.) ir.
In ver; (O' 6éa.p 1-
Aih». ii
ral-n...
,-l'lr
8arc^lone
iBirc^lane S.in-Andrci
Belgrade
iologn*
CiCL-ïa a J/10« d'«cl..
frara-Brturllcit... u:d.
Yram Brnxelloi» d.r.
Bncnos-Ayros cap.
Bncareit Ir.
Madrid «I Kq
*«l«Sa
i (i* rr>c
i NapollUUDS j'inu
IV.ipofiUiiw
652
1098
Calrcprlr
Svi« {ooluanre
Cariagéne
Dunk rr«p»e-CalaU
Bcoao3ii«|Bct
Ral. ga0. dei Travai
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E-j-.(6ice.)
1». Zr ('n<ai ir Lc
jT-
Ga-alidn
Gand e
G«»nd Elcctnqae.... dl».
Oongrle (T. Ed. Ri.) p.
jooij.
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Komt, MilanBol. -a
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Tr?n*p. t
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Union Anver3oUe, div.
(Jnion dea Tramw. cap.
Union «in Tramw. unit.
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Veroucdiv.
Vervié'.oiijonii-
Yb. Bclgï. (Cl. Gil B
