LtaVie-a.uö =isr ON A MARCHÉ DANS LE MUR 0HhPACN& w LES SIX SPORTS Sténo-Dactylo LES GRANDS PRIX '/■asr.'tviftkwft*a garEvriTsttWKs ttï; MT?<s a,-, t DE L'U. A. B. Aviculture, Cuniculture Colombiculture I IIRGKNT SCHWEPPES (Belgium) LTD ■k POUR AMUSER VOS ENFANTS (TfV, - WA 5 La Dornlür© Hour» 5 D'ATHLÉTISME DE L'UNION S.-G. If CHALLENGE PAUWELS EST REMP0STÉ PAR LE CLUB LOCAL Une bonna ae»embl6e de epectateur» a «tiItI dlniauche diverse» éprruvee ou jjrctf ram K,. '.a reunion organiaé© par 1'Untou el- OiUoise «U Pkro Duden. Le temps couvert et menacant n'était pas. en afrot. de nature a «ncotiragcr le déplacoinent d una foule now- breuae pour un sport qui n« gouta aeja pat complttament los faveur» de la grande masse "ÏÏtlf. Germain. président (te la L. B. A.. Mouvet. president o'honneur ne 1* s«eion d'Athlétismo de Union St-Ollloiso. se trou- vaient parmi Ie» pcrsonnalit*» presente». Void a present let re.sultat. t- -hmquea 100 mUres. - Ire eéria s 1. Bro-hart '1. 0. Liégeo>« en 11 1/5: 2. Elsorht lb 8. G-l- 2* série 1. Loriiui (Charleroi S. C.l. en 12 a.; 2. Groecol (D. C. B). J* «ére 1 Beauffaux it. 8. G.). en 12 a; 11 4.5: 2 Branwer (U, 8. G.l. 5 série 1. Aüard IÜ. 6. G.)j 2. Wotnont tr *t!rie L 8trivay (8. 0. IO; 2. Kerkroor- re Demi-fin ale 1. Brochart /F- C VJ. en 11 2 5; 2. Bra uwer 8. G.); J. Lortaux (Charleroi S. 0.). 2* demi-finalo 1. Van Sehepdael JR. O. S en 11 s 2 5:2. Beauffanx (U. G.) 5" demi-finale 1. Groscol (D. C. B.l, «D 11 a. S'5; 2. Alton (U. 8. G.); 5. Stnvay (T. 0. L.J. Finale 1. BBOOHART (P.O. TJéfrcoid en 11 s. 1/5: 2. Van Sohepdael (B. C. B.) k 2 m.: J. Allart (tT. 8. G.) A une pmtnnesd. Gros- ool (D. C. B.) h 50 centlmètrcs 5. Brauw.rs (17. 8. G.) A une poitrine; 6. Beauffaux (U. S. 0.) A une poitrine. Un depart de ehoix de Brorhart lo! don- ne immédiatement le commandement qui! conserve Jusqu'au bout sans Str# menace. Belle lutte pour les mitres placesan he.hep- dael réii'te A une ultimo attaque do Allart. Ire ï-rie**Ph. Goenjaert (K.O.BO: 2- Vi gour (U.6.G.): J. §tockmana (UB.G.). »- KI» Boulanger (O.A.Soh. pomne (U.8.OJ: J. Roulent (C.S.G.). (tW.?rV -1^eU'el'"v^8 ^C-- - Finale 2. Le- tuffel B.C.): 3. Libcau "(White Star). 1. 00EN.ÏAERT8 Ph. (Booing 0. B). en I nr 4 e. 4.'5: 2- TelJetin (Un. >t-<.i!loise). A I m'fctres; 3. Boulangtr 'CLA- Behaerbeek). 3 mitres: 4. Viseur lb.SO.). i mètrc»: n.Tti/f- c it I. A Wnnnffol (Gharlci uiouwnv, Boulanger quitte !a cleuxième place pour prendre le cot^andoraenL ma» Coenjaerts. A In sortie dn dcrnier viranc, revient sur le lender emmenant Tettelin dans sa foulée. An sprint, le soMeroeekois e'inoline devant deux r.vaitx. I<e Racine- man rem porto aisément la victoire. Saut on hauteur 1. NOEL (F C. Liégoois) evce 1 m. 6B; 2. Truffaut (R. C. Roubwx). nreo 1 n\. 68. aprèit barraee: J. Probert L 8 G.LaVec J m. 63: 4. Uw, 'S.O.Bj!, w 1 m. 63. nprè» barraee: 5. ®5?^S5«5-wvi avec 1 m. 57: 6. Pc Kcveer 'C.A ^baerlv-ck avec 1 m. 55 7. ex-aequo Jasquot (C.A.Sdi Ttnnlaneer (C A Soh.1. Janssens (B Synere fB*Sebot AU.)Schei der (White SU?).Van Horen (ü.8.0.) et Cbamorin (U.S. O eveo 1 m .50 Bpreuvo enoomhróe par de troi eoinpftiteura n'nyant anonne chanoe. forma nee modeste du rainqueur. M mètres hales Ire série 1. Mllfeot (U.B.G.)1 Janasens (D.C.B.). 2* série 1 Zinner (P.C.T>.)2. Btlenne (Charleroi 3.0.) (meillenr deuxlème V série 1 *061 (F.CJL,): 2. Quldentops (Ercelsior 8.O.). Finale 1. ZINNT5B (F. 0. Liégeois). en 13 ic 5- Noi-l -F. C. Is). A 50 cent'.mMres S Migcot'iui 6. O.). A 3 inètrea4. Etiennc (Charleroi S. C.'- Rien d'ext raordinaire. ui comma Kmi» nl eomme style: belle lutte. toutefols. entre loe 1. DEGRANBE (Union ISaint. 8. G.). A 360 mttres. Trois ••empétiteurs disputent cetto épreuve. -onfortahlement. tn«ra -'l» rajtne coniortauieiucnv. 3,000 mét-es f-l iis hommen» eo relayan. 'SOHAKRBÊRK (Plattean. Bo"'*«' .5*2 rA.foi Feuilleton 1NÉD1T de La Dernière Heure GRAND ROMAN DE PASSION ET D ÉPOUVANTE PAR EDMOND ROMAZIÊRES ff^entwBeUa.irbeeksftrS^ t GObcrt. lit'ér. >mcn t aprés lo dernier relais. Bpreove dure, quo ne peuvent ee pennettre qne iSulHteS. 400 metres handicap w série LT/HÓsto (U.8.0.1 (14 m.). S5 s. 1/5: 2. Loriaut (Charleroi 8.C.) (22 ir 3. piatteau (CA 8cb.l (Mm.). t BSt-.J fcl."?» 'Vrf 'nJt. fili S! (F.C.L. eri 52 sec.2. Schaak (L. 8. O.) (34 m.) a 4 *i.: 3. Bastwroff (F C. L.l (22 mJ. ft1 m. t\-ifi«r/tt q ft t (58 m.)5. Lhoste dêuxii-me place. Van der Ptracten 'C. A. Sch.ii5. Rootaórt (0, A. 8ch.)6. Pluye (U. S. G.): Beryck (tT. 8. G.l: 2- Stroeikens9. Oeustor. Bonne course du vainqueur. Rolais olympiqua (1.500 800 400 et 20"»"^' 1. UNION ftAINT-OTLLOISE ïsenr. Tatte- Mn. Miccot ot Allanl). t. 1'aciocC. DAPi?arinK 3C- 'B."7Bcokman, Van Aoker. Despret et Groscol). A 8 metres: 4. Beerschot A. C.. A 10 mMrcs. Le Racing termine en Uto apr^s le pre mier relais mals VUmon prei.d 1 arartage »n am mf-tres et. terrn:ne san« étre inquict.c. lISaa.it M Javelut 1. CTIKN'NK (O..F lerot 8. O.). aTec 47 m. M. 2. Zinner F. C. S^cois). aveo 44 m. 80: 3. Piatteau (C. A Fch.l. aveo 41 m.; 4. Nollet (C. A. Sch.l. avec 40 m. 800 mtt-as relais i 1. F. C. T.IKOEOJS (Zinner. Strivny. Moet- beek et Brochart'. en 1 m. 16 s. 3/5: 2. Union 8aint-Gilloi.ee (Brauwer. Beauf faux. Eleoobt ct AlUrd). en 1 m. 38 s. 4/5: i. nharleroi S. 0.: Racing 0. B-: 5. 0. A. Po.hnorheek. Victoire facile des Liégeoie. LE CLASSEMENT pour Ie Challenge Jules Pauwels 50 point* 1. UNION SAIN ij. c 4. C. A. 5. Darinc Schaerbeek ...wing C. B 4. Charleroi 8. C. 22 - 16 6 VAN HOUDT PREND LA TÊTE Dimancbe matin a commencé A Woluwe Iwreuve de Six Sports, organisée par it. A. B. A 1'iotention de se« membres. Cctte competition sert avant tout de pre- pariUion au Critérium de l'AthlèU» Parfait. Ce dimancbe. se disputaient le 100 metres •t lea sautj combinés. Van Houdt Robert, le va nqneur de Ian dernier, so dUtingnn en enlevant 1 cpreuve de Vitesse et en sc classant premier ex-a-quo aveo J'.omain et Fiêrln en saute eombtucs. Voioi les réaultata completa 100 METRES L Van Houdt; 2. Brar^wijck: 3. Vander ▼«eken; 4. Doulière: 5. FiArin6. Lambeau: 1. gehanfeleer; 8. Diplacido R.: 9. Eomaln ^il.^'eemaels; 12. Diplacido O.; 1$. Marghem: 14. Nyens; 15. Diplacido Ph.: 16. Martcaux: 17. Rubens18. Van den Heuvel. L'épreuve se disputait ea s'-.-ie9 et finales des premiers dee seconds, etc. SAUTS COMBINES I. ex-aNltio- Van Homlt. avec 4 mètres; Romain. id.: Fiérin. id.: 4. Van der Veoken. Donlière Pehaufelecr et Rubens, avec 3in.75: S. lirai.-swijk et Lambeau. avec 3 m. 5-j; 10. Vignol E, et Marghem. avec 3 m. 25\Z. D;- plaoido R., axoc 3 m. 25: 13. Dip.acido P. wcemaels et Van den Heuvel, aveo 2 m. 7b Dinlacldh G-. Martcaux et Nyens. ave- iV'SS- CLASSEMENT CENERAL L Van Houdt (1-1) i point*: 2. riérin fl-5*. 4 pta; 3. Van der Veeken (Ier junior) (J-J-. 7 pts; 4. Doulière (4-41. 8 points: 5. Branswljk (2-8), 10 pU: 5- Romam tl-9i. 10 pts: 7. Sehau- feleer tier «<-olaire; -7-4, 11 p:c; 6 I-amb^u (2' junior) (6-Si. 14 pts; 9. Diplacido R. (o-.2i. 2") pts; 9. Emile Vignol (ter v:téran) (lO-'.O,. ^lL^übens (17-4). 21 jits: 12 Marghem (13-10) 23 pt«: IS. TTeema.-!» (13-111. 24 pt-; 14. Dipla cido Ph (15-14). 25 pt 14. Dip.acido (16-12) fg pt«16. Nyens (2' »eo!aire. (14-16-. 30 ptsi 17. Van den HoqtoI (18-1.3) (2* rétéran). 31 yts; 18 Mswteaax (3- aoolaire) (16-16). 32 pts. 6a préeenco on coeturoo séculior tonne. J'ai beeoin qu'ello mo l'ox- Elle déolgna la porto do la chambro ii e'.le avait vécu une si borribio nuit Je vaio auprèa d'ollo. Voue pouvoz m'y accompagner. F.t ei olio |>out répondro..,. Elle le re gard a (ixement N'oubliez pas que c'ost one malade et qu'eile est mon hflto. Jo 1'entende ainsi, A!ore, venez. Elle ouvrit la porto, pér.étra la pre mière... La bïeeeéo avait leo yeux fer- mé*. Elle n'avait pae encore comprie ce qui lui était arrive. Dopuia qu'eile avait repris sa raieon, aprèa un coma trfce long, personne ne lui avait adreseé ia parole. Elle ee trouvait faible, doulou- retiee, dans un décor qu'eile ne connaia- aait pne. Et elle sefforgait de renouer le fil intorrompu de 6ee penséee. Au bruit dea pas, e/!lo ieva lea pan- pii-res. reconnut Lucile, et toute ea fi gure jirit unq, expression do méchanoeté telle que la jeune fille e'arréta Vous Vous criait la voix épuisée et haletanto... Lauren» avait jugé la scène. II s'ap- procha'.t déjè Oui, ma eoeur, Mademoiaolie de Courmont vous a recueillie. Mais la rage de la bleeeée écflatait Aüez-voua-en... Allez-voua-on... Al- lez-voue-on... Lucile s'éloignait, croyant k du délire. Vous vovez bien qu'il eet néces- liro de savoir la vérité, lui dit Vayres avec énergie. Voue n'alllez -paa tourmenter une malade, monsieur Ne craignez rion... Mais il faut pourtant «avoir... II prit une chaise, e'inetalla an plod du lit. Ma soeur, dit-3, nous avons apprt» avec bonheur ciue vous ètee 6auvée. Sophie ne le regardait pas. See yeux ne quittaient pas Lucile, et la cou- vaient avec fureur. Je euis chez vous! prononja-t-elle enfin ...chez vonsl... Co n'est pas la promièro foia, ma aoeur— Sou venez-votw, k Paris... Oni... k Paris... hocha la bleseée, avec haine. Co n'était pas la mème choso... Pourquoi, ma soeur? Pas... la mème chose... Laurent intervint vite. car il crai- gnait quo la ^less»ie no so fatiguAt tout do suite au point de ne plus pouvoir répondre. Ma soeur, dit-il... On vous a cru mortellement blesséo... Au moment oü vous alliez entrer dans la villa, pour faire visite k madomoioelle. sans doute. on a tiré... On vous gu^tait, derrière la haie... Mais comme lo drame s'est passé cliez mademoisello et qu'eile vous a recueillie (sinon vous serlez morte de la iperto de sang), votre devoir est do l'éclairer sur un point Pourquoi, vous, religieueo garde-malade, n'étiez- vous pas en habit do votre ordre/ La femme no tourna pas les yeux vers lui. Vous veniez bien faire k mademoi sello Lucile une visite d'&mitié, n'o6t- ce pas, Mème silence. Mais vous no serez pas froissée 6i nous nous étonnona de vous voir faire oette visite sans cornetto, et avec un chapeau dernière mode... La blep«'e munnura, le eouffle durN: Viai'.o a'amitiéI... 1.4m-- -.1 touTle -'lrtmo que con- tenaient la voix et les moto. Oui... Visite d'amitié..., évidem- xnont. appuya-t-il. Lucilo dit, de sa douoe voix do bon- Répondez k notre ami, ma soeur... Si vous veniez chez moi en coatume eé- culier, co n'était pas dana l'intention de vous cacher... Done rien ne peut vous enjièchcr de répondre k une question lé- gitime... Sophie tourna la tète, pcea la joue droite sur I'oreiller, afin de mieux con- sidérer Mademoiselle de Courmont. Les lèvres pincéee par la haine, eBle jeta, dans un effort Etre bleseée chez vous... et eolgnée par vous Vous semblez regretter d'êtro ici, ma sceur La malade l'interrompit Ma scBur Nfa sceur I... Oui... vous avez ra won... de m'appeler ainsL.. Elle ricanait, presque satanique. Et 60udain ©11e lan$a le défi Aprcs tout... pourquoi- dissimuler Laurent aentait qu'ü touchait k l'un de see buts Oui.. ma sceur... ditoa-voua... vous veniez done, j>ar amitié Par amitié F Quand je voul&ia... la tuer, cette filüe Lucilo recula... Cette pauvre femme délirait-elle F Ou cette haine qui mon- tait dana aes yeux existait-elle réelie- ment F Laurent a'était levé Ma soeur, dit-il durement, il est trop tard pour vous tairo. Toute votre attitude nous Drouve que vous ne ve niez pas ici comme une amie... Aussi surprise que pcinée qu'cn soit Mademoi selle de Courmont, elle doit 6e rendre k l'évidence... Tl faut done que vous par- liez... Ou que vous quittiez oette mai- son oü l'on vous a sauvé la vio... Quitter eette maison I... Ne plus voir... cette fille... Quelle joie Vous veniez en ennemie Et vous n'étiez pas vêtue en religieuse... Qui êtee-vous done Cette fois, elie regarda... Je ne vous connnie pas, vous, dit- elle... Tant pis!... Vous voulez savoir qui je suieP... II lo faut. Tant prispour olie... Tl lo faut!... Vous l'avez dit!... Et après j© parti- rai... tout de suite... Lucile étendit les mains. Teisez-vous. ma sceur... Votro se cret vous app irtient. Non!... Non!... Non!... Vous le voulicz... Je voue Ie donne... Elle m'ap- pelait ma soeur... Ah! Ah!... Ma eaeur! Savez-vous ce que je suis?... Elle devenait effrayante. 8a voix sif- flait, Laurent lui-méme 6e sentit trou- blé par cette haine. Ce que je suis!... eontinuait-elle.. Votre s'£-ur!... Votre soeur!..; Le mème père... Mais... moi... .Te no sula rien... rien... Et je vous hais... toue tons... Pas un instant. Lucilo no douta. Elle demeurait immobile... Au bout d' etant. elle tendit les mains Est-co vrai, c« que vous ditee? prononca-t-elle... donnez-moi la preu- ve, et je vous jure que tous n06 turta seront réparés... Réparés... Me rendrez-voue... mon nom?... Je vous hais Je vous haie... See mains eo crispaient sur 1© drap. Vous parlez do haine et vous étea religieus*-? protestait Laurent. Religieuse... Non!... Jamais!... Vous étiez garde-malade, la mort de madame de Courmont. Plus rien ne retenait la femme, tont k coup heureuee de crier la vérité, de faire connaftre k la foia son exécration ct eee pro jeta. Je ne suis paqreligieuse... Je voulais vous connaitre... tous... Pourquoi Paree que... je veux... me venger... Vous venger!... Ah! Mo venger!.,. Leur faire du mal... k tous ccux... qui ont volé mon nom!... Volé!... Lucile ne parlait pas. Elle était attor- rée, et, en mème temps, une pitié im mense montait en elle pour cello oui avait eouffert sans douto, souffert tene ment qu'eile en était devenue méchan- te... Mais Laurent no lAdiait pas sa proie. Quelle source do déduction pouvaient ouvrir ces réiponses mattend ues Vous aviez done pris los habits rellgieux simplement pour vouj intro- duire dans l'nétol do Courmont Oui... Rien n'arrêterait la confcesion qu'eile langait comme une première vengean ce. enchant bien qu'on no pouvait, en punition, quo la faire conduire k lliflpi- tal. Et comme son seul déeir était de quitter cette maison, sur l'heure... Quel était votre plan P I/os voir... Et eavoir... Savoir quoi F... El!© hésita, no dit paa la vérité... Comment j« pourrais... leur faire., du mal... C'eat pour cola quo vous avez eui- vi Mademoisello do Courmont k Can nes Oui. Mais le «oir oü l'on vous a frap pé©, voua eortiez F... Non... J'avals fait... Ie tour... je voulais entrer... Pour voir Mademoisello Lucilo P... Non Non Vous aviez une intention... II faut nous la dire... ou ia dire au juge... Car cetto affaire pourrait bien avoir des sui tes sérieuses... Je n'ai pas peur... Si jo no peux... me venger maintenant... ce eera plus tard.. Et vous voulez voufi venger sim plement sur Mademoiselle et sur sa soeur d'une faute dont elles ne sont pas rceponsablcs... dont leur père seul au- rait eu k répondre F... Elle jeta, égarée Je los hais... Je les hais... II fau- dra bien qu'eile paient... tout oe aue j'ai enduré... dans l'orgueil... dans 1 es prit... Done vous aviez un projet arrêté, ce soir-lè... Oui. Lequel La tuer... Ces deux mots, elle parvint k lee lancer avec force. Elle n'avait vraiment pas peur. Lucile était glacé©. Elle devinait qu'en laissant la vie k cetto femme, Dieu allait lui imposer, k elle, de nou- velles affree... Et vos armes P queetionnait Vay- II exist© de« poulee eans queue, que l'on rencontre principaloment dans les provinces de Liége et du Luxembourg. En règlo générale, co eont de bonnes pondeuece et qui no 6ont paa d'un fort volume. La race »ana queue est alerto et sau- vage. Son manauo d'appendice caudal la met a l'abri des renards dans oertai- ncs regions boieées des Ardennes. Beaucoup de praticiens eont d'accord pour ro' onnaitre quo la fécondation est souvent difficile a cause de l'accumnla- tion do plume6 l'endroit du croupion. II va de eoi, dit Cnrpiaux, que l'Ar- dennaise sarw croupion étant considé- rée comme une mutation, ce qui ne peut laisser aun.n doute, pent compor- ter tou'.es les variétés d'Ardennaiae» dé- oritee dans les standards officiels que l'oreilloa blanc doit également dis- parattrc. L'origino de 'a race Wallikiki est beaucoup diecutée; on lui assign© pour berceau I'll© do Ceylar, la Perse; lee Belges prétendent que Wallikiki est une alteration du mot flamnnd Wale- kieken (poule des wallons). II est d'ail leurs trèa probabi© quo la poulo eans croupion, quo l'on peut considérer comme une mutation, est apparue en plusicurs endroits. II est intéressant de remarquer quo la Wallikiki de l'Ar- denne posaède eouvent l'oreillon blanc. duct ion et d'adaptation réoervés. Je n'en apportaU qu'une. Voua l'avez... Alors, pourquoi oce ques tions Voe complicee? Pourquoi, dans sa fureur, aurait-elle épargné quelqu'unP.. Elle répondit toutcfois Quo vous import©F Cela import© si bien que je veux vou6 lee nommer il y en a troi*. Non!... Ce n'est pas vrai... Un eeul... Laurent halotait. Allait-elle contlnucr sa confidence?... Par seul plaieir de fai re peur la jeune fille?... Un seulcria-t-il. Co n'eet pas vrai... Vous en avez trois. Un soulEt malgré moi... Je n'a- vais pas... boeoin de complice. Pourquoi P Paree que... ma familie... cetto jo- lio familie... so suffit. Ah! J'al beau coup appris... en veillant la douairiè re Et oe complice, coupa Laurent, qui, k son tour so sentait pdlir. Eusèl>e, dit-elle. EusèbeF... Oui... son... maltre d'hètel... Et votre arme?... La grenade... La grenade.Dons son lit... Je l'aurais glissée... Ou bien lui... Maintenant, vous pouvez... mo U- vrer... Déjè Laurent était k la porte. II l'ou- vrit brusquement. Natu rel lemen tEusè- be se trouvait k un pas de la eerrure. Oü est la grenade qu'avait la blea- séeP demanda l'ingénieur brutalement. Oh! Cette petite chose qui eet tom bé© par terre, monsieur? répondit Pin- dividu du ton le plus innocent. Mais je l'ai miee dans la chombre de la mala de... dans la potiche qui eet sur la com mode... Quant k vous... Je vous donne l'ordre de disparaltre de cette maison dans les quatre heures... Et de dispa raltre de Cannes. J'aime nutant vous dire qu'en eortant d'ici, j'irai directe- ment k la police. Eusèbe fit un bond, ferma la porte de la chambre de fajon k s'isoler avec l'in génieur. Me dhasser. monsieur? fit-il k voix basse... Vous n y pensez pas^... Après ce que je vous ai dit... ce que je vous ai confié... Laurent eerrait les poings. Quatre heures! Voue m'entendez F Et jusqu'A ce 60ir pour quitter Cannes si vous ne voulez pas donnir en pri son... Monsieur! Ce que je vous ai con fié... Me pensez-vous sssez naif pour croire votre invention inepte-P Et main tenant, disparaissez... Monsieur, quand je ne eerai plus ici... Eh bien!... Et que vous n'y eerez pas non plus, qui done protégera... 1.1 ne put continuer. D'une poigne irrésistible, Vayres le jetait dehors, sous la pergola. Puis il rentra dans la chambre. Lu cile s'était ©ffondrée sur une chaise. Et la blesséo la regardait, les joues en- flamméee de fièvre. Laurent alia tout droit k !a commode, et revint vore la jeune fille avec la pe tite grenade. VoilA avec quoi cette femme vou- lait vous tuer, dit-il... II y a voyez un mouvement d'horlogerio... Rien n'é tait plus simple que de cacher cela avec ou saris complicité sous votre oreillcr. et de régler l'heure k («quelle aurait lieu l'explosion... II n'y a pas a hésiter... Co tie femme est une criminelle qui doit être livrée k la police... Et tout de suite, il faut qu'on la fasse transpor ter k l'hdpital. Lucile regarda Laurent, comme si elle ne comprenait pas. Elle m'a dit qu'eile est notre soeur. Qui le prouve Sa haine mème... Et elle a souf fert... Elle a voulu vous tuer. La justice seule appréciera. La jeune fille étendit la main vera la bleseée. EUe a 6ouffert, monsieur... eflle eera soignée ici, et pereonne ne saura qu'eile a pu avoir une penséo... une minute d'égarement. Ce fut Sophie qui l'interrompit. Me carder ici I après ce que vous eavez... Et quand vous eavez quo ma haine ne vous pardonnera jamais! La blesséo sembla hésiter. En parlant. elle pouvait fairo du mal k 1'une des deux femme* détestées. Mai6 A laquelle porterait-e!!c le plus rude coup? Eile se dócida soudain LISEZ LA SUITE DEMAIN Lo commerce des peaux de lapins prend. en Belgique, une extension visi ble et il est A souhaiter de voir l'éleva- ce du lapin se multiplier do plua en plus. I! ne faut pa.* oublier que pour l'an- née 1936, il a été import© dans notre pays pour 364 millions de peaux de la- pins et de lièvree qui pourraient être produitea dans notre pays et trouver ainsi 6ur place un débmiché assuré. Les races de lapins blancs jouissent d'un engóuement extraordinaire. Ce sont lc3 préféres du moment, étant don nés les prix trés élevós auxquels on achète lea peaux. On les a payées jue- qu© .30 franc- yiic-oe lore de la vente a la Centrale lee peaux de lapins du mol* do février dernier, et oela A Bru- xelles. Pour l'élcveur, c© sont done les blancs qui doivent avoir cetto préfé- renco et les races do cette espèo© no manquent pas. Mais il faut encore dis- tinguer oellcr qui doivent avoir la pré- férenoe. car if y a peaux blanches comme il y A fagots et fagots. Parmi le< races do lapino do grande taille, il et- incontestable quo e'eet le blano do Vendéo qui tient fa têto. Ce lapin est. d i trèe répandu dans notre pays et les .'leveura en sont générale- ment satisfiite. Do prfrn© abord, on a voulu opposer les blancs do Vendee aux blancs de Termonde, mais la pratique montré que leo seconds ne peuvent rivalieer ave les premiers sous lo rapport de la qualité et de la fourrure. Parmi les i :ooü naines, il v en a deux dont les qua! lés sont gonsiblement les mêmes. On Ccinait le lapin rosse, dont le poids viv;. At no doit pas dépaosor 2 kilos I '"3. possède une fourrure do tout jprefpteif.órd.TA 1 v,v- )/>s oxiré-miféa I La fourrure est encore aunérioure dano lo lapin polonaia, qui pern malhoureu- sement dee pointe sous le rapport do la Uille, car il no pè*e généraiement paa 1 kg. 1 2. C'est d'aillours ie plus jot it lapin qu'on connaiase. mais |>our la fourrure, on n'en rencontre pas do supé rieure. EUo reooemble A 1'herniLne et elle peut être parfaitcnwnt confondue aveo eolie-ci. Inutile do dire quo. pour lea lapins blancs. l'entretien est lo mème quo pour le lapin domostiquo. Question de nourriture ot do soins, i's n'en réciainent pas do epéciaux «t leur ó.evage se trouvo être A ia portée de tout ie monde. Leo éleveure peuvent done élever dea lapins blancs. None trouverone sur place lo débouché piur loe peaux, aans compter qu'ila ob- tien<lront une viando do tout premier choix. Void. A présent, lo atandard du lapin blanc de Termonde Apparence générale grand et Jouru, lonk' et prés de terre. Tête longue et min ce. Yeux route, claire. couleur de robis ptiie. Orcillea grandee et fortos, do 14 A 15 oentimètres, droitos, écartéeo, a bout arrondi. Fanon absent chez légèrement arrondi. Fanor. aloont chez le n:AJe, moyen chez la fcmelle. Patte# court es ct mihcca devant, plus fortes derrière; ongles lee plus courts possible. Cuisses serrée» au corps. Queu« lon gue. fine et eoyeuae. Couleur blanc d'hermine uniformément. Poid» quatre A cinq kilos. Disqualifications yeux de couleur autre que rubis, yeux foncée. oreilles pendantes, tacho do couleur, pattos tor sos, queue do travers, dos anguleux, fourrure la ine use ou trop longue. Concernant le plumage des pigeons, lee miille 're f ie te ont toujour® été lobjet du colombophile. Lee robes, pour employer une expres sion d'hiptpoiogi© ranpelant d'ailleurs l'o moment qui compléte la gr Ace dee jol ice femme.*, peuvent être ramenéos aux treizo types distincts suivants bleu, écaillé bleu, écaillé noir, blanc, rouge foncé, rouge écaillé, gris barré, gris sans barrea ou suisse, argenfé ou mouhi, lie d© vin ou surlet, moeaïque ou risette, bariolé ou macot mélangé do blanc avec toutes les couleutz ci-deosus. Chez les pigeons do toute nu&noe, sauf chez les noire, lea plumes de Ia face inférieure do l'aile sunt blanches. Les teintee les plus recherché»* sont les bleus écaillés, maia en dépit do la lé gend©, nulle nuanoe de robe no oonfèi© un certificat de valeur absoéue; oeruin6 plumages tirent leur intérêt des parents célèbres dont ils rappellent lee part-icu- laritée extérieures, et cette similitude de coloration no peut quo faire présu- tner la similitude des caraetères eans tenir lieu de brevet irrécusablo. CINÉMAS Programme du lar au 7 juli lat EDEN CINfc Mirt-Noitrura Rnfart» non mdo:!a. AL8ERTUM L«i Mari» angftcapada^ MARIVAUX LE Dfdai» (Fnfauu nns a.'jni» TRIANON-AUBF RT PALACE ka Traced ia ce l'Ameur. CINEMA OE LA MUNNA IE La Fauteuil 47 i ofant» n<m adoilft VICTORIA La Fauteuil 47 afanta a"o aAirl*' T. S. F. (-R.OO«.i du lundl 4 Ju il lot 1127 Noctoma at Ha Poupér d'anioiir iMnj*» Den- 9 n. I.'archot (Mm» II juit una foia iNmc j PrO); 10. Prancoi» jr» •r); IL Amour tucau* BRUXELLE8 (504,5 m.l da la atatlo Mme Dendala 1. 1* Na'ial' auwiu)2. CVianaon -)u prlntampft (Mrndoïftaohm 3. Ma roti f i Ra Baud 4. *u- lerka (Lindnd); 5. a Sourrnance iMnt Drndalei iHoürmaa): 6. I.e B.i (■■■ÉlWMÉHMrtMMM (fk pin'; 8. a> Ma Poui©o !9m» lh Sérertic!: 7»Dut dal»1 iTB. DU no Di-ndal». FaBr»*: Dradal'" 'StiOnoa Ba* t.ru» (Mc«»i l-hr 20 h. (Vmcrrt par l'orchsatro d» la »tn Hon 1 Outrartur» du Domino ttoir (Anhsr'. 2. Fanlai»!» »ur 8am*on (Kalnt-foFn*)3 Kol Ntdrrr (TjolonrrH*-; (Max Bru"b 4 Intennrrro (Para. Bmmattne): 5. AttBada flrurio (Gannei; 6. Bulla pour piano (A1B«- Dit-: 7. Suite dr Groenland (Frcdericktoo 21 h. i flironiqn». f. Te »o:i d».j cloch»» (Isilrial); 9. Téou xiana (Marchet'ii. 21 h. I i I.'Afde an* Arauclra pèration. oauaeria par M. Joaa 2 1h. 30 Concert dornè par Ir# artfatr» mtifticirna aïeuaVra 1 Raint-Francei»di I'aul marcKant »ur Ie* f!"t* (piano' iLlatt M. Hrnri Tock; 2. Vilatiella 'chant) !I>! Acqua) .Mile Van drr I'lasa. 3. S~-ond »o) ixlolon) (IWonnrd'. M. Jo* Dclattcr. accon par:»1 par M. Vital Ghlalala. 22 h. i Information». T. S. F. «SUITE! 24 I». Moaart. op.'ra» (Vieeaa M h 16 l Quinia ana da aaltra tiaaaotas populairaa auiraaa Lao- UiTaUrria K i«:"»ra. da >t« ruaaa (Rome). 71 h. 14 i 656'. lteoaoavalio (Naplaas *3 &«la* FRANCE RADIOPARIS n.754 m.) Information». Dts i io h. ïo a ii ti. nutoe dc musiqu». 12 h. 30 k 11 ti. t Conoert Allrcro axkroit dr la aymphonfo HBrdKOtB); Manr'i"it« au Beurt >8canti«rt'. chant Mtn» M Ailard: Sonntr (Haandal), xio'.on MID M. Mrurfcc '-ain;-8nèt'«'. erllo Mile J. Br ik la printctup», fox trot l«r CN-eno nrdrttiY< Pary» (Om 16 h. 30 a 17 tt. 4 drr da 1» Brauté Uit Godard) lint» Tdbart. Gulotmir tr*. 8r:npr«y. >i. Ton tin. V. Mario. M. Durand. n.l TRAVAUX DU JARDINAGE 19 h. 30 a 22 colonialra. Hor» lenlturr. La VlTundifera (B. Marion Jeanne Barnard Ie fleur I^i B.xlafro Le Marquii ECOLE SUPERIEURE DES P. T. T. I4SS l A I h. i Information#. A 10 h. SS i 8'*natn horalre» intern.-vtionau*. A 13 tl. l Intorma ion» et caniarla cn anglal*. la demi-Iiauri Jr la frrnmr. A It It. i Contort. A 17 h. i Aoditlona oo!'"ctiTrr dr» Eeo!-' irimaire» Mburbalnaa do departement da -a 8e1ne. nou» la direction de M (»a#tor Selr L Ia Clgalo et 1» fo trmi (O. Zei* La Bon ree IA. Ohapuls 3. Marrhe gelii royennr II Bcrllo*! 4. Jar.r.thr dr» Boi* rt. 8e'x' 5. Fenllla (O. Fr!* f lo» pr it* soldnt» (O. 8rlx7. Ma Mni*OB 'O. flelil: Quand la mal va r'nlr 'J. Dalcroxr;;| I/r» foin» 'Fm. Durand); 8- La fête anda- 'Papin' dee pafie.*, »ie la queue, du museau do teint© noire. Dans les jnrdins, il faut actuellesnent s'oocuper de l'enlèvament des inauvaises herbes qui, domiis que las pluies sont «ur- venues. ee tnaliipüent avec vivacité. Kn etiftrmenrrinmts, c'est la moment da eemer dea endives et des scaroles dosti- néee anx prochains rapiquagee. Seulement, tl a#t encore tempt d» eamor des poia, des haricots, du ccrfetiil at du pereil. Ire rapiqnsKCs de poireaux, da oéleris et de chuux wot k batrwjirerxi -•> aveo le pïua d'intratitd voulue pour la ra vi tail lom ent de l'arrière-saison et aa l'hivar. ESCRI9IS Douse tireuw particlpaient k la finale. He dialect partagè» en deux poule» jngt-ve nar HM. Leineir»,. Sermon t. \an deu 1 lore lie. Van Hoecke. Trom»ut. Debeur senior. Van 11 rlotolrea 1 touche: 2. Sacton. 9 v. 9 t.: 4. Lau- blcs- rent. v. 13 t: 5. Giorrrtti. 6 V. 15 t.- 6. lent Cltrift'.ian» Ch.I5 v. 13 7. llaieier 5 v. 13 t.: lcul' 8. christians f4 v. 14 t.; 9. Constant. 3 v. lom- 17 t.: 10. litirrd 3 v. 19 t.: U. Leurquln, 2 v. l'in- 30 t 12. Freddy. I v. 21 t. M. 'Woe-,.j-n. <-n l'aliaerice du prèridrnt, re- tercia le donturice» et demanda d'olirerrer ne mincte d( rooueiMement a la mAmoire .'un camarads dn ccrcle. dècódé dan» )a se- mains. Anrèa on prorèda k la remise dea prix. MI lo Oi.-iltbe irmit 1» Challenge A Ch. De- --'tir. tr.q II» que Mme Van den Berghe. épin- glnit lo tc.f.-trd au bras du ohampion. CON8TANT recti le prix dea débutant*, tandt»; qu» CHRISTIANS remportait le prix de» bellet anuoa. Le pren ier. la deoxième et la troleième recurent ga'ement une breloqna souvenir. On *e éér tra. heureu* d'avoir aeiietd A dr tl bcanx a-sant». E.B. LA COUPE DE BELGIQUE FEMININE INTER-SALLES >H BAXJC.B Lea Luttes annoncéoo LUNDI 4 JUILLET A la Pelota SCHAERBEEK, Niauport (na Richard V.indeveide) Déctiaioa du 00ucour» dea clercq 1. Ja Louvlère (Navcatti. CHAFELLE A OIE. (Maudoux), NivèlJe» Baaècle». Chapelie at Cette in portante competition a'eat tlrée ..ier aprèa-midl k Anvera et donna lien k nne trèa Jolie litte, no» escrlmcuie» se montrant t grand progrè». Void lea réaultat» lre poule 1. Mile Addam» (Oerele d'Fo- ertme) 5 v. 8 1.; 2. Mile De Swarte (Oatende) 4 v. '.1 t.- J IMIo Gilbert (Pocitière) 5 v. ;4 t 4 All'p J«rin>aux (Klambergr' 2 v. 24 t.; 5. Mile Van 4or.gn.oo (Gymnaatiqoa et Arme»t I v. 23 t.: f MUe Delrplanque J. (Jeanne d'Arc) 0 t 25 t. 2e poule MUe K. Addara» .Orele d'Ka- crime). 5 1 12 2. Ml Benard (Potlniérci. 3 v. 17 t.: 2. Idle Van Herrcwegha (Jaaniio d'Arct, 3 V. 17 t.: 4. MUe VVynen» (Gyrno. et Artnosi. 3 v. 20 t.: 5. Mile Ann Svvenant Flambrig 1, l v. t.; 6. Mile Libert lOeten- 3e roule IMile Sclneven fO»tende). 5 v. II t.: 2. Mile Poncin (Pojinièrel. 4 v 14 3. \fI Dcleplmquc S Jeanne d'Are) 3 v. 16 L. Mile Lot:on (Flambergc). 2 v. 19 t.: 5. Mile tlnuwon (C- rclr d'Kifrimei. 1 v. 22 t.: 6. Mile acoUren (tiymn. et Armca). 0 25 t. LE CLASSEMENT CERCLF. D'KBCBIME DE BRT7XELLZB. -1 t.; 2. La Potinlère, Bruxellts, 10 r 3. Cercte d'fct"rime d'Uxtcnde. 9 v. 47 t-: entine d'Aro. Gand. 6 v. 58 t-: 5. La Flam e. BruxeUea. 5 v. 6S t.: 6. Soc'été de m antique el d'Armea. An vers. 5 v. 63 t J*irr etait form# de MM. Van don Abce- •ré. Beaorain. Poplimont. Myn Notter- "übart, Baea. C. Gyacn. Wynen. AU KNOCKE GOLFCLUB DU ZOUTE DALLCMACNE ENLEVELE CHAMPIONNAT DE BELQIQUE OPEN IcCtikin (Pans), qui a fail uit tró» brau »co*' ct a rat# d un »troke le record de 67. dOvta par Boomet (Aubrey), 31 jeu pnia.«ant et facie en font un futur •érieux concurrent dan» la* grandes Cpttivea k venir. Aprè» lui. rarini nou vea citon» la jeune Cotton dc Langlej i'ari, l'crc.v Boomer a jou6 comma d'hab:- tudc aon jeu régulier et »tir. alii»i qua Tu - lo», landl» que 5V. Oke. t.-è» régulier, n'ft pu* )nr\«rtiu a oiitenir los distanrea «tir ler Jrce a cc qui lui a eoleré chance» ronr 1 p;fcmitr« place. Do» autre* Francau. Go* e:at et Goliu* fltreut Ic* mo: leur»; f. dc- Bete.». »eul Camillv 8ya »>*l olaesé. aprèw a vol: perdu aaa chance* d'une meillenre ioftltpn .dana la aecoude moitié Vo -4 lea réanltate DAl/LEUAGNE (St-Oermain) "aylor (Potter» liar Boom»r (La Bouiit). 2. J.J Taylor 2. Peijy Boom. 3. T. L Co: 1 on (Longle; if lay Park) ..143 Fu'woil O. C.) 149 5. j. maetat (Biarritz) 152 CHAPELLE-LEZ-HERLAIMONT. Ru» Barolia 3 h. Championnat dea Chem:- not» Carnières (Grégoire). Cbapalla (PU*, may 1. Gony (Hemberg). Eu AU SS IN N ES. Pias» Coutin. Bratne. !e-Comtc iVcrbekei et Feluy (Ptranard). ELLICNIES STE-ANNE. - f 1/2 Gi- bccq (Bréda), Moalbaiz (Soorlelle). Stam- bruKC.* (Kcrmet). HUISSIGNIES. - Belet;ij (Ovarian) et Hule- tignic» tPevcnage). JEMAPPES. Poot-k-Gelles (GUbort) et LA BOUVERIE. Pramerie» (Dekoker). La lleuverie (I)ltu). Bablon (Vandenbro»ok) LEVAL TRAHEGNIES. ltebecq (Ver- dier). Solgntoe (Brisartj. Mont-Ste-AJdcson- e (Dcraymaoker). LA HESTRE. Pavd de BaScoup. 5 h. ''■""jy (Mahieu) et Braoquegniea (Ltwdinola). MONS. - Grand'Place. - Cnemee 'Cardi al). Fayt (DubuUson). Laminea (Trémj- NAMUR. Plaoa Codin. Aml» Bdunii et 8:ilr.inèe». PATURAQE9. Plaine. Bcnaan-Boii (Pcup'el, Boussu-Centre (Coulon). Pftturagw (Peuple). ST.GHISLAIN. City Pare. Jemappe» (Sandpyts). Stambrnrca (Mertcna). Wasmes (Cape)). A la Petite Balie GILLY. Place Communale. QUly (Blanr» Boe») et Moptinguy L©« Rong»*). FONTAINE. Gaux. Fontaine Cam pion' et Murchienne (Jfegnei TAMtNFS. - Hdtel da Villa. Buw» Snmbre 'I.tretl et Charleroi (Dnbola). MORLANWELZ. Conrcellc» (La Royale) at Jujnet (Le» Blenc). A la Demi-Dure BAULET. - Ai-eau fUret). Bantet (Ber ger). Farclenne» (Moufort'. SOUVRET. Chapolio .Crxmazou) et Soa- vret (DctlUetix). THY-LE-CHATEAU. Clermont. Ranoart Thy-lc -Chat eau. Lot Rcasultata do* Lutte* SA M EDI 1 JUILLET A la Pclola BELLEOOURT. Première éllmlnatoiro C ucsmea )>at La Lonvièra par 15/4 Jan*. 65/36 quinia. POUR 2UIVRE »an. perdra tin» p*ro l» Amour T*tc«xt» op coin tr»n»mt» 4 par R A l'IO-PA H18. - Y tv. 4 (r. a M 8-. 3- avctt R- n» Eli.»l-th k LI KOE IA2JJ T. S. F. RhAot'v. Micro era' tó hiMM pour one <k 2 lampc* p'-x tjMPi 6 fr 95. QOlJtrnt. 7*;. ru» 4a» Rociri- Brn- icllca Oavart la 4i- ntaaeh*. 4» 9 4 li h T. 6. f. 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(V nn. mét -er par au saai 5 an* d* r r»tl- 'if". pré», bien 1:Ft© d>n-tCrtn »t capabl. dnrt ordrc» 7|H. Jenn Jacoti». 17. P-rt A 10 h. 1 Information* A 20 h. Cour» de droit pratique, par M* P. Oartcllirr. A 20 h. 15 Parlona chiffon*, nar Mm# C. Dutruet. A 29 h. 30 Ootira do pbe-ographi- par M. O. Collin. \a chimie et ie* art» tine- trianx. par M. F. Birder. A 21 h. dc gala 1. Gulllsnire Tell (Foe»ini:: 2. L'ArWwlenrc (Blzat): 3. Fragments de La Paix ehe* *oi conté<i:c en 1 acte de O. OourtAllne; 4. Fsti* ((Sou- n«-~i): 5. Béleotion mr Sigurd, ort.'r» en 5 ar te*. muilqne da Reyer; 6. Paill.x«»e (Leon cavallo. Information». A 20 h. 45 C»uteris par M- Landry, dé- paté. ANGLETERRE LONDRES (341.4 m.) 1 h. 1 nctire. Petulant la JonraOe k divers inttrvalle». rv'.ai» et ootnmcnta.re» d«w ma-- cha» de oricket enwa Cambridge ct Oxford. 1 h. k 2 h. ltécital d'orptte Suite gothiauo (Bovlmann). Romnnco en fa 'Bcetltovanj; Rêverie (fiohnmana). è\»ire de Ch«tl»»a Uor* Costard). Air (V. William»). Prièro (Mar tini). Grava (B»ch). Berccnaa 'Il.-.in). Elé gie (Piernéi. Arabesque (lid. Andante du coneerto an la nureur (Baca). Precto de fa (onilft en »oI (Elgar!. 2 h. 55 1 T©cture d'extrkit» da Cobbed. 3 k. 1 1» début <i« la Ilet.airranco. 3 h. 45: I>.tr«© Chant. 5 h. 1 PAti*aerie«. 5 h. 15 1 Enfant». I h. Quituor. I h. IS: Expérieri"»* -nr In trari*mi**ion du *«n. i h. 39 1 Informations. 6 h. 4S Quatuor. 7 h. Critique UttOrairo. 7 h. IS 8or.at« de Beethpven. 7 h. 25 1 Lecture en francsi* d'extraita de Maréo Pal- cone (Prosper MOrim-'-»). par M. Stenhan. Inddpendanc© I>*7 irète de» Ktato-Onie). 7 h. 45 Variété». 8 h. 45 t rhan*ott. nè- grca i»ar un duo. 9 h. Information*. h. 20 1 Gtmerie »ur le* fonilles d'l'r en OhaWée. 8 h. 35 a 11 It. 1 Abraham IJnooln. plkoe da John Drinkwater, cinq ecènea DAVENTRV (1.800 m.l 10 h. 30 1 Information*. 11 h. 1 ■t chut eons. 1 h. 1 Londrae. 11 h. fc 72 h. i Id. Quatnor Da nana HOLLANDE HILVERSUM (1,9(0 mj. Akw -1 En- fant». 5 h. JS Concert. 7 h. 25 Informa tion*. 7 h. 55 Concert rel»I* de Pehermirrue Pyinphonie n. 1 »n do niinenr Bran in.* Concerto en .lo mineur 1 Raohmaniuov t. 9 h. 55 1 Information». 10 h. 15 1 Variétéa. 10 h. 55 1 Kin. QUELQUES STATIONS ETRANCERES M»t4a. POSThS Concert». Cnuiariet. Pratt», Court. »ti Barer!.: 344.8m. 2IBL22.10 ln.30 21.00-22.00 Berlin: 566 m. Berlin: 1250 m. 20.» 38.55-19 M 22.20 nnniB.: 394.7m. 19'0 70.00 17.00-1945 19.55 Mr.dfld37'. m. 14.00-19.00 Otlo 4(1.5m. 20 2 21.00-21.30 19.45-12.00 Prague 346 9m. 20.oo-22.00 18.00-19.15 Rome 4Vt m. 2'. 30 18 50 21.002315 Ktoekh.45.1.6m. 2.:s J-..4-1 19 55*3.15 Toulouae :399.6m. 20.45 20 Vlenne: 677 in 20.5 19 '.0 '9 30 ECO UTE Z AU JOU RD'HU I 20 b. CVtnaacré k l'lndépendanea Day (Dublin: 319.1 m.). Mutdque dacolee (Onpen- hagtie: 337). SITUATION LUCRATIVE Dan» rhuqne pro k repré». Intellii uctlf. paraévérar WJk In trod Bodrghrtn. d«:n. k Pttiul. d« MArode. cxi*é--. IA265 <iin» ehaqu« drr-- r Varin»»»#, x lien -k 1.1 ml. i (C 340 T" DEM 3 JéBrt.' freap. *fl*m. .- rro-Brig# —a Trrre-Nenv*. ea (\2'i ON OEM. MODE Boucher* rreIanrr.nt|p7rj''e> Maurioi Ciooiacrt. it. FIRME IMPORTANT demand* pr bur. Dile i poeevdant D'Ml- •olide. Ira réf. Kcrlra en indlq. »t prét Holte po 40. Lit.Or- i ON OEM. bonne tylo au rrturar t bureau J)on. ri I. Cee*. Errir» n. '"^•«ku'r'VaXréfit. 21 »n».!'1' 'nr-*r-* méc-Tf- t'e F.'ibriqu# dt Lingerie Vierendeelt. 3--3P. rue Jk'J Iq'Ajfial» k lm veile». -[6 Memo or* Itetaliar r*T,|-Uw*__ "(CM I hu- Dan* tout#»joe viiitt :dj HAINAUT Je cher- T ntplovk tone-. JT) j.-ttre ag. P"»' maVwm P prtt"t'ypirth!tli; Sm'V*} A III caution. Ecr. ;c--r ON OEMANOE irt»t crimr print Nt-' (A 213 'Jul M BAtun 1*"| rutte rrovlB' ta.*-. VOVAGEURS do aom.NVr 1'':i? employee S;.M."èr" EST DEKANDEE rinr. Anvtrt. JAJOlfg, pr4l6r. ayant tui- rTT.r\ ,1,MmL,0.'S *pourUiravai?,r|»ur#nu' a.ivy,' ttiSLiw" -" ,T ^HTF-Vt! ON OEM. raiaee rnre DANS L AFFAIRE. c «ir. d'oec pr eafé Ecr. avto ««Hi] detj-l* F re rfire Tavarnt St- Ago. jiluaiten aatuaL Miohei. I. pL y»'t"u ot prétent. »ou* n* 6- Bt f)HI! bur. du Journal (A2T1 19, RUE DES AUGUSTINS demande débutante au courant dacty- lographie pour trav, bureau. 20 k 25 ans, franfiiit-flamand. Ha bitant I'agglomiration bruxelloita est demandée, écrlra avec référan- ce» au n® 509, bureau du journal. LE THEATRE DES BÊTES No 178. BOBY A LA CAISSE 1. Monsieur Boby: orio 1© caieïier cola vous dérangeraii-il de me remnla- oer pendant que je vaio dé-euner r Maia aveo plaisir. cher oolièpiie Et Boby. d'un Dond. e.aute sur le tabouret do la caioeo et a'inelailo derrière ie grillace. II e»t fier comme Artaban et jnbile k l'idée que derrière cos bar- reaux 11 domino ieo finanoee mundia- !es 2. Met ton» k ftrofit notre nouvelle situation pour améliorer lo genre hu- main et fairo du bien, se dit Boby... A eet instant entre une dame hautaine l'air mauvais <11 roe faut deux centa mille franca! ordonne-!-ell«. Voua ne lee mêritez pas! répiique ver- toment Boby et il a l'air ai n.er.acant quo ia dame so retire offrayée... VOYEZ LA SUITE DEMA1N DANS LA DERNIÈRE HEL'RE Laaéam Kvaalag News Copyright Exolnalvttk paar In Bolgtgao h a La DaraUre Haan» 3. Deux a«c>>nd©a après apfiaralt un Monaieur k l'air deux. njodestement vétu. «Je craine. Mmsieur. dit-iï, que mon enrnpt© soit épuisé... Qu'in.- l>orlo! dit Boby. prenez oeci. voici un demi-millionGeit© «xc'.ajnatioa fait lourner ie» tète» d*o employés. A a secour» crient-ils. montrant notr© Don Qnirhott© quadrnpède, co chieri vent faire sauter la banquol

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La Derniere Heure | 1927 | | pagina 5