O
1 j emaine
arlementaire
POUR L'IDÉAL.
LE MOUVEMENT OUVEIER
Participation aux bénéfices.
L'A JUSTICE SOCIALE
grands centres soi-disants civilises la corrup
tion épouvantable des villes maudites de
l'Ecriture, ou toute chair a corrompu sa
voie »,oü les bonnes moeurs et la vertusont
devenus des objets de risee, bafoués tous les
soirs sur les scènes les plus en vogue, dont
certaine presse, soi-disant catholique ou
conservatrice, analyse complaisamment et
régulièrement les momeries.
Quand le parti démocratique chrétien
n'aurait rendu aux catholiques que ce seul
service de réagir ouvertement et énergique-
conlre ce formalisme imbecile qui écrase la
Société moderne sous son talon rouge, il
aurait bien mérité de l'humanité, car il nest
que temps de soustraire nos contemporains
a ce narcotisme mortel de la forme qui, sous
prétexte d'art et de culte du beau, fait bon
marché des enseignements les plus élémen
tair'de la doctrine chrétienne et introduit
de la tafon la plus insidieuse, au foyer des
families chrétiennes les germes pathogènes
et morlelsdu sensualismeet du matérialisme.
Pourquoi l'Eglise catholique américaine a
telle su s'élever si baut et si rapidement dans
l'opinion? Sinon paree qu'elle n'a pas craint,
par l'organe de ses éloquents prélats démo-
crates deselever avec la plus grande énergie,
avec une vébémence qui nous ofi'usque,
contre les préjugés barbares de la vieille
Europe, qui sous le masque du christianisme
et d'une civilisation rallinée, ou tout est
sacvijié au culte de la forme et du veau
4'or est retombce dans les vices du paga
nisme.
11 faut lire el relire a ce sujet les dernières
oeuvres de Mgr Ireland, que les catholiques
américains se plaisent a désigner com me le
futur hérilier de la chaise de Saint Pierre.
Les catholiques beiges et francais se scanda-
lisent a tort de ses audaces de pensee et
d expression, qui s'inspirent toujours du pur
enseignemenl de 1'Evaugile et qui par le fait
mème réduisent leur juste valeur touies
ces conventions sociales puériles, ce forma
lisme né de la renaissance païeune, remis
la mode par nos mandarins lettrés sous pré
texte de rénovation arlislique et littéraire.
Alceste.
Toutefois cetle consideration doit fa re
écarter le volontariat corame solution idé-
quate.
Le volontariat n'est pas une solution, it
il faut regretter de voir une partie des dém
crates, nos amis, montrer trop d'enthou-
siasme par cette formule anversoise.
Le volontariat Cela plait a entendre
paree que le peuple voit dans cette solution
l'exonération definitive de Ja servitude mili
taire. Niemand gedwongen soldaat
i\lais la défense nationale a ses nécessités
et il faut y pourvoir sérieusement. Or le
volontariat ne saurait pas y pourvoir. El
quand même il le pourrait il ne serait pas
digne du pays de confier la défense de son
territoire a des mercenaires, rien qu'a des
mercenaires.
Au surplus, en fait, le volontaruit n'a
aucune chance d'aboulir. Aucune. Cela est
notoire. Ne perdons pas noire temps le
discuter plus longtemps.
Si l'on veut éviter le service a la prus-
sienne, ilfaut écarterievolontariat, lesystèine
actueletlanation arméepureetsimple, si vous
permetlez cette expression.
Alais il faut aussi construire un syslème
qui ait chance d'aboulir et de barrer la route
au militarisme militant tout en gaiantissant
sérieusement et honorablement la défense
nationale, tout en réparlissant équitablement
les charges.
Or ce système existe. C'est, nous parait-il,
le système développé et défendu jadis par
iVJ. Jourdain, rédacteur en chef du Ratriote.
En voici les principaux traits
1° Dix classes de milice de 10,000 hommes
chacune, soit cent mille hommes désignés par
la voie du sort et formant le premier ban de
l'armée
2° Kémunération de 600 fr. par milicien
3° Formation d'un deuxième ban composé
de tous les citoyens capables de s'éqmper
eux-mémes. Le second ban compterait
80,0(J0 hommes qui seraient fourni, militai-
rement, subirait une période d'exercices
intensifs au camp, et fournirait un service
trés court pendant le temps nécessaire a la
formation du soldat.
Cesystèmenous parait jusqu'ici lemeilleur.
Après cela la proposition de loi du yyiri'st";
de la guerre sera-t-elle meilleure encore.
Nous verrons bien.
A propos du contingent c'est touteja
question militaire que l'on a discuté cette
semaine. On y a vu aux prises la nation
armée, le service personnel, le volontariat,
la conscription, etc.
Faire un compte rendu détaillé de la dis
cussion serait se condamner a revenir sur
des incidents lapageurs, incident Defuis-
seaus, incident Defnet. Laissons ces détails
peu ragoutants, etc.
En som me M. Woeste, toujours ferme,
s'est tenu sur le terrain de 1888. 1888 mar
que la date de la grande victoire do
M. Woeste sur le service personnel, el
M. Woeste tient a cette date. Seulement
nous ne sommes plus en 1888, mais en
1895 et entre ces deux années nous avons
eu la journée du 18 avril 1893 qui aura de
grosses conséqueiices en malière militaire
comme ailleurs. On a beaucoup remarqué
l'altitude aggressive de M. Woeste a l'égard
du ministère. Que serait-ce si M. Woeste
n'étail ni unioniste, ni ministériel
Quoique fasse le tenace député d'Alost
notre organisation militaire actuelle dispa-
raitra paree qu'elle est fondée sur le privi
lege de l'argent et qu'après avoir de fait
exonéré les riches comment metlre en
elfet en balance 3 ou -l annees de service
effeclif et le coüt d'un remplagant elle
fait peser la charge de la défense nationale
sur les victimes du sort.
Mais heureusement notre choix n'est pas
circonscril entre le système actuel et le
régime prussien.
Les militaristes a la prussienne invoquent
un argument extrêmement puissant, quand
ils allirment qu'il est du devoir des citoyens
d'etre capables de défendre leur pays.
Cela est incontestable, mais les milita
ristes vont trop loin quand ils déduisent de
ces prémisses Ia nécessité du service uni-
versel et personnel.
Cela ne conlient pas ceci, mais pas du
lout.
Vendredi la Chambre s'est plongée de
nouveau dans les alcools.
Trés intéreseante cette semaine les discus
sions du Sénat.
D'abord M. Lejeune a développé sa pro
position de loi contre le jeu. II y a eu des
sénateurs pour trouver ce projel trop
draconien. Ce n'est pas notre avis. Ce projet
est ce qu'il doit êlre. II fait le plus grand
honneur a son éminent auteur. II honorera
les Chambres qui le voleraient.
II y a aussi une interpellation de M. Bara
a propos de l'arlicle que M. Woeste publiait
le mois dernier dans la Revue générale sur
la loi scolaire. M. Schollaert a coupé nel les
effets d eloquence anticléricaie préparés par
M. Bara. 11 a jelé par dessus bord les inter
polations de M. Woeste.
Enfin grand débat sur les circulaires Nys-
sens M. le ministre du travail a recueilli lè
un grand succès. Les critiques acerbes for-
mulées dans certaine presse contre les ini
tiatives de M. Nyssens n'ont même pas pu
être produites au Sénat. L'impression géné
rale est que M. le ministre du travail a su
faire du neuf en restant parfaitement dans
la mesure.
Nous reviendrons du reste sur cette im
portante discussion.
Quand on parcourt la Jiste des artistes,
des poètes, des litterateurs, des savants, on
est douloureusement surpris de constat er
qu'elle se compose en majeure partie de noms
de mécréants. Les noms des croyants y sont
clair-semés Quel est le secret de ce mys-
lère déconceriant? Ce nesont pas ces hom
mes d'esprits qui nous font défaul. Ce nést
pas la Foi qui en est la cause. La Foi et la
raison sont soeurs. II n'y a rien de plus rai-
sonnable que notre adiiésion a la Foi chré
tienne. La Foi, loin de diminuer l'intelli-
gence ou d'entraver son développemcnt et
d'arrêter son essort, l'élève, Ja puriüe, lui
ouvre un champ d'aclion plus vaste, élargil
son horizon.
Je ne sais, je me trompe peut êlre, mais
ia solution de l'énigme ne serait-elle pas
celle-ci
Tout homme éprouve dans le plus intime
de son être un besoin infini d'idéal. Tout
notre être aspire l'idéal, toutes les puis
sances de notre nature, toutes les voix de
notre ême, tous les soupirs de notre coeur,
toutes les facullés de notre esprit ont faim
et soif d'idéal.
Cetle tendance a l'idéal, ce besoin
d'infini l'alhée I'éprouve comme le croyant.
Mais le croyant a un avantage sur celui
qui ne croit pas. La Foi l'a mis en posses
sion d'un idéal qui le satisfait peinement.
Cet idéal, il l'a en partage avec les êtres les
plus élevésde la créalion, ces êtres mysté-
rieux et presque divins qu'on appelle les
anges que dis-je il le partage avec Dieu
I lui-même, puisque Dieu ne peut avoir
i d'autre idéal que lui-même et que c'est Dieu
qui en est délinitif tout l'idéal de l'homme.
I En possession du plus ravissant idéal quil
se puisse rêver,' du plus sublime idéaal auquel
creature humaine puisse aspirer, dont tous
les idéaux de la terre ne sont que de pMes
reflets, il n'éprouve plus aucun désir, sa
nature est satisfaite, ses aspirations sont
assou vies.
II possède Ie seul idéal qui soit capable de
répondre d'une faQon adéquate aux iinpé-
rieuses exigences de la nature humaine.
Celui qui n'a pas la Foi au contraire,
éprouvant au même litre et avec Ia mème
intensité que le chrétien la faim de l'idéal,
mais ne possédant pas le vérilable idéal de
l'homme, cherche a satisfaire ce besoin de sa
nature, en se créant un idéal ici-bas. Et
comme le besoin d'idéal de l'homme est
infini et qu'il n'est satisfait que quand
l'infini remplit les vasles aspirations de son
êine, l'idéal que le mécréant se forge ici-bas
ne le satisfait jamais complèlementNe pos
sédant pas le vérilable idéal, il s'accroche
avec d'autant plus de passion et de véhé-
tnence a l'idéal de la terre, il s'en fait une
idóle, il le scrute sans cesse, il cherche
l'approfondir, il l'élargit, il l'agrandit, il le
|>are de toutes les splendeurs que son imagi
nation et son intelligence lui suggèrent.
I Si cet idéal est la science, il lui deman-
dera chaque jour de nouvelles découvertes
si cet idéal est la musique, il en tirera a
I chaque instant de nouveaux et plus parfaits
accords si cet idéal est la peinture, il per-
fectionnera sans cesse la finesse de son des-
oiu, la fulgurencede ses couleurs et donnera j
aux inspirations de son cerveau une expres-
j sion toujours plus transcendante si cel
I idéal est la poésie, il fera résonner les cordes
de sa lyre harmonieuse d'accents toujours
plus touchants, plus empoignants et plus
vibrants.
Et comme malgré tous ses efforts et en
dépit de tout son talent, il n'atteindra
jamais l'idéal que son Ame exige, paree que
cet idéal est plus grandiose encore, jamais
il ne se reposera, jamais il ne dira c'est
assez, jamais il ne s'écriera maintenant j'y
suis, puisque jamais il n'y est et jamais il n'y
sera.
A force de labeur, il deviendra un génie,
un poète, un artiste, un savant, il élonnera
le monde, il fera l'admiration de tous, mais
foi quel qu'il esi, il aboutira finalement au
désespoir, n'atteignant jamais la cime de la
montagne, paree que cette cime est dans les
cieux oü le chrétien seul pénètre.
Le croyant n'apporte pas la recherche
de l'idéal de la terre cette ardeur avec la-
quelle le mécréant le poursuit sans trèves ni
cesse, paree qu a la rigueur, il n'a pas be
soin de cet idéal terrestre pour être heureux.
Est-ce dire qu'il n'est pas a même de
comprendre l'idéal d'ici-bas Oh non Bien
au contraire. II a les mêmes facultés que le
mécréant. De plus la Foi, en élevanl ces
mêmes facultés, lui donne une puissance
d'idéal que Ie mécréant n'a pas. Mais encore
une fois, il n'éprouve pas Je besoin de cher-
cher un idéal ici-bas, puisqu'il possède
l'idéal infini de La-Haut. Voilé pourquoi le
mécréant raettra toujours une plus grande
ardeur a la poursuite de l'déal de ce monde
et brillera d'un plus vif éclat aux yeux de
ceux qui ne voient quedes yeux de la nature.
Le chrétien a tort cependanl de se con-
lenter de son divin idéal. Sans doute cet
idéal lui suflit, sans doute l'idéal de la terre
n'y peut rien ajouler. Mais quelle gloire ne
procurerait-il pas Dieu, en se faisant aussi
un nom dans la poésie, la science et l'art
C'est un moyen puissant de faire briller
son idéal a lui, que d'en faire éclater, aux
yeux du monde, les reflets dans l'idéal de la
terre II glorifiera sa Foi en montrant par
son talent qu'on peut être a la lois un par
fait chrétien et un poète, un artiste, un sa
vant. II prouvera que la Foi est la soeur de
l'art, que la religion est l'exaltalion suprème
de la beauté, que le chrétien est plus apte
que tout autre a comprendre et a exprimer
le beau, il purifiera, il embellira de toute la
splendeur de sa croyance, il élèvera jusqu'è
Dieu l'idéal de la terre.
Le chretien doit tendre la perfection, il
doit aspirer a monter toujours plus haut, et
la perfection n'est-elle pas dans l'union de
1 idéal de la terre l'idéal du ciel A quelle
hauteur ne peul-il j»as s'élever le chrétien
qui, tout en s'unissant par l'intelligence et
1 amour a 1 idéal infiniDieu, cherche réa-
liser dans sa personne, dans ses actions,
dans ses oeuvres, par son chant, par son
pinceau, par sa plume, l'idéal de ce monde.
Chante les splendeurs du Verbe incrée,
infini, élernel, poète chrétien mais chante
aussi les splendeurs de ses créatures ici-bas.
Elles sont belles aussi, car elles sont créées a
l'image de ton divin et infini Idéal. Toutes
ces beautés ne méritent-elles pas que tu les
idealise par ton chant inspiré 1 En les exal-
tant, est-ce que lu n'exaltes pas par le fait
même, les beautés insondables et infinies de
ton Dieu
L'abbé Henry Mceller.
A 1mA MAISON D ART.
EXPOSITION ALFRED STEVENS.
Dans l'intimité sereine et finement artistique du
charmant salon qu'elle vient d'iuaugurer, la «Maison
d Artouvre la série de ses expositions, par une
collection de toiles d'un de nos artistes les plus
choyés.
D'un genre un peu abandonné aujourd'hui, trop
abandonné peut être la peinture d'Alfred Stevens
a un caractère personnel et délicat, qui classe cet
artiste parmi les maitres modernes. Ne cberchez pas
ici lesémotions violentes, les expressions tourmentées,
Alfred Stevens est par excellence le peintre du
monde surtout du monde féminin de ce monde
qui grace a l'entrainement d'une óducation sévère et
a la contraints qu'il s'impose parvieut a conserver
dans la douleur comme dans la joie cette moderation
d'expressiou dans la pbysionomie et dans le geste,
qui voile l'intensité des sentiments.
Observateur subtil, Alfred Stevens parvient sous ce
v erni mondain a lirel'état d'ame; non seulement il le lit
mais il le peint et le rend avec une délicatesse poignan-
te qui émeut, voyez done la ces deux jeunes lernmes,
dont l'uue vient de recevoir une mauvaise lettre'
elle s'efforce de reteuir ses larmes tandis que son
amie, on le divine, cherche des mots de consolation
qu'elle ne trouve pas.
Dans toutes les muvres d'Alfred Stevens, on re-
trouve cette recherche des expressions, nuances si
légères qu'elies paraissent. fugitives et quo to maitre
a üxées avec un charme exquismais la llgure n'est
pas son seul souci, tout vit dans ces jolis tableaux et
concourt a 1'harmonie des sujets; peu de peintres ont
rendu avec autaut d'éciat et de verité ia souplesse
moelleuse des étoffes, les jeux de la lumière dans
leurs plis soyeux.
Après nous avoir fait gouter les charmes des salons,
admirer la poétique figure d'Ophélie et ces jolies
jeunes fillcs en méditation devant un masque grima-
cant, sans oublier cette jeune virtuose baignée de
lumière rouge, qui d'un geste sur se prépare a
attaquer quelque scherzo compliqué, après avoir
ébloui nos yeux par l'opulence des soies, des satins
ou des velours, Alfred Stevens nous conduit sur la
grève et par quelques petites marines vibrantes de
lumiere il nous montre que le spectacle de la nature
ne l'a point laissé indifférent, il aime la mer et il
exprime avec une maestria superbe son calme serein
ou sa fureur sauvage.
Lettre V si/gemeen fo/kube/ang
(SUITE.)
La coopérative de production est tout le con
traire. Cest une association d'ouvriers, de petits
commercants ou industriels fondée pour l'exploita-
ti°n plus avantageuse de leur métier, de leurtrafic
pour i'achat en commun des matières premières
du cuir, par exemple, pour les cordonniers, du
bois pour les menuisiers, pour la recherche de
la clientele, la prohibition d'une concurrence
deloyale, l'abonnement aux revues, aux gazettes
spéciales et autres objets analogues. Des sociétés
de ce genre ne peuvent, sans doute, que favoriser
le commerce de détails el arrêter les envahisse-
ments des grands magasins, l'absorption des béné
fices, par quelques maisons montées sur un haut
pied. Elles méritent done toute sympathie il
serait Ificheux que l'ignorance de leur nature empé-
chSt ces utiles institutions de se créer et se déve-
lopper selon les besoins.
Nous avons traité jusqu'ici la question du
salaire nous devons y rattacher celle de la parti
cipation aux bénéfices, débattue avec non moins
d'ardeur. L'une 'n'est en réalité que le corollaire de
l'autre. L'ouvrier a-t-il droit de réclamer outre le
pnx de sa journée de travail, une part quelconque
du bénéfice que ce travail procure a celui qui le
lui a commander.
Cette question trés simple en apparence est au
contraire l'une des plus compliquées qui existe,
l'une des plus difficiles i résoudre. Pour le tairé
avec méthode nous devons faire certaines distinc
tions nécessaires.
En ce qui concerne le passé, l'ouvrier, ce sem-
ble, nepeut rien réclamer. II a été tenu en dehors
de toute participation aux bénéfices par suite d'une
convention tacite admise partout et dont le Divin
auteur de la loi évangélique semble avoir reconnu
la licéité en proposant la parabole des ouvriers de
la XI* heure. En faisant dire au maitre que les
ouvriers des heures précédentes avaient re$u tout
ce qui leur était du en justice, Notre Seigneur a
reconnu, ce semble, la légitimité de la cou-
tume.