La Jennesse et la Détnocraiie
M. JDLES MOULINASSE
Chevalier de l'Anonyme
LA JUSTICE SOCIALE
quo d'ici a quclquos annèos pout-ètre, lo
]iarti cathpiiquc beige se retrouvera tout j
entioi' dèmocrate devant lo socialisme i
révolutionnairc eomme il a ëtë conser-
vatour dovant lo libéralisme aujoiird'hui
expirant. Lo ltnl du mouvoniont démo-
cratiquo on Bclgiqiie est surtout d'insul-
flcr an parti catholiquë 1111 souei plus vit'
et plus aotifdes intéréts populaircs. Ddjii,
grace a oo mouvoniont, lo parti ealho-
liquo a dos réponsos ot des réformes a
apporler aux rovendications do la grande
masse. Tandis quo le parti liberal, on
face do ces rovend ications, est aussi
ahuri qu'un financier qui devrait faire
honneur a une échëanee do plusiours
millions ot qui n'aurait dans son eofliv
quo quelques vioux prospectus.
■So coinparons done pas la Démocratie
chrétienrie au socialisme, ni memo au
prögressisme, son agent-fourrier. Déino-
crates ot Gonservatcurs ont un ïnèmo
nom de familie, qui est celui de catho-
liques La defense dos liberies reli-
gieuscs, rinstitulioii do la familie et de
la propriété privéecréent oqtrecux uno
union réollo et intime. Au contraire,
ontro lo radicp-socialisme et lödoctrina-
rismo, il n'oxiste d'autre communautó
que l'anticlóricalisine, qui ifest qu'uno
negation. Et ehacun sait qu'il n'est pas
possible de fonder quelque chose do
durable sur une simple negation.
M. van der Stratcn-Ponthoz, après
avoir prédit l'absorplion du parti catlio-
liquo par la démocratie ebrétienne,
proclaim; que co parti doviondra un
parti do classe!
Le catholieismoun parli do classe!
Admirable naivete, démentie par l'his-
toirc et par le hom nièiiie d'une doctrine
qui groupait los Rois et les Bergers
autóurdu liorceau <l" si»n fondateur!
Ni ploutqci'ate, ni demagogue, telle
rfr.nir .-<.«».« i#»** ;««-
uuo dt's formules dont sNnsjv.r ra ceüe
ouv u-ssus cic» ïniorijtBjpartiou-'
laristes, one .iter los itrioeurs ot fes lois
vol's la Justice qui rospootora ot conci-
liera tous los intéréts legitimes, tello
sera, de plus en plus, Ia régie de
conduite de ce parti.
Et c'cst pourquoi les socialistes, qui
poursuivent et ils l'avouent une
politique de classe, s'acharncnt et conti-
nueront ii s'acharner eontre ee parti,
avee beaucoup plus d'ardeur qu'ils n'on
mettront jamais a combattre un parti
indépendant qui n'aurait ni doctrine ni
idéal.
Mais peut-ét re quelques-uns, et je ne
pai
sais si l'honorable président du Go ri
des Indépcndants est du nombro, on'-:
révé do proliter dos apprehensions tp
toute' nouvelle tactique inspireaiixtimiu
pour oreer 1111 nouveau parti oü so coal
soraient buis ooux que los rcvendicalii
ouvriéros oliravent.
-V coux-la, nous nous bornerons
opposer quelques lignes d'une souv
raino sagesse, écrilos, il n'y
longloinps, par un vétéran de nos luttos
politique, M. Guillaume Verspeyen
II se rencontre aussi des esprits qu'efl'i
rouclienl tos denominations confession no
les. N'allachant au\ questions religieust
qii'une médiocre el trés subalterne impur-
tance. ils rèveiil de transformer le jia. i
catlioliquc beige en un parli pumueul rui
servaleur. Leur idéal, e'esl le hh-ijs,,
anglais. Que la liberie du culle suil nieiiac.M
que les ordres monasliques soienl exilus.
lêgalcment ou adiniuislralivement, du dr<<!
coinmun que les écoles li bres soienl conibal-
luesou Iraquêes au nom de l'inlêrèl gêné.-ai,
ces placides conservaléurs (leiueuroronl
assez indifferents. Toni au plus quolqu.'s-uns
d'enlre etix dêploreronl-ils que de Iels ine.
donls viennenl Iroubler la quietude de la na
lion el délourncr le monde des nllaiivs de
ses habit uel les preoccupations 1 Le vrai 'nat d
gouvernement se ré-hiil, d'apivs eu\, :i pr.»iè
ger leurs intéréts, a favoriser lenrs speoula-
lions. a sauvegarder leurs privileges el a res
peeler leurs pjaisirs. C'est co qu'ils appel-
lenl une politique vraimcnl conservatrice.
Nous n'avoiis qif line courlé mais péivmp
loire reponsen opposcra ces suggestions.
De deux ra ises Tune
Ou bien les operations, les situations. Ie;
inlérèls, qu'it s'agit de garantir. soul honii<"'ii;
el irspei tables, et alors ils trouvénl Mans I
defense des principes religieux el inoraux la
plus elllcace de lóuies les garanties. - I-
calhólicisine n'est-il pas, en effet, la j ui is -
sance conservatrice par excellence-? I'll qu
peul. mieiix que lui. prècher avec autorité le
respect de la justice?
(tu bien ces operations, ces situations, ce-.
intéréts, caebenl des calculs égoïstes, des ira
lies equivoques, des alius «lont soull'roiii lo-
pelils el les faibles, et alors la cause de la rel-
gion ne pourrait que se trouver coinpio:ni>
par une solidarity, inème apparente, avec u
lel ordrc de choses, bien mieux fail pour ètr
rèlbnnéque pour el re inainlenu.
En loale li-potliese done, I" par! i eallióliqil
duit demeurerce qu'il a
fa
IIJUU1
des grauds eoinme des humbles. Kt
poi
•Iftl'rice «Ie refugi
qui suufl'n
(Suite.)
En quoi ceux qui prönent ce nouvel idéal
out-ils par lours oeuvres ou par leurs mceurs
éclipsé les generations guidées par l'idèal
clirétien Ce n'est pas assez v raiment que de
ce con vier soi-iu nns des deslinées nouvel les
par de fastueuses paroles. Uneprophélie vague
seconslruil peu de l'rais, mais l'oMivre rcsle
la pierro de louche des doctrines. Oiï soul les
sacrifices qui ont jamais élé provoqués par
l'idèal alt ru isle >ïi sont les Sa int-Vincent de
Paul et les Pére Daniien qu'il a suscilês?
Ce soi-disanl idéal nouveau nie tout prin
cipe d'aulorilè supérieureil enléve par le fail
même a toute autorité humaine une raisou
sufiisante, alors cependanl que le régime qu'il
prélend inslaurèr requerra une autorité d'au-
tant plus forto que le róle des pouvoirs publics
deviendra plus própondéiant dans la vie
sociale.
Aussi le peril no consisle pas dans une
realisation des theories prèchées par ces doc
trines et fotidées sur cel idéal.
L'absunlilé est ïnfèconde de sa nature. Le
P. V. Cathrein éerit avec raison Comiue
institution stable, coiuinc oeuvre viable, l'éla-
blissemeul (rune sociétê socialiste est impos
sible. 1211e esl en contradiction flagrante avec
les penchants, les instincts et les tempera
ments de l'humanilé.
Non, la no reside pas Ie póril. Ces syslénies
d'approprialion collective, s'ils pouvaient
nail re dans la réalité, ne vivraienl ]>as loiig-
lemps; ils aboutiraienl bien vite, coiunie la
involution de 89 d'ailleurs, a de simples mu-
Mais, avons-notts oiitciirlii ditr, n'csi
il pas habile, en atténnant ee que
lU'ineipes calboliques onl de trop dóe-lri
nal el d*nn pen severe, de ralliet', j»a
des programmes de demi-teinle, le
ïlbéraux que la disparition de leur jiart-
a laissés dans la marasmc?
Si l'on veut donnera ces libéraux urn-
soupape, (ju'on leur donne, nous ru
cessons de le dire, la Représéntatioiï
proportionnelle
Mais, a défaut de cette réforur
poarquoi, sous prétexte de les rallier a
li nis. nous alienor les masses populaircs
et ompromettre 1'avenir?
Nous n'avonspas plus le droit do
li ansiger avec rerreur libérale qu'avec j
I'erreitr socialiste. Si l'Eneyelique
l\< runi Novarum condamne celle-ci, le i
Si/f/abcs ne condamne pas liioins formel-
l'-ment. celle-la. Le collectivisme est un j
peril lointain. et trés problématique. j
Muis la lat tie malheur est un lléau
rtieore trés proclie do nous, dont nous
avoiis éproiivé la cuisante réalité!
Vu surplus, les ëvènements dëmon-
Irent qu'au jou des transactions politi
que de ce genre, les calboliques sont lo
plus souvent dupes, (ju'on se rappelle
M. Buis, au lendenutin des conces-
siotis faites sur le terrain provincial juir
les conservateurs et les indépcndants
prechant oiivertcment lo rallicment a la
lisic -des candidats socialistes pour la
lliambre!
Est-ce a dire qu'il faille considérer
uiitne une qaantitc nègligcable la bour-
g.'oisie libérale politiquemcnt désorien-
b'iPoint du tout. A l'exceplion de ceux
de ses membres que leseetarismo inacon-
nique entraine, cette bourgeoisie, lors-
([u'elle aura aehoisir entredes socialistes
et des catholiques même dëmocrates,
i n'liésitcra pas, a condition que ces catlio-
1 li.iiies sachent se montrer honnétes et
j lolèrants. Elle n'ira pas, nouveau Gri-
i h'iiiille, de peur d'un pen d'eau bénite,
j sb iifoncer dans le bourbier revobition-
n.iire. Elle viendra, non saus faire la
i grimace peut-étre, mais enfin elle vien-
ilr i nous apporter un concours que nous
if vrons surtout a la juste terreur que lui
i inspirent nos ad versa ires. Le niystère
du couloir electoral sauvegardera, au
I besoin, les püdeurs trop farouclios. Puis,
j après une generation ou deux. ce ina-
L**'agiMle r i soji -e ngei-ï: i ;-- - ■-
•ion,
au mums. ,o pan'. .awu« apie
I rf uura móclilië en n seA pures doc-
j trines, li si?ra resb'; lui niéine. 11 ne se
sera pas compromis vis a-vis du people
qu'il a pour devoir de cenquérir.
La conquéte du peuple par nos
'latrines polit.iques comine par nos
i" trines rcligieuses, tel doil ëtrc le but
de nos constants efforts.
Xaguère, un liomnie d'état anglais,
rès avoir signah' radmira-ble ]>rospé-
nlédesa race, saluait jiour elle 1'aurore
d'un avenir plus brillant encore. Après
avoir van té la Great Britainil appclait
de tous ses vceux la Greater Britain
e'ost-a-dirc une plus Grandé-Bretagne
Le catholieismc est florissant en Bel-
gique. 'Mais nous devons le vouloir plus
florissant encore, ëlevant plus haul son
idéal et plongeant ses racines jnsqü'aux
■couches les jtlus profondes de la Nation.
II. G. -\V.
tali ons plus ou moins violences depi-c
priétairas. Les experiences paclielles qui e
iurent faites jnsqu'ici, permedent d en él re
con va ine lis. Mais le socialisme se préoccnpe
assez peu (le la slabililé des entraprises qu'i-
annonce. II va, et la est le danger, fondant sn
pouvoir politique sur les excitations el k
exasperations de lout es les soufliances liiimai
nes. Ses theories se relïilenl. II n'est guére
craindre qu'elles èdilient quelque cbose, nuc
en attendant ces theories déinolissenl.Les pr«>
grammes s'oublieiit. (!e qui ne s'ouhlie nas,
c'est l'angoisse de la liille, c'cst Ie dtóiaiin
ment des passions excite par la guerre (b-s
classes, c'est le déchirement des caeurs ulcéiv
par la coléreou dessêcbés par la baine.
Voila ce qu'il l'aul redouler surldol dans
doctrines nouvel les, el c'est pourquoi la lult»
contre le parli socialiste se con fond ave
refibrt pour soulager la souffrauce sociale.
M-r Ireland disail avec infiniinent de v'-riié
,i M. Jules Murdt En travailla.nl fair»
disparailre les jusles griefs de la classe
ouvrière, le mouvemenl (lémocraliqiiecliivlie,.
enlèvera au socialisme seclaire sa raison
d'ètre Car ce ne soul pas les principes du
socialisme integral qui entraineni les masses;
loin de la C'cst son programme d'aelion, c es
la canalisation de tous les griefs, e'es! I:
promesse de redresser toules les injusl ices
La force du christianisnie, c'est de pouvuu
ajouler a la lulle contre les a bus de régoisim
huinain, un idéal qui a fail sespreuves el de>
dogmes calégoriques. II allirme que la reli
gion, que la familie el que la propriété 'sou
des elementsessenlielsa toute sociétê bum;»int
que la familie en est le principe, la religion
le couronnement et la propriété individu»';!»
en soi, indépendante de ses formes variables,
une condition de vie, de liberie et de progrés
i h: peul souhailer un mode de propriété indi-
•.idtielle qui sliinule, qui rêlribue el qui
réparlissê plus parfaitenieril, mais le principe
i lui inème est intangible. Le principe d'autorité
ronstilue aussi un de nos dogmes sociaux;
1 "«"'_alilê legitime devant se concilier avec une
mine hiërarchie sociale qui est naturelle.
lont le monde fait ce qu'il veut, disait
L-»sVliet, nul ne fait ce qu'il veut. Ou it n'y a
plus de mail re, lout le monde est mnitre. Oü
tout le monde est mail re, tout- le monde est.
i-M lave. l^e róle de la socièlé ne consisle pas
a nig§ies iiiégalilés naturelles, mais a leshar-
I moiiiser.
I Ces principes peu vent Irouver leur traduc-
liou dans des réformes pratiques, qui s'alla-
ii11 a surbordonner 1'iutérèl social,les
urn-s la lihrc arbitre, les aulres les institutions
i-'-gislatives.
Les premières de ces réformes sont done
1 -i'ordre moral. Nous disonsl'éducalion
morale, et non l'éducalion intellectuelle. Car
j la culture inlellectuelle inspire l'ambilion
plniöl que la bonté. Abandounóea elle-même,
-ile rend plus sensiblos les inégalilés nalu-
i rei les. C'est l'éducalion morale qui, secon-
i»»iiilanl avec l'éducation religieuse, allénuera
«lans leurs causes corame dans leurs cfTels lant
l '-bunents d'adversilé 1'inconduite, le jeu,
i l abaiidon de l'enfance, l'alcoolisme. la crimi-
I nalité.
1'arallèle ii I'action do l'éducalion morale,
1 doil se poursuivre Taction corporative el poli-
j tique. Même pour Texcrcice do la verlu, dit
I S'-Thomas d'Aquin, une cerlaino sounne de
bleus inatëi'iels esl nécessaire.
I suicre).
Le chieii (le Jean (le liieelles
J'ai aftirmé catégoriquement dimanclie der-
nier, que Tauteur de l'arlicle du 23 avril 1890,
était le sicur Jules Moulinasse et j'ai mis ce
plumitif eu delneure de sort ir de Tanonymal
oü il secomplail et de prendre la responsabilitè
d'un dëinenli.
Le sieur Jules Moulinasse a gardé un pru
dent silence.
It n"a pas osè prendre la responsabilitè des
allirinations de son journal.
Cela iTempéche que le Patriate piibliail
inardi une note oil je lis ceci Comma le
dit en de .laan de -Ni relies.
M. Ren kin, dèpulé, se dérobe plteusertient.
Ou l'avail dëfié d'accepter Tarbilrage de
M. Alex. Braiin, un de ses proledeurs. au
sujet de certaincs allegations. II le decline. II
se borne a alllrmer. II a trap inonlrè (pie sa
parole no pèse pas pi us. que ses injures.
Gom me cynisme c'était tout a fail supérieur.
J'ai envoyé mercredi a celle feuille le billet
que voici
Monsieur Téditeur,
Je n'ai pas Tintent ion de disculer avec
vous. C'est inutile. Pour édilier vos lecteurs
sur la valour de voire polèmique, je me borne
ii vous répondre ceci. Je vous mets au dèti de
publier dans vosjournaux l'arlicle signé de
moi que j'ai fait insérer dans }a Jaslice sociale
du 27 février 1898 au sujet de voire proposi
tion d'nrbilrage, je vous requiers d'insérer
celle let Ire a litre de rèponse dans vos divers
journaux. Agréez mes salutations.
J. Rknkin.
Cette lelt re a élé "insërèe samedi. Uien
entepdu Ie Patriate n'a pas relevè nioii délf.
Jamais il n'osera inséreé iiloii article du
27 février. Avanl tout il faut que ses lecteurs
soienl Uien informés.
Le Patriate a prèleiulu me don iter mi
•Jéuienti o ;io.* <r diih- q,,i.jnortiit el il a
osè me proposer un arbitrage.
- T v c« pa...- pan
él re mi.se en doute. C'est son atlaire je
constate et je passé.
J'ai envoyé promener.te Patriot e en lui
dlsant Mèlez-vous de ce qui vous regarde.
11 y a ici une question.personnvlle eutro moi et
le sieur Moulinasse. J'aftlrine. Qu'il nie, lui
Moulinasse
Du coup Moulinasse a laissé tomber son
encrier. 11 n'a eu garde de nier. Voila huil
jours que j'altends sou dénicnti.
)fi est le chien de Jean de Ni velles
J. Rk.nxin.
Dimanche dernier, nous avons publique-
ment arrachó les voiles sous lesquels se lenaif
lapi, tel un crapaud dans son Iron, le sieur
Jules Moulinasse, rédacteur en chef du
Patrio! e.
Et Moulinasse n'a pas bougê
Nous avons déshabillë le nérsonnage... avec
des ganls, on le reconnailra. Nous voulious
que nos lecteurs conslata^senl eux-memes ce
que eet individu «qui déslionore la Presse
(ces termes vifs sont du Soir) co que cel
individu avail dans le ventre
El Moulinasse n'a pas bóugé
[/experience esl-elle assez compléte,
hein C'est Moulinasse lui-mèine qui
étale la splendeur de son académie
C'est Moulinasse lui-mème qui dêmontrc
que dans sa bedaine. il n'y a que du vent
Nous Tavionsdit c'est une outre
Car Moulinasse depuis huil jours n'a rien
Irouvéa nous répondre
Rien vous.entende/. Rien
Ni dans son journal Ni dans le not re
Nous nous sommes assis dessus 11 se con
tente de penser qu'il est fait pour ga
Un arlicle(wo/i2/»Kï, paru ce mal in samedi
dans le Pal-riota, (aprés 5 jours article
du Moulinasse, notez-leessaie bien d'alta-
quer noire ami Renkin ii propos de la question
militaire. Mais de Moulinasse,sur Moulinasse,
pour Moulinasse, pas un mot... Courageuse-
menl, comme loujours, Moulinasse se cache...
Se découvrir Se montrer Gela n'est
pas dans sa nature a ce chevalier de l'Auo-
nymc.
Quand on louche ii la limace, la liinace
reut re les cornes... et have.
Quaud on touche ii Moulinasse, (liens ca
rime Moulinasse file, el s'il have, c'est dans
sa culotte
Mais Moulinasse ne parle pas
Eli bien nous en sommes fiichés pour lui