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REVUEDELAPfiESSt
Mercredi 9 février 19'27.
30
centimes le nuni< ro
Edition
i 4me a n nee.
iO
Commerce extérieur et organisation
commerciale a l'étranger.
te --W«l-««pas»»,
BILLET PAUISIEN Les juges de paix et la Les traitements
revision du bail a ferme da personnel de l'Etat.
LA JOURNEE
Un hydravion pour sous-marins.
UN CHIEN DE PRIX.
11
fJANTEE
UN SIGNAU POUR
AUT0M0BI
ISTES.
MENUS PROPOS
Journal Officiel
La défense des concessions étrangères
a Changhaï.
Sodété d'ódltion des lournauz du P.V I'RIOTK
18, MontAgnb-aux-Hcroes-Potagftre». Bruxelles
lt<Sdnol Ion W3.MV-
<1 mini»trolion VV3.HO
Télóplione
A dreg* e télegrap Jl-jue t.allbre, BruxeUe-..
a bu.\ im i:\ r h
Be/jiqueiUnvn,66.70; d mots, .6.70:3 mois, 18.35.
Con?} Uu an 86 fr„ 6 mois 46 tr.; 8 mois 26 tr.
A wires pays buivatu conventions pos tales.
EdiL*** 18 h. Fdil **22 h. *f ft. in.
LIBRE
ANNONCES
■nnencM '«uti
L'infériorité de la Belgique a l'égard de ses concurrents. Ce
qui se voit en pays balkanique.
A propos de res tau rati on financie
rt*. de stabilisation, de vie chère, rni-
nistres. économistcs.politiciens et me
nie financiers vont répét&nt partout
le refrain II faut produire. il faut
exporter.
Ce sont de bons conSeils. Mais ceux
qui donnént ces conseils font-ik, pour
que ceux-ci soient pratiquement sui-
vis, tout ce que leur situation ou leur
mission les obligent de faire?
Les ministres organisent-ils les
services de l'Etat en vue de surpro
ducticn et en vue de r exportation?
Les politiciens étudient-ils sérieusc-
ment les améliorations légales que le
commerce extérieur réclame? Les fi
nanciers chercbent-ils assez les
movens de mettre a la disposition de
nos producteurs et exportateurs les
crédits nécessaires pour lutter contre
la concurrence des autres pays pr<?
ducteurs, qui disposent d'organisa-
tions séricuses de crédit extérieur?
Les particulicrs isolés ne peuvent
rien pour améliorer notre exporta
tion, ou. du moins, si leurs efforts
peuvent avoir quelque influence, les
résultats réels sont il peine percepti-
bles par défaut d'union et de coordi
nation.
II faut produire et exporter, certcs;
mais. les théoriciens, qu'ils soient mi
nistres. politiciens ou financiers.sem-
blent oublier que notre petit pay
divisé et dilué no peut que se pcriire
dans l'immense étendue sur laquclle
son activité doit se disperser. II arri
ve infailliblement que ce travail ne
produit que dans l'entounige immé
diat du siège de ce service; mais,
alors, comme on change co siège cba-
que nnnée, le travuil commence est
complètement perdu pour l'avenir.
j> El pendant que nous nous orga-
nisons de cctte facon dérisoire, d au
tres pays possèdcnt dans chacun des
Etats que ie viens de citer des attachés
commerciaux ou des organisations de
chambres de commerce qui en tiep-
nent lieu. Un producteur balkanique
cherche-t-il un déboucbé k l'étranger
pour ses produits, matières premiè
res dc 1'industrie, il écrit h 1111 atta
ché commercial ou 4 unc chambre dc
commerce établie sur place pour re-
présenter un pavs étrangcr. et que'
ques jours après il recoit toute unc lis-
te des industrials étrangers qui sont
acheteurs de sa production
Un consommateur ou un commer-
cant balkanique désire-t-il trouver un
produit étranger, il -écrit de même
aux organisations commerciales éta-
blies dans son pavs.-et il recoit les in
dications nécessaires pour trouver
les fournisseurs cherchés.
II est évident qu'un YOugo-Slave
dc Zagreb n'écrira pas Constanti
nople pour obtcnir les renseieno-
La question dTupen-Malmédy.
Le journal Eupener Nachrichten
l'un dc ceux qui ont lancé en Bel.ri-
que rédimée le manifeste réclamant
une nouvelle consultation populaire,
reproduit la lettre que MM. les minis
tres Jaspar. Vandervclde et Vauthier
viennent d'adresser au gouverneur
de Liége et oü ils déclarent que la
question d'Eupen-Malmódv est défi-
nitivement réglée, qu'il n'v a done
pas lieu d'v .revcnir. La fcuille eer
nanophilie. cör 011 peut désormais
nppeler ainsi les Eupener Nach
richten ne fait suivre le texte de
la lettre ministérielle dc la nouvelle
que .M. Mare Somcrhausen va inter
peller Ie premier rninistre sur la
politiaue du gouvernement beige con-
ecmant les cerclcs annexes Eupen-
Malmédy Pas d'autro comnientai
I-a' fcuilie epenoise laiesc Ie soin
des comméntaires au député socialis-
s gcrmanopliilie a coitfiance en runt du mén
M. Murc Somerhausen trop
n'étant pas producteur de ses mntiè ments nécessaires sur les acheteurs
res premières nécessaires k la produc
tion. doit aussi se ménager des cen
tres de product ion directs a l'étran
ger. Actuellement. la Belgique est
tributaire. pour presque toutes les
matières premières, non sculemcnt
des pavs qui les produisent, mais en
core d'une foule .d'intermédiaiies
étrangers. dont les bommissions et
bénéficcs grèvent lourdement ie prix
de revient de la matièrc première et
par suite du produit définitif. Les mi
nerais les cotons, les chanvres les
Ifiines. certains metaux mi-fabriqués,
etc.. sont achetés par rtos industrials
a des sociétés anelaises, américaines.
allemandes ou italiennes qui se sont
organisées dans les pavs dc produc
tion. et. en outre les achats no se
font guère quo par l'intermédiaire de
commissionnaires, étrangers égale-
raent k notre pays.
La Libre Belgique annoncait ré-
cemment aue des sociétés anglaises
cherchaient. monopoliser le com
merce de Timportation des tabacs a
Anvers. Un homme d'affaires anver-
sois qyi a beoucoqp de relations avec
les .ruri' -v -•»-»•>*
vent dés séjours. nous disait a ce
i' propos, ces iours deruiers
Mais pareille monopolisation
existe en fait pour presque tous les
articles Ainsi des sociétés «anglaises.
la faveur des emprunts consentis
au gouvernement bulgare par les fi
nanciers anglais, cherchcnt actuelle
ment monopoliser toute Importa
tion de Ia Bulgarie. On a mononolisé
l'exportation de la viande dc porc;
les Anglais ent obtenu de groszes
concessions d'exploitation de forêts;
d'autres Anglais chcrchent a monopo
liser l'exploitation de certains mine-
rais. et on nous sign ale que des Alle-
niands font actuellement une tour-
née en Bulgarie, avec l'appui du
gouvernement bulgare. povir ctudier
les gjsement miniers cxploitahles; et
cette mission est non seuloment com-
posée de prospecteurs géologues,
mais égalcment de délégués finan
ciers 7>
Pendant ce temps, que font nos
ministres, nos politiciens et finan
ciers beiges? Ils donnent des conseils
mais de concours cffectif pas!
Que fait le gouvernement dans le
procho Orient pour assurer l'organi-
sation coromcrciale?
Sur ce sujet le mêmc homme d'af
faires nous a fait ces reflexions
Depuis quelques années. le mi
nistère des affaires étrangèrcs. a or
gan isé un service d'attachc commer
cial. Mais, il existe un seul attaché
commercial pour tous les pays balka-
niques. qui comprenncnt la Yougo-
Slavie. la Roumanie. la Bulgarie.
Grèce ct Ia Turquie. Done, pour ce
service si important, il v a un seul
fonctionnaire pour eet immense terri-
toire. qui s'étcnd depuis les rives de
l'Adriatique jusqu'au Caucase ct
iusqu'è la Mer Rouge.
La première année, ce fonction
naire a séjourné k Sophia, la seconde
année a Belgrade, et enfin, il est ac
tuellement k Constantinople.
Quels peuvent-être, dans ces con
ditions, les résultats effectifs de cette
mission? Quelques aptitudes qu'ait ce
fonctionnaire. quels que soient ses ef
forts et son dévouement, son travail
ou producteurs beiges; un Bulgare de
Sophia ne Ie fera pas non plus.
Voila comment notre commerce
d'exportntion et notre commerce d'im-
portation des matières premières in
dustrielies sont supplantés par nos
concurrents dans los pays balkani-
ques.
On dira que e'est l'crc des com;
pressions et qu'un service d'attaché
commercial coüte cher Soit. mais il
s'agit ici d'une dépense productive
pour lc pays, ct cette dépense sera
facilement compensée par les bénéfi-
ces qit'cn retirera notre commerce.
D'ailleurs, il y a d'autres com
pressions bicn plus légitimes et plus
indiquées qu'on ne fait pas.
D autre part, parmi les nombreux
fonctionnaires du ministère des affai
res étrangères qui trónent dans les
bureaux de la rue de la Loi ne pour-
rait-on trouver de quoi organiser nr.
personnel séricux d'attachés comincr
merciaux; il n'v aurait certes pas
grande difficulté k répartir leur pe
tite besogne sur leurs collègues. pour
ua PiHge tias ca«ir«o.» mui duuu
II v a quelque temps déii qu'on an- j attendant,
nonce dans les couloirs de la Cham- -
bre une interpellation de M. Somer
hausen sur Eupen-Malmédy. Des
amis de celui-ci racontent même qu'il
aurait l'intention de produire. au
cours de son interpellation, des niè-
ces au sujet de tractations entre M.
Francqui et des personnalités au su
jet d'une rétrocission des cantons ré-
dimés a la Prusse movennaut rem-
iKmrsenient nar celle-ci des marks
que l'on sait Est-ce vrui. nous n'en
savons rien.
Disons seulcment k cc propos que
si 1'Allemagne voulait bien nous re-
prendre ses Marks, les Beiges seraient
sans doute peu prés tous d'Jiccord
pour leur, renvover. par dessusle mar-
ché leur Mare... Somerhausen.
Et que font les financier:
Tous les autres pays possèdertt
en Bulgarie des banques et des insti
tutions de crédit dont la mission spe
ciale est dc favoriscr le commerce
d'importation et d'exportation de
leurs nationaux. Nous avons beau
chercher dans la liste des banques
étrangèrcs une organisation qui ren
de au commerce et k 1'industrie bei-
es de semblablcs sendees
On entend répéter partout en Bul
garie Les Beiges travaillent bicn;
ils vendent des produits supérieurs;
malhcurcusement. ils ne font aucun
credit: tout est payer a la com
mando ou contre connaissements au
depart
Tandis que Anglais, Améncams,
Allonmnds, Italians arrivent en Bul
garie pour organiser des exploitations
de matières premières nécessaires
aux industries de leur pavs, munis
d ouvertures de crédits imposante?,
les Beiges v arrivent avcc quelque?
sous. ou ne peuvent vénir paree qu ils
ne disposent pas des capitaux stne-
iement nécessaires. Et quand on sa-
dresse k l'une de ces sociétés de cre
dit dont los annonces rempllssent la
publicité des joumaux beiges. 011 ob-
tient cette réponse invariablemcnt
Nous ne faisons pas d'opérations de
crédit avcc les pavs étrangers.
Dans ces conditions, aux autorités,
Onx personnages qui donnent les con
seils dont nous parlions en conrmon-
cant. les producteurs beiges sont, na-
turcllement tentés de répoiidrc
Nous voulons bien suivre vos con
seils mais faites done quelque chose
de votre cöté. Devons-nous croire que
le proverbe est vrai le conséilleur
n'cst pas le paveur
HAJU
TAmr COMTLET SUK DXMAXEr
Om mf i'
(De notre corresvondant\)aTticulier.)
LE CHANSONNIER XAVIlR PRIVAS
C-o hou gros garven a
geoise,qui chniita, pendi
uarantage, tous les soirs
Oes chansons a la lu
est reniont-e chez lui.
un corps puissant, nul plu-
paraissnit comme un ho
sur la terxe. Sa patrie
ment des nuits claires,
dont il était l'axnbassad-
sonore et tendre. Auprc;
eueil, Pierrot ct Colombm
se tenant Ia main. Leurs
lui on veulent pas d'nvbn
songent encore a tous
d'amour et toutes les d
ros que.
Leur ami est mort
ernur et cela aussi
un jnur,
malils
d'nvoir
LES JUGES ESTIMENT QU'UNE
LEGISLATION NOUVELLE EST
SUPERFLUE.
iort d'un
nssi étnit
le save n't
i pauvi
Basse cuisine. C'est par cctie lo
cution que la Gazette qualifie 'ce
qui se passe en ce moment parmi les
politiciens libéraux dc Liége «111 su
jet de la question du collége échcvi-
nal, et voici comment olie justitie
cette qualification
La question de savoir si l'on oonti-
nuerait la bipartite a droite comme
l'avait indique le scrutin du 10 octobre,
ou si J'on en reviendrait a un cartel
avec les socialistes, tut poséo aux mem
bres de 1! Association libérale. Dans
l'une et l'autre combinawon, les libé
raux étaient assures d'avoir lc meme
nomb.re de siéges d'écbcvin, ainsi que
l'écharpe dc bourgmestro; on avait ne-
gocié egalement pour constituer un coi-
lègo öii les trois partis nnraient été
represent cs, maïs ces négociations
nvaient échoué. L'assembléc. libérale eut
Ueu il v 3 quinze jours. Comme dans
touLu-J®A viöW,
•5 Liége de» cavlres qui «ont nette--
Le nouveau ministre de Colombie.
Le Roi a donné son agrémont la
nomination de M. Casabianca.en qun-
lité ile ministro deColombie en Bel
gique. en remplacement de M Car
los Arbelaes. qui avait luimSme suc-
cédé a M. Coennga.
•los cercle* d'instituteurt, les jeunés
gardes, etc. Or, malgré cette organisa
tion qui d'oniinairo permet aux élé-
meuts progressistes de triompher dans
les polls, Tassemblée, qui était ort
nomu'reuse, se prononija nèttement pour
la continuation de la bipartite a droi
te celle-ci recueillit 420 sufirages, la
bipartite a gauche 265 seulement, et
la t tripartite qui figurait égalemont
au bulletin do vote bien qu'elle parut
irréalisable, 211.
Voila qui était clair, pensez-vous...
Maïs s'agit-il de clartc? Ou vous dit
qu'il s'agit do cuisine communale. Les
dirigcants do l'Association avaient de
cide que, si aucune des trois combmai-
6ons n'avaicnt obtenu une raajorité dos
trois cinquiómes, la consultation serait
recomm'encée. Bon, ditcs-vousils
voulaient évidemment se róserver unc
facnltc de manocuvro, étant sürs que,
des trois solutions, aucune n'atteindrait
au premier tour 'cette torte majorité;
mais ent in ils vont en étre pour leurs
frais de machination, puisque, ayant
a choieir cette fois entre les deux tor-
mules qui ont le plus grand nombre de
voix, les'libéraux liégeois vont donncr
certainement la majorité absolue a la
bipartite a droite qui avait déja
obtenu une si forte majorité relative.
Vous comptcz sans l'haoiloté des radi-
caux, sans co goüt pour les manoeuvres,
eet amour do la savante evolution qui
expliqiio si bien qu'ils aient été et
qu'ils soient encore en Franco les mai-
tres du régime parlementaire, oii ils
triomphent par la guérre des couloirs et
par une longue pratique dn muquis re-
glementatre.' Les progressietes liegeois
firent savoir qu'ils se. désistaient en fa
veur de la formule tripartite! Ils comp-
bent ninsi obtenir pour cette formule
10 maiorité qui permettra tonics les
szociations et toutes les conspirations
qu on voiidrncar, la tripartite étant
repoussée par les autres partis, lo pnrti
libéral devra s'abstenir les cathohques
sont decides a ne pas collaborer avcc
les socialiatesct ce sera ton regne,
Olxstruction, mere du Gacliis qu'ont tou-
iours bénie tous les pécheurs en eau
trouble...
C'est ainsi que les tenants tres ride-
les du suffrages univcrsel eeoamotent
et unc consultation du c-orps electoral,
cc une consultation des membres de
leur parti. Le corps élector&l avait vote
a droite, les membres de leur parti
avaient vote a droite. Mais les grands
hommee des comités ont decide qn on
irait a gaucheTont cela n'a guere
d'importance? En soi-mdme. nous som
mes bien d'accord. Mais il faut al .er
soulever les couveroles dans ces basses
cuisines pour savoir nu juste comment
l'on prépare le rogoiit qu'on nous sort.
rosette de la Legion d 1
it- pax qu'il l'avait bicn
landis qu'nutcur de
chansonniers, ses frères,
en gaudriolcs salées ou d- el ar.
guerre «aux bourgeois en itpuini
lui, inlassablcmei l sent
ne prenait que du suere e
roucoulait toujoure. Cent
d stribua, avec la même chand--. I:
inéme tendresse et la mi Sc emotion
Jamais personne ne crut u'iuie foi plu
absolue a la romance ryvacu J?
printemps, les hirondelle-,
la tune,'les étoiles n eureutlijus lerv
scrvitc-ur. 11 les chant3 fc Chat
ct a l'Ane rouge, nu Ca nn
Noctambules. 11 ies chanti 1
rant la guerre et durant f
suns doute, les chnntc-t-il
l'outre monde...
l'rivas était touchant
de bonne grace. Quand.
sait aocompagné de F
charmante femme
clievenx blonds et
l applnudissnit 11 tont ri
jours, il savourait; avec
I hommage des étudiants
tes.
Pauvre prince, car 1!
(irince dc6 chansonniers, c
bravo homme, hoiii
a donncr son conco
certs <le charité et qui i
a se souvenir de eon éd
se. au college de Not,. r
ces, h LyonI En cé pay, il' 3f<|
oü le débrailié ct u- 1.1-frti
d'usage, il garda une ter.«> <f
gnité qui l'houorent. .Te V t L rn con:. 1,
il v a quelque vingt cinq u- jo 1 v
estimé. C'est un hommaiie^iCVW qu au-
lourd'Èi'i je lui rends.
Le bureau Dèrmancnt de I Lmoa des
ges de paix, uprés examen du projet
revision du bail a ferine, aurai
idooté la délihcration suivante que
public un confrère
i innam»
corpulent,
i im.i.-
yucr quil
les x
Toni <1
tlons
c-tre resp'-e
rreetoes i des
houbl
naguf
felons
de dei
loir que Jusqu'tet
Xtatante n'a don-
l-.n 11
(tén<-
né Ueu
popul
que
sont
tcsta..
démontre
légi
il para
«or
emr- joie
linet-
r. prince
un trés
aunait
es-An-
On vient d'cxpérimenier sur la Seine, prés dc Paris, cef hydravion
iroteur de 120 chevaux, destine a servir de compagncm do chasse ou
combat k un sous-marln. L'appareil se démonte facUomont et s'emboite
dans un étui hermétiquo pour ia plongée.
Un pctlt péklnols ne pesant pas
méme un kilo, et tenant k peine la
place d'un bouqnet dans un vase.
Du Ier févrfer au 31 rnfis fr 12.50
Du lor février au 30 iuin 1 31.00
Du lcr février au 30 septcmbre <6.00
Du lcr février au 31 dcceinbro 61.50
Envoi gratuit, snr demtnde, des nu-
méros parus des feuilletons cn cours
SA VEUVE
par Jean YOLE
LA GARRIGUE
par Jean dc B/
ASC.
On souscrit a tons led bureaux de
poste ou par carte postafe atlresséo
bureau du journaL
renfen
A quand les réductions d'impóts?
La Gazette de Charleroi f. common-
tant la rapport «sur les plcins pou-
voirs, écrit
Le gouvernement reconnait qu'il était
impossible d'aggraver les impöts,
dont le total, en Belgique, attemt
pres'de sept milliards de francs, soit ap-
proximativement 105 millions do dollars
ou 25 dollars par têt« d'habitant... Aux
Etats-Unis, oü les rovcnus par habitant
sont quatre fois plus élevés que chez
nous, l'impót par tête n'atteint quo -L
dollars.
Cotte comparaison indique combien
lo pays s'est appauvri des suites d'une
guerre après laquelle il a sommcillé soua
le ebloroforme de 1'inflation.
Encore lo rapport n'env«Jige-t-)l que
l'impót de l'Etat. Mals celui des Provin
ces et des Communes, lui aussi, s'est for-
midahlcment aggravé.
Or, ces charges pösent.sur toutes 1 o-
conomie nationale. Elles .s'incorporent
dans les prix dc ipvient dc la produc-
(Volr tuit* ou bi» d«-la oolonn# tu'vtnta)
LE FRUIT
Chicago est une
DEFENDU
o vllle oü !'on meurt
art peu. on vit vieux.
Chicago n'cst done pa» précisóment une
•ieillc villc, mais unc villc de vieux. Et
ainsi edt-elie. assure-t-on. non paree
l>eaucoup de cochons.mais
paree qu'on y prend de süres mtsure»
d'hygiénc.
demier rapport officiel, c'est ;i auso de
l'ftlcoolisnii On lmaginait que 'a prohi-
iltion. en Aniériquc. avait ételnt l'alcoo-
isme. Rlon n'est moins vrai. On bolt en
-aohetto cl d'alnsf bolre et d'avoir re-
:ours pour la bonne soirlographle A de
roauvais alcooi.on encourt boauooup plus
qu'auparavant la disgTAce de la nature.
nt clté n est pas vrai au to
tal
Qu'Importo le flacon, pourv
UNE DECLARATION
DE M JASPAR
Au dêhut de ln séance de mnrili.
la Clmmbre. M. UyUocver. député so-
cialiste voulut interpeller lo gouver-
ncmcht sur la sAuotion des agente j
de i'Ktut
Si on applique, dit-il. la de
cision couveniementale annnn. ee. I
les agents de l'ordre inférieur ver-
ront leur remuneration, sinon dimi-1
nuée. tout au moins demcurer sans
amelioration. Et lc coüt do la vie nel
ecsse de monter. Les intéresses dési
rent étre rassurés. j
M. Jaspar. premier ministre. hu ré
pondiL -- Je ne veux pas. eomme M.
Uvtroevcr, abofder le fond de son in
terpellation. Mais ie tiens a din* qu u i
n'est pas question et qu'il n'a jamais
cté question de réduire les traite
ments des agents ct fonctionnaires dc
l'Etat.
l.e gouvernement, en presence des
plus graves nécessjtés. dolt sérier
l'exéciition des mesures qui s'irnuo-
sent. Nous voulons augincnter les
traitements des agents ct fonction
naires de l'Etat. Mais nous devons
nrcéder par palier. II est certain que
ccrtaines categories de ncrsounesl
11'auront pas imraédiatement comple
te satisfaction. Mais les mesnres que
nous prenons tendent donner satis- l
faction, successivemcnt a toutes l<\s1
categories d'ogents et dc fonctionnai
res dc l'Etat.
Chacun doit examiner la situation
sous l'angle dos nêccssités budg t.ii-
res dn pays, car ello* sont k la base
j du succes de notre politique financiè-
s'ous avons déjè déclaré que les me-
sures proposers n'catrulneront de ré
ductions de traitement pour person-
I.a declaration du premier ministre
j fut l'ocrasion d'une discussion sur ln
mise a l'ordre du jour de la question.
1 M. Jacquemotte. La declaration
du premier ministre, au 110111 du gou-
I vernement l'union sacrée, démontre
la nécessité d'une discussion approfou-
die. Ig; gouvernement ne se rend paa
comntn dc la situation fa ito aux tra
vail leurs iles administrations publl-
quos. II doit accepter 1'interpellution
qui s'impose de toute tirnrehcc.
M. Vandervclde. Cette question
pourrait étre discutée murdi prochain.
a l'occasioii du débat sur lc rapport I
conccrnant 1 exercice des plcins pou-
voirs.
M. Jacquemotte. La question po-
sée n'a aucun rapport avcc la loi des
I plein? nou voirs.
M. Hubin. Je crpis que M. Jac
quemotte fait erreur. Iai question de
póréquation de,* salaires et traite
ments se rattacho ccrtainpmcnt cel-
I0 <kyK. Ktabilisotinn, Nous ixuicrwaa
Tibpover niardi prèch.du,
M. rib-, Bruvn. Je :V>T- Perm.,! -
d insist'T, ckr Iw Yrtt'sures
question, loin do constituer une amé
lioratiort. représentent uno diminu
tion.
M. Heyman- Mais eest le fond
de la question, cela
M. Uvtroevcr. I-'ixons rinterpolla-
tion h domain matin. (Protestations).
M. Jaspar. Lc gouvernement nc
peut accepter cctte urgence. M. Hu
bin a fait une proposition trés sm
et i'cngagc ln Chambro a s'v rallier.
M. Ie président. L'intcrpellation
est done jointe k la discussion du
rapport sur l'exéciition de la loi du
1G juillot 192G. discussion fixée i
mardi prochain. (Adhésion).
Le prince Léopold
icdi 12 mars. nu ban
M. Van C'iuuelaert a Lou.lie»
Van Cauwelarrt, député
M. Van Ct
ir Chamber
e? ét rangen
in, rninistre des nfl
do Grande Bretag
Les nominations do bourgmestrcs.
IjC
al du
munn! dc Liége vient de signer lu
presentation de M. Xaxier Ncujean.
ancien ministre. comiue Lwurgniestrc
de la ville.
On tient pour rert.ain a présent
que M. W'inandy. député catboliqu"
do Vervi -rs, ne sera pas maintenu
dans ses functions de l*ourgmestro 5
Dison qu'il occupo depuis seize an».
L-i fraction cathollqtie an cotiseil de
Dison n'a pas la majorité Kile ne
l'avait du reste pas avant les elec
tions. M. II0e.11, député socialists de
Venders, ct conaeiller communal a
Dison remplacera M. Winandy. I.'é
charpe de bpurirmestre de Dison était
vivemént 'dlsputée la droite riarlr
mentaire soutepant la candidature de
M. Winnndv tandis que lextrfimc-
gauche et les ministres sorialistf-s
faisaient dc la nomination dc M.Hoen
une question de cabinet.
Dèpart de M. Hymans poor Londres.
Le ministre de la justice ct Mac
Hymans, accompagnés dc M. Lau.bol-
te. directeur des Beaux-Arts, se rc"-
dant a Londres poor visiter 1'exposi
tion retrospective d'art beige,ont quit
té Bnixelles niardi par lc train it6
partant de Ja garc du Nord A t: h. 0.
<»-
ty Chinoiseries admir.Utrativos.
OrTmiux-ecT-wt -.
•■a pour deux an» 1<-* carle» d'lden-
co» familie» aux chimin» d<- f*-r.
titulair»
flacon import© et surtout cc q
ic. mimo pour l'lvresse mois j
re pour l^s .«ulte» dc l'ivresse.
sait que défendro ccrtaines cht
enfftnta. Cost un excellent mo
pour qu'ils le faaaont A coup »0r el
1 no It font pas de la bonne mnni
le feront, ce qui est pire, en cachot-
te. do la mauvalse.
La nature huniaine est ainsi fulte
qu'elle pcne.ho assez malencontreusement
vers le dAfendu et grand'mère Eve. qu
peut'ètre n'auralt Jamais son gó A toucht-i
a la pommc protilbéc. 11 femble bier
qu'elle lui alt trouvé des charmes Inexls
l», mensongors et Irréslstlblee. ft par
de la mlnuto fatadlqu*» 0(1 la défense
divine lul Imposa, A son égard, la total-
nls.
que
tains ne sont devenus buveurs que
depuis qu'ils ne peuvent plus hotre légi-
tlmcroent: aussi. noinbre d'entre nous sc
ont «donnés au tabar pendant la guer
re qui était préclsément un temps. oü
malalsément on se procurait de qual
•etcnlr dans unc pipe un petit feru qui
Double indicatcurlporr signaler aux
automobilistes les endroits dange
reux. Ce système unployé avec
succès sur la route de Uhcsterfield en
Angleterre.
dont le profit .en e.»t réduit au
ium et qui risque-d'etre écortée
a l'exportation par des I rivaux moias
imposés. Ellce sont uno <tes causae prin
cipalen do la chert» do 1| vie.
I^e rapport no dit poitt quelle» eont
les vues du gouvernement'pour l'avenir.
(.es impóts formnlablosn <-ssaiena-t-il
point do los réduire, r et, en atten
dant, tout au moins Ie 110 plus k«
aügmentoi', par dos c^npres?ions im-
pitoyables? No a'cfforcer»-t-il i>otnt d'i-
nauguror un régime fis<») plus soitplo,
moins dispendieux on fais do percep
tion, mieux atl.aptó k rotrc tempera
ment hostile aux inquistion- traca-.»i -
Cctte question, il faudfc* la poser lors
de la prothaine diseussiii dn rapport.
II importo quo l'on sa<no quelle sera
domain la politique du 'Jabuict Jaspar
La difficulté a
la palissade qu'on
jlguiro qu'un trtó
ind ragronome
la pommn d<
est oaché.
mentler voulut
•lont 11 mediwit
dans le public, prtt
ycux de la foule. il obtint du
li:» XVI qu© les ïroupes gHrdas-
jour, ses plantations. ATa:9. d<
no relevalt pa-« !n guet ©t les tu-
nbandonnées. la •mrios!t<5 el
dtlse de la multitude s'Avadab
s ent Iers A la faveur des ténè-
LE fLANECB.
MINISTÈRE OES COLONIES. Ordra da
Etolle afrlcaina. - Lc général-major T<
etir C.. vlce-gouvcrneur R*nCral bonora
u Congo, anrlen rornmandant su[>0rl-
es troupes en operations ft la frontier*
oriëntale de Ia colonic. e.»t promt 1 au grade
do Grand-crolx de i'Ofdre de l'Etollc
catne.
MINISTÈRE DE L'INTCRIEUR. Com-
mlua're- da police. OSmlaalont. La d«-
mljslon offerte par M. 1'r.ancoL» Van Ixju»
selaere, commlssalrc dc police do Gand. est
•ccpWe.
La démluion offerte par M. lloleyn A,
commlstnlrc de police dc DruxeUo. est ac-
ccptéc.
lu UI
pn»
ie cette obtentton com-
Hélas! >1 fallut dóchantcr! Au 15 J»n-
ler ordre c^t donnf d- faire rentrcr le.-
artes pour leur renouvellemenu
Aux r>V.lomatlon». on ripond que cette
©novation ne prendra iuur» qu'avec lee
•arte» déllvr<k-s le 15 Jam-lor 1927, qui
icules seront \-nlablot» i«our deux an».
L'iuJmlnlBtratlon v«ut Wen nocorder
n avnntage, mal» dans un on seulomor.
EPILATION, 31. r. de Maliiu -
a795-B9U>(
Indemnitee familiales
des magistrals.
Un juge de paix nous écrit
l'nc loi votée par 1*» ChambrM lc* r.'
t 29 dfreombre dernier reléve l«w intlem-
Jté» familiales de« maxlstrata de 40 fr.
pour le 3n enfant ct de 50 fro-nr-» pour
chacun des euivants avec effet rttro»ictlf
inu Ier octobrc 1326.
indomnltc-a familiale» dc» autr*»
«gent» de l'Etat avalont 4t<5 relavéM «u
mnl» de septombrft.
magistrat» arrivent toujour» d-r-
!©r» quand 11 s'agit de palper la mer.-.*
ouvcrnoxnentale. Quo voulez-rou» lis
sont gens calm*» et dc null© rou*p4t»u-
•e! Et quand touchcront-Ila cctte Jég.'-re
ugmcntatlon
En attendant 1'index *tt«:nt lc» »ouv
enfanta dolvrnt «'entretenlr
L'ambassadc beige a Londres.
Le orince Eugèno de Lignc vient
d'ètre nommé secrétaire de ranibasv
sadc de Belgique k Londres.
Le prince do Ligne, qui a fait un
séjour dans l'Indo, ront re ra om Bclgi-
Otie ver? le 15 février; il reloindra
immódiatement son nouveau poste.
s'ólc»
mAme b1"
On ne mange bien
que chez soi. Si c'est P<iur manger
mieux. on va chez Wilmus. 112. boule
vard Anspach (Bourse). T. 257,30 et 31.
a 1324 G
Créatlon d'an cadre de comptables
aux chomios de Ier.
F.ii vue de donncr a la comptabiiité
industriclle une organisation dófini-
tivc, la Société nationale des chomins
de fer beiges a dócidé dc créer un ca
dre special dc comptables, de manié-
re a attacher aux divers services dc
comptabiiité (directions, ^roupes,
ateliers, dépóts) un personnel spécia-
lisé.
La mesure sera réaliséo par voie
dc transformations d'cinplois, ensuitc
de concours
Ces concours auront lieu dans-le
courant du mois d'avril ou de mai
prochain pour la designation dc
20 comptables dc lre classe (10 fran
cais, 10 fiamands): 42 comptables de
2rne classe (20 francais.16 fiamands);
Gó comptables de 3me classe (34 fran
cais, 31 fiamands
Un corps de volontaires amérlcains s'est constitué a Changhaï poar «t>-
surer la protection des résidents des Etats-Unls. En volei quelqnes nns
contrölant le» entrécs et les sorties k la limito des concessions étrangèret.