f WIK0IMIK} les Accidents d'Auto Arts, Sciences, Lettres Senses d'ir! lie la 6. C. i. T. BIBLIOGRAPHIE Les sinistres maritimes n Formidable explosion a Baelen-Wezelqui se dégageait. La question de langer. L'insurrection au Portugal Les troubles en Chine LA PERSECUTION AU MEXIQUE SOCIETE DES NATIONS J0URNEES D'ETUDES DU BOERENBOND Dernières NouveileV] Sportives Drame du revolver a Vilvorde. Les exploits d'un rat d'hötel. Le mauvais temps FAITS DIVERS LE FEU a l'hópital d'Alost 9 FEVRIER 1927 LA. LIBRE B E LGICLU E Lo briJlant succes que viennent de remporter a Bruxelles les Compagnons de Saint-Lambert en jou&nt La vie profonde de saint Francois d'Assise prouve a loute évidea« e qu'une hcu- reuse évolution s'est icalisée depuis quelques ajinées. Une initiative théa trale doit le souci d art vrai et de r.ropreté morafc h'est pas exclu. voire une pièce oirectement lospirée par l'i- deal chrétien. est assurée dorénavant de la svmpathie d'un public nombreux et choisi que dégoütent les ineptics de la scène contemporaine. Ce public applaudira certes au geste eourageux de la Gilde Catholique d Artistes du théatrc, qui inaugurera le 24 février prochain, a 8 h. du soir, en la salie Patria, la série dc ses rc- présentations classiques par Andro- maque. de Racine. Viendront ensuite le 17 mars, Ham let. de Shakespeare le 81 mars, Polyeucte. de Comeille. et, le 28 avril, Saint-Genest. de Robrou. Andromaque est, a notre sens, le chef-d'ceuvre de Racinc. C'est dans Andromaque, écrit René Doumic, que Racine va être lui-mêmo. Car il s'y est mis tout entier. et il s'y montre en possession des principes d'une poéti- que -ui ne va plus varier. Disciple des anciens et esprit trés moderne, il sait allier tout l'horreur de la légende antique avec les délicatesses et les bienséances d'unc époque raffinée. Grand peintre de la nature humaine, il incame dans Hermione le type de 1 amante outragée, dans Andromaque le type d'une mère et d'une femme si touchante en sa coquette rie vcr- tueuse Andromaque fut représentée pour la première fois en 1667. Et pourtant la pièce n'a pas vieillL Elle est toujours moderne et beaucoup au-dessus d'une foule de productions contemporaines. Les persannages sont toujours aussi vivants. aussi humains. C'est qu'ils incarneni rhacun dans son caractère, lame humaine tou jours semblable a elle-même. Née du génie de Racine, il y a deux siècles et demi. Andromaque resplendit dans un rayonnement éternel. La représentation du 24 février aura eet intérêt tout particulier que le cadre réalisé k eet effet pour la G. C A. T.. inspiré de l'art grec, constituera une fresque vivante. une vision d'une originalité frappante et d'une rare puissance émotive. II est superflu de rappeler ici le mé rite des principaux interprêtes Ma dame de la Vallée qui jouera le róle d'Andromaque, Monsieur et Madame Boine qui joueront respectivement les róles d'Oreste et d'Hermione. C'est. du reste. la troupe de la G. C. A. T.. dirigée pa- Madame Boine, qui a créé k Bruxelles. on se souvient avec quel succès. la pièce de Ghéon Le Pauvre sous l'Escalier Aussi tous les fervents de l'art pur et noble ne manqueront pas d'assister aux représentations de la G. C. A. T. Chanoine CROOY. N. B. Location 53. rue Royale et 11. rue d'Assant. Prlx des places ao, 15. 10 et S trancs; abonnement? aux quatre séances 60. 50 et 30 francs. Compte chèque de la Gilde n. 59500. Rensetenements n la direc tion, 35. rue Brlcham, Scbaerbeek. liTHAUGTTSATION DE I. "EXPOSI TION D'AST BEL GE ATX CATRE aura lieu Jeudl 10 février. L'exposition est InstaJléo dans le Pa- jale Tigrane, sltué au milieu d'un Jardin ou centre de la vllle. Le rez-de-chaussöe ee compose d'un hall central et de trola salons, dont l'un est trés stand et les autre-a de dimensions moyennes. II y a ousel deux petit* salons au premier <"ta#r«, L«S CmjaAika.te-Jrjr e site dn Rol d'EaTPtè. COURS ET CONFÉRENCES. LA SOCXETE DIS NATIONS ET LES KABBATS COLONIAITX.— Lc rol et lc due de Brabant honoreront, lundl, k 20 h. 1/2. au P&lais des Académies, la con férence que M. Orts. mlnlstre plénipo- tentiaire, sous les auspices de la Com mission coloniale de l'Union beige pour la soclété des Nations fera sur La Soclétó des Nations et les mandats colo- nlaux Dom Had el ln de Moreau, O. S. B.. xnolne de l'abbaye do Maredsous. donnera ne conférence vendredi 11 février A 4 heures 1/2, en la salie, 31, rue de Stassort, au profit de l'oeuvre «te secours aux évèqucs et prêtrcs pauvres du rite oriental. Sujet de Ia con férence Abbesses bénédictines du XVIIe siècle Ou peut se procurer des cartes A la llbralrle Desrlt, rue Royale. XBAN TH A RA UP confércncicra le 10 février 4 30 h. 30. 31. rue de Stassart. sous les auspices dc la Llgue nationale pour la défense de la langue franqalse. 11 pariera de Péguy (le héros d une de t-es dernières oeuvres). Cartes 36, rue Treurenberg. CONFERENCE DU R. F. HENUSSE. - Pour rappel, aujourd'hui mercredl A 15 h. 15. rue de Stassart, conférence par le R. P. Henusse S. J. au. profit des famll- ,cs nécessiteuses secourues par les fllles e la charité. Jeanne d'Arc de B. Ebaw. Cartes (10, 15 et 10 francs), 53, ue Royale. GE ROLE SAINT-OA PIST RAH. Salle des Beaux-Aarts. 35. ch. d'Iselles -. mercredl 9 février, A 90 b6ures Curlosttés des envi rons de Bruxelles projections, par M. Hal- Int. Entrée carte de membre ou 50 cent. CONFERENCE RENE WARLOMONT. - Vendredi li fcvrler. A 17 beures. A la Fon- datlon Universitaire, 11. rue d'Eymont, a Bruxelles. conférence sur Le réle et les limltes du pouvolr législatlf en régime par lementaire par M. R. Warlomont. avocal A la cour d'appel. A PATRIA. Le Jeudl 14 février, a la salie Patria. me du Marais, conférence au dition Ecoutez.les Cadets par !c R.P. Hénusse, avec le concours de Nadjejda K"- lokolova. Rla Lenssens, Michel Carof. M. IMaschenko. au profil de la Müérleorde de la Cbapelle et des pauvres du conférencier. Cartes 10, 15. 20 francs, rue Royal. 53. numérotage 1 franc. ARTS ET TOURISME, lllustré niens.de luxe. Edit Jos. Vermant. Courtral. Le No 3 fr. 6291 E CHRONIQUE UNIVERSITAIRE EOOLE SCPEZIEURE DE PEDAGO GIE. Mercredl. a 17 h. 1/2. rue Tcrre Xcuve.198, A Bruxelles. conférence par M. l'abbé Jacques Leclercq, professeur a ia Facultë de philosophic et lettres de 1 Institut St-Louls. Sujet La Notion de Progrès DOUBLE NAUFRAGE DANS LES EAUX DU LEVANT Bucarcst, 8. Suivant de< nou vel les qui n'ont pas regu ccmfirmatioif, lc navire russc Batucliicw avec 40 passagers, et le navire gree Kreia en route pour Constantinople, auraient lait naufrage au large, w-i *111 I* r» I ¥17 I 1'*® Muvetage furent mrdus tres diffi- 1 Los efforts durent se bomer k pré- server les bfltiments contigus. I. LES PRETENTIONS ESPAGNCLES SONT INACCEPTABLES POUR LA FRANCE. '.Par téléph. spéc. Paris. 1 h. matin.) On mande de Madrid La délég&tion cspagnole qu: cotn- mencera domain a fomiuler a Paris les aspirations do son gouvernement k propos de Tanger daps Ja confé rence frant'ocspagnole qui va sou- vrir demandera 1'abord l'incirpora- tFon pure et simple dc Tanger a la zone de Tanger. Si elle n'obtient pas gain dc cause, elle demandera d'itn- portantcs modifications au statut do 1923 sur Tanger. modifications qui équivaudraient a la creation d'une seeonde zone espagnole. Le programme minimum espagqol est déclaré lui-même inacceptable pa rle Ouai d'Orsay. On sait. d'autre part, par dc récen- tcs communications, que si les de- niandes espagnolcse ne sont pas ac- ceptées. Ie général Primo de Rivera a l'intcntion de demander la revision totale des accords intemationaux. Dans ces communications pre-squej quotidiennes a la presse. le gouver-1 neraent cspagnol s'efforre rie donnerj l'imprcssion que l'adhésion k son programme de la part de l'Angleter- re et de l'Italie lui est acquiec. Les négociations ont done pris le caractère du rèclement d'une més intelligence franco-espagnole alors i que la question de Tanger pst évi- demment dominee par le fait de la présence de I'Angleterre a Gibraltar et du conti'öle que cctte puL«sance exerce sur l'hihtcrland cspagnol de la forteresse britanniqiie. UN CROISEUR ET DEUX DES- TROYERS ANGLAIS SONT PAR TIS POUR LISBONNE. Gibraltar, 8. En raison du mou vement révolutionnaire du Portugal, un croiseur est parti eet après-midi pour Lisbonnc et deux destroyers se rendent a Porto pour protóger les in téréts britanniques. LE PROJET AMERICAIN CONCER NANT LA NEUTRALISATION DE CHANGHAI EST COMMUNIQUÉ A L'ITALIE. Rome, 8. La «Tribuna» apprend que-l'Italie a. recu communication de la proposition américaine pour la neutralisation de Changhaï. ENCORE DES AGRESSIONS POLI- CIERES CONTRE DES CATHOLI- QUES. A Queretaró, lc 31 dócembre dei'nler, vinjrt-cina ieunes fillos de la irveilUm- re Aociété. allant en pèlcrinage au sanctuaire de N'otre-Dame du Pue- blito ont été maltraitées et 'disper- sées par les soldats du général Lo pez. A Puebla, diverse* agressions ont cté commiscs. Le 81 dócembre, en effet, les propagandistes catholiqués avaient réussi u lancer dans des fu sees d'innombrables feuilles de pi-o- pagande qui recouvrirent toutc la ville. II fallait des représailles 1 A Mexico, les chefs de la Ligue de défense religieusc et de nombreux catholiqués ont été emprisonnés LE PACTE ITALO ALBANAIS EST COMMUNIQUÉ A GENEVE. Genève, 8. Le pacte d'amitié et de sócurité entre l'AJbanio et l'Italie a été communiqué aujourd'hui aux fins d'enregistrement et de publica tion au secretariat dc la Socicté des Nations. Les documents déposés A eet effet sont au nombre de deux 1. le pacte d'amitié et de sécurité (en italien et en albanais) 2. une note en francais relative k ee pacte, datée du 5 dócembre 1920, émanant du ministrc d'Italie en Al banië. Le nn'nistre confirmn que dans la pensee du gouvernement de Rome. comme dans celle du gou-ver- nement albanais; la phrase les trai tés qui portent la signature des deux parties so réfère serjlement au trai té convenu et publié depuis l'adhé sion de l'Albanie a la Sociêté des Na tions. FRANCE. Un exploit détudiants d' Action fraucdiso 'Par téléph. spéc. Paris, 1 b. matin.) Une vingtaine d'étudiantad' Ac tion Francais® ont cnvahi eet aprèi-- midi la bibliothèque de la Facnlté ('e Droit de Paris oü ils ont vonlu obliger les étudiants appartcnant a une Ligue universitaire répubbcaine a retircr leurs insignes. Sur le refus oppose par ces dernier.^, une bagarro s'e.'t produite au cours de laquclle plusieurs étudianta cm* été blessés. Un service d'ordre a cté établi aux abords de la Faculté pour éviter que I l'incident puisse so rcnouvelér. Le sort de la Grande CUarlrense (Pat téléph. spéc. Paris, 1 h. matin.) On sait l'état d'abandon dana lequel a été laiss.-S la Grando Cliartreuso de Grenoble depuis que les Cliartreux, cn 1903, en ont été expubés. Les anticléricaox do l'cndroit avaient déja fait plusieurs tentatives pour don- ner a la Grande Chartrense une destina tion laïque. Ces tentatives ont toutes échoué. II y n quelques mois, le coiieeil géné ral dé Grenoble déeidait d'offrir i l'In- stitut de Coopération intellectuelle ion- dée par la S. D. N. b Paris, le monasté- re historique pour y établir une roaison a la dis(iosition des intellectuels fran- gais et étrangors .Aujourd'hui on annon ce que eet organisme vient de refuaer cetfe offre. ALLEMAGNE .Protestation allemande ii Varsovic. Berlin, 8. l>e ministro d'Allemagne a Vnrsovie a protesté samedi apr«j»-midi auprès du gouvernement polonais oontre les expulsions qui mena^aient quatre ouvrier» aliemancts d'êntreprises <n Hautc-Silésie polonaise. Lo bruit court que !c gouvernement allemand serait de cide a rompre les négociations commer cials gerroano-polonaisos ai la mesure n'était pas rapportée. ,\1. Stresemann parten vseance. Bcr!in;>6. 'M. Stresemann a quitté Berlin hier soir «enlenient pour se ren- dre sur la Riviéra.ll s'est entretenu hier encore ayeo M. von Hoesch. On assure q .e M. Stresemann compte consacrer ses vncances eiitièreinont au repos et qu'il re iccevra aucune personnnlité alhee Le lien do son réjour est tenu- secret. Onant au voyage du baron de N^w- Tatn, iv San Heino. il était, parait-il, de cide depuis long temps. L'ambassade.ir d'Aljcmagne a Rome irait seulement présirlVr une -séance du Conseil d'adnii- n.'stration de l'hópital allemand de Sao ïlemo. Unc ent revue Mussolini-Strese- ïuann parait peu probable. Rome. 8. A propos des brdits d'une entrevue entre M. Mussolini et M. Stre semann a San Remo, la t Tribune lit que dans les milieux diplomatique* ita- fiens on ne pense pas que le dief du gou vernement ait l'intention de s'cloignor de Rome Le coiufc Wcslarp attaque. vivement la Pologne, Brrlm. 8. Au cours d'une oonfóren co faite hier soir, a l'Univcrsité de Ber- lin Ie 'hef nationaliste, conjto Westarp, a répété son point de vue déja connu «ur le traité do Locarno et la Sociêté des Nations, mais pour rassurer l'ctranger, a-t-il ajouté, nous admettona quo Lo carno et la Sociêté des Nation* consti tuent la bas© ju'ridique do la future po litique allemande. Lo comte Westarp a viveinent atta qué la Pologne. BUo constitue, a-t-il dit, le plus grand danger pour la paix de l'Europe II est henreux qu'un pacte de aéeurité n'ait pas ét© oonclu on ce qui concerne les frontières oricntales La frontier© de de Ia Haute-Silésie partagée cotitr© le droit et oontre la nature, la frontier© du corridor, no 6ont pas tenables. J'estim© que la politique allemand© a la de* ta- chcs toutos spéciales a remplir. La re- nonciation contenue dans lo traité do Ivocarno n'est pas une renonciation de principe, mais seulement une renoncJa- tion de recourir a des mesures guerriè- res. C'est pourquoi c'est un devoir de patriote a ne pas briser 1'idéal du neupv allemand et de réunir a nouveau k la Dé- publique les tèrritoires allemands qui en sent séparés. I/O comte Westarp a souligné sa 9cri see on ajoutant que l'anriexion de l'Al- sace-Iyorraine en I871.avait été une oeu vre nationale. Pour 1927, la tache prin cipal i nccomplir est la Hbération du territoire occupé par tons los moyecs diplomatiques et autres. ITALIË L'indcmnité parlementaire. Rome, 8.La Tribune dit qu'au cours de la prochaine session parlemen taire la question de l'indemnitó des de putes .sera examinéo. Orr proposera it que outic rindemnité pieiisueUe qui est de 1,000 lires, les de putes rtfoivent un jeton de préséhce'uV 100 lires pour chaque séance a laquelle SUISSE. Lts monoaies d'or seront désormais (rappees en Snisse Berne, 8. Couseil federal n dé- cidé la nationali.sation de la frappe des inonnaies d'or. La nationalisation de la frappe des nlounaiös d'argent est en gueur depuis un certain temps. Les pie ces d'or'de l'union latine beige, franrjai- se, grecque, italienne n'ont plus aucun cours legal en Suisse a partir du Ier avril 1927. (Uavos) AMERIQUE CENTRALE La guerre civile au Xicaragna. Victoire des insnrges, dit Paris, arbitrage dit, Was hington. Paris, 8. L© Petit Pareuen pu- blio la nouvelle suivante Les forces libérales du Nicaragua, soue le commandement du génëraJ Barajoa se sont ©mparées de la cité de Cbinandega a 35 km, environ de Corin- to, après une série d'attaqucs dont la première fut déclanchée hier matin aux abords de la ville. La nouvelle de cette notoire libérale a produit une impres sion d'autant plus vivo que le com mandant des troupes gouvernementele* dieposait de 4,000 hommes centre 1,000 et qu'il s'était flatté- de .pouvoir enoer- cler l'ennemi. Par contre, 'lc* Etats-Unis, qui ont fait les plus grands efforts pour apaiser le conflit et ont- .mém® debarquée des troupe* a la eóte nioaraguayenue, lan- cent cette dépêche de Washington: Lo Dr Sacasa, chef des libéraux rebelles nicaraguayens vient do faire connaitre au département d'Efcat qu'il était prèt k accepter 1» mediation des Etats-Unis dans le conflit entro les con- serrateurs et les libéraux nicaraguayens Le Dr Sacasa suggêre quo la commission de mediation soit compo6ée d'un repré sentant du gouvernement de.s Et3t-Unis et do 4 délégués des républiques 'e l'Amériqne centrale. Un batiment contenant 1,200 kffi de nitroglyce rine explose. Dégats matériels importants. II n'y a pas de victimes. (De notre entoyi spécial) proNii.ce «ie Lirn- Au uord de bourg. a une quinzaine Oc kilomètres- de Bourg-Lcoiiold ct en r elne Canipi- nc se trouvent instances de notnbreu- ses usines de zinc'ct me fabrique d'explosifs. Cette vaste agglomeration sAppelle Baelen-Usincs. 'Ihaque grou- pc de fabriques est isolé SUR LES LIEUX DE LTXPLOSION Les terrains oü sont situécs les usi- nes de dynumite et oü s'est produite l'explosion sont complét unent entou- rés de fils dc fer bnrbqlés et nul, en dehors du personnel. nN a accès. Elle se compose d'un? dizainc dc pavilions, sóparés les <P s des autres par une cinquantaine mètres. Ceux oü l'o:i manipulé des matières dangereuses sont. pour la plupart, presque complètement «ïfouis dans Ie sol. lis sont. cn outre, artoures de pa- rapéts cn terre solidrm uit tassée «:t qui s'élèvent a une h intcur d'une quinzaine de metres. Cc :pur de terre a une épaisseur de treis mètrc* au sommet el de huit a dix ruètres la base. C'est gróce ces precautions minu- tieuses que le malheur a été localisó. Ce pavilion se trouve. au surplus, tout au bout du vaste fnclos. L'EXPLOSION. Lundi. vers la torabéc.du jour. l'ou- vrier chargé du lavagode la nitrogly- cérine dans ce pavillo-i avait quitté un instant son poste pobr les besoins de son service. Au moun-nt oü il re- venait. il apercut au sou -net du rem part de terre qui entourai'. le b&timent une fumée rougeatre. II comprit que les 1,200 kilos de nitroglycerine qui se trouvaient la allaient sauter. II avertit immédiate^P' nt le direc teur, M. Lekanter qui .-iccourut sur les lieux, mais il se rendii tout de sui te compte qu'il était irop tard et qu'une explosion alla.it S« produire. II s'eloigna done le plus rapidement pos sible. mais il n'avait pas fait dix pas uue l'explosion avait lieu, formida ble. II fut renversê sur Je sol ainsi que l'ouvrier qui l acconipattnait, mais tous deux purent se rimer sans mal. tandis que s'ahattait sur eux une piuie de terre et de débris dq bois. L'épais rempart-de lorre avait 7' arracliê sur unc haul» ur de cinq ou six metres et disséminé au loin. La force de l'explosion s'est portee vers l'ouest. du cóté de la 1 luj prochc usi- nc de zinc. Le sable blmc de cette plaine est. de ce cété, ré- ouvert d'une poussière noiratre iuscju'.t une distan ce de 300 metres. Des ou'ils déchique- tés, des boiseries déchiries en menus morceaux, des houts d'andoise et du briquaillon ont été projet is k une trés «runde distance. Ceux qi i ont assist a ce spectacle impressio mant disent que le ciel fut un instant obscurci par un nuage d'une extruoidinaire opa- cité. Presaue t0us les pavilions ont subi des dégats soit par la deflagration <le l'air soit par la chute des matières projetées par ce volcap. Les bureaux dc la coiuptabilité qui se trouvent A l'entrée OVl'usine, ainsi qu'un hangar qui y est adossé ont setil cóté le chajabranlo d'une porte a été arrachcc et réduit en lamelle*. Ia toiturc. dirait-011. a été violemmeiu secouée car toutes les tuiles ont dis- paru. Dans les environs, il y a quel ques carreaux cassés. L'explosion fut formidable et el ie a été ent»ndue k quinze ou vingt kilo metres de distancc.a Baelen. A Moll A Bourg-Léopold et in»*me plus loin. A l'cndroit oü elle s'est produite. il ne reste rien du pavilion, dont les dé bris ont été projetés dans tous les sens ou se sont cneastrés dans la ter re du parapet Le personnel, depuis le directeur jusqu'aux marueuvres de l'usine, ne semblent i>as démesurément impres- sionncs par eet accident, accident tou jours possible et auquel on est próp; rc. Tous se félicitent de ce qu'aucun accident dc porsonne ne se soit pro duit. L'usine est installec depuis 1883 et c'est la première fois «*u'on a A déplo- ror un sinistre important. LES PRODUITS EXPLOSIFS que fabrique la riynamiterie de Bae- len-Wesel sont destines surtout aux houillêres. On y prod uit surtout des explosifs dits difficileinent inflam mables v. parini lesquels la S. G. P. employee dans les puits grisout»;ux. La falirication proprement <1 ite com- prend la nitroglycérine. la separation lente. Ie séchagc. 1'encartouchagc. etc. dont chaque spécialité a son pavilion séparé. On v fabrique aussi la dynamite pour les carrières" et les cartouches do l'arméo beige. Le personnel rompon une cinquantaine d'ouvriers et d'oti- vrières. C'est miracle qu'il n'y ait ni mort tii blessé. LA CAUSE DE L'EXPLOSION C'est dans le pavilion de lavage dc la nitroglycerine que l'explosion s'est oroduite. On ne peut en faire retom- her la responsahilité sur personne ct le directeur nous affirm.? qu'il n'y a pas eu de negligence de la part dc l'ouvrier chargé de ce pavilion. 11 ar rive assoz facilenvnt. parait-il. que la nitroglycérine se decompose soit pour des raisons atmosphériques soit paree que, dans Ia composition, s'introdui- sent quelques gouttcs d'une matière «'-trangère. I'eau particulièrement. Ceel est l'objet d'une surveillance im.essan- te. On s'en apercoit, en général, im- módiatement. mais dans le cus pré sent. la déconiposition était trop avan- cée quand on s'en rendit compte. Dés que le nuage rougeAtre «lont nous avons parlé npparait nettement, il est trop tard il.ne reste plus qua fuir. C'est ce qu'a dü faire le direc- teui au moment oü.se dirigennt vers le pavilion pour prendre les mesures nécessaires, il apercut les flammca. 11 n passé deux minutes effroyables, ahuri par Ie bruit formidable de la déflagrution. renversé par la pousséc d'air et entendant tomber tout autour da lui des briques et des tuiles! Une heure après l'explosion les hourgmestres et les gendarmes de Lon-mel et de Baelcn. les deux locali ty's les plus proches sont arrivés sur les iieux, mais ils n'curent pas a inter- vénir. Le parquet de Turnhout n été nx4AiUiu.jnais.nn no. emit nas ou'il fe ra une descente puisque Ie toüt seTé- duit k des dégfits matériels. A S h. 2. la toiture des bailments embrases. s'cffomlrait avec fracas. 1>» vent soufflant avrc violence ct I'in- cendie lit race toute la matinée. I-e fover s'étendant a ce nmrneni sur une longueur de plus de 100 ruètres. Vers 9 heures. l'incendie semblait locaÜ6é. I^s pompiers avec leur nou veau matériel. tout moderne, ont r»'-us- si h circonscrirc lc feu rnais le bèti- ment de Ia maternilé e»t détruit. 11 ne reste que les rnurs calcinés. I.e« Domtu'er.s sent encore restés plusieurs heures sdr les lieux pour ar- raser les décomhres funiants qui me- nacent k chaque instant de sc rallu- mer sous la violence du vent. On rcconnait lout dc suite 1 bot» me pratique dans la vie. I'nur ae g\:< rir d'un rhmn il d» pense q«ia:- franca pour l aclmt d'une pilule Sain Roch, et c'est fail. atl3-B4$'" Pèra fam. nombreuta tr - proui- dom. d hor.G-ur <m gajé 3' OCT, tot. ou part. Qui far» retro boun* tion E«rira ötil bur. journal. La nuit, ont 1 Les profanatcur» do tombe*. uit, «les iucounu'- ont profané 1 P» du cimetière icnts en bronze, des com Los qrands invalides de querre beiges k Paris. Los plus grands invalides de guer re francais se proposent de recevoir et fêter au mois de rnai leurs amis le« plus grands invalides de guerre beiges. Ceux-ci seront conduits, com me lors de leur-prócédentvoyage, par l'CF.uvrc des autqmoHllc^pour invali des dc guerre. BILLARD. CHAMPIONNAT DE acLOIQUI Premlèr* eatégorie. Rèeultalè techniques da mardl. Moon*. 400 points. 34 reprises, moyenne 1X.76. plus t-rrU> sèrlc, 57. bat Pepermans. 178 points.'on 33 reprises moyenne. 3.40, plus ,'ortc série 21. Semal. 400 points «1 reprises, moyenne 9.73. plus (orte rtrle. 64 bat Do Poncker. 378 points en 4t reprises, moyenne 9.21. plus forte «Arte "3. Moons. 400 points, en 16 reprises, moyen ne 23. plus forto aérlo 87 bat ÜAréchal. 173 poi.*.is on f6 reprises, moyenne 10.85, plus forte série 34. Horaire recltflé. Mercredl. a 13 D.. Semal-Van Helle; 17 h.. -Ualtns-Moons; £0 heures. Pepermans-Van Bt'.'.e. Jeudl. 13 h.. Baudart-Maréchal; 17 h„ Baltus-rcpennans; ;20 h., Baud»r4€«n*L A la lin de la séance do luudi après- midi, M. V ANDERV.iERIvS*( directeur géneral au ministère te l'agric-ulturf. et chef du cabinet du ministre rir.? appor- ter aux con gross is tes, les felicitation* du ministre de l'ngricult rre et la promesse do son appui dan* tcutes les iust<M re- vendication* tie Ia cla,4© agricolo. 11 nn- tionga en même teniiji rheureuse nou velle du rétnhli«teniejij de plusieurs pos- te* au budget de I'.'kriculture. M. l'abbé Thiry, .le la Federation ngricole de la provim» de LiégcM. l'abbé Mahieu ot. M. Forget, ingénieur agricole de la FétléraSioii agricole .-lo la province du Hainaut et M. Balbenr. ingénieur agricole, d-Iógué de la Fede ration agricole de 1^ province «lo Na tuur, prenaient égaem^nt part mix d 'études Mardi matin, les 1 fc ion* se réunirent a 8 b. 30; M. HFYLMAN", ingénieur électricien, traita dl l élcctricité dans la pratique agricole M.- VARTFSSF.N, inspecteur, exposa h (uestion bettorn- viferc. A 10 heures, une In-'avelle assemble© nléniere réunit tonsllra membres, sous U présidenco de M T. rein <iui souhai- ta la bienvenue h M. BAUW ENS, in specteur général au {niqistère de l'agri- cnlture, M. Giele, agr-.Borne de l'Etat, et a M. le profeetcttr Brusselman*. M. CASTEEI.S, ingénieur agticolo, examina les amélioi ati. n* cultnrales nul pourraient oncoro a^gnenter les rend. ment* agricole*. 11 nomb'rou.seo project succes. Après le diner e une visite ntix lot et aux maga-sins di A 2 h. 30. M membre du Comit. le discours do c!èt fhtence de la co ip tation de 1» prod; indikte pnrticulièrc- ment sur l'emploi j id rieux des engra et la lutte oontre k tee et des insectes. M. DUMON, ing«j te de Ia selection d- 1 ««nences. Sa ooti- férence tres instru ngrénientée de :niladics des plan- etjr agricole, trai teur conclut I obtint un vif oouiuiun, eut lieu ix du Boerenbond boulevard de Diest. abbé COLPAERT, dp-ectenr prononga ra. 11 paria de l'iiu ati-m sur l'augmen- tioi. Résumant les conférences précéd :it«»( l'éminent ora- rajriGultur© bclg. peut a bref délai - a condition quelle soit traité© sur le mèno pied que les autres industries nationale* suffirn tleinement »ux W ,.in.s nlimentairos de i Belgique. Partotit il »*-été donué de constattr que l'sgricujUre fait lo plus de progrès lk nu fc vie de l'association est la plu* inteiiK-. L'/^sociation doit vixr a englober toute Ia population (Ngricole, elle sera mieus »Miéc ponr »i^ porter a tons points de voir une aide ef- ficace, elle «era d'autart mienx en état d'a**nrer au plus tót et de la manière la plu* compléte, le progrei <gi agriculture. Le* membre* de leur cA4 doivent soute- nir leur association, ils doivent entrote- nir la discipline «t se péjétrer du verita ble esprit d'association. De rette f*^n des progrèa incont«talie* peuvent en core ctre realist. Que phacun t mette du sien, il «"agit du bie*4tre de r.o* po pulations rural»*» et dl relèvement de notre pays. Otto conférenoe fut «tr.ss applsudje M. PAREIN remercia tordialemcnt le* assistente qtii se ei^parbrent vers 4 heu res dan* le* tneillourea dispositions. TROIS VICTIMES P.Verbrnggeu avait quitté sa temuie, Stephanie Van Buysse, et son tnfant de quatre ans. Ces deux demiers alle- rent habitcr rue dc l'Ecluse, ia, k Vil. vorde, tandis que Vcrbruggen s instal- lait avenue de la Station. Verbruggtn fit plusieurs démarches pour repren- dre la vie commune, mais en vain. 11 jura tie se venger. Lundi soir, il guettait son épouse, le frère de cellc-ci et son enfant k l«ur sortie d'un établissement de la Grand- Place de Vilvorde. Quand il les vit venir, il tira sur lc groupe plusieurs coups de revolver. Gravement attein- tes, les trois victim<» s'écroulèrent sur les pavés, tandis que le meurtiier s'etnpr«»sait dc fuir. Les trois blessés ont été transportés k I'hApital de Vilvorde oü ils sont res tés en traitement. Des agents judiciaircs du parquet se sont mis la recherche du coupable. ARRESTATION DU MEURTRIER Après avoir commis son forfait,Ver- bruggen rAda un certain temps dans les rues désertcs. A un moment don- pé, amvant au canal de Willebroeck. il se jeta k l'eau, mais il parvint a se tirer de sa position critique par ses propres moyens. Mouillé jusqu'aux os, il alia sc réfugicr pottr se chauf fer et changer dc vêtements ebez sa sceur, habitant I'lace de 1'Abattoir, a Vilvorde. C'est li que la police l'arrêta vers 2 heures du matin. Intcrrogé.Ver- bruggen a déclaré qu'il avait été j.ous- sé par Ia jalousie. Tous les torts, d'a- près les témoignages, n'étaicnt pas de sou cóté. Mardi, le parquet dc Bruxelles s>st rendu sur les lieux. Les magistrate, après avoir acter les avcux du meur- trier, out délivré contre lui nn man dat d'arrêt, tandis que les praticiens sont allés examiner les blessures des j ictimes a ITifipital. Lettr état ne met pas leur vie en danger. Nous avons annoncé, lc jar.vier dcruier, 1'arrest a tion a Bruxelles d'un dangereux rat d'bótel, Dionidc Dysz- liuk, alias Daniloff, Ukrainien, auteur de nombreux eambriolagcs. On se rappel Ie que la' police judi- ciaire du parquet «lc Bruxelles l'avait arrété paree qu'on lc soupgonnait d'a- voir volé cu novcmbrc tqj'», dans une chambre d'hötel, rue Royale, des bi joux, valant 250.000 francs ct appartc nant k la cotntesse de Berlaitnont. Daniloff vient d'etre reconnu par unc femme dc chatnbrc comme ayant séjounié k 1'bAtel de la rue Royale k cette époque. Dans les malles de l'cs- croc, on a trouvé de nombreux bijoux, colliers dc pcrles, liagues, broches, etc. La police judicinire est parveuue a identifier certaius dc ces bijoux «x>m- ine apnartcnant k deux Américains »lé- pouillés cn Belgique par Dyszlink. D'autu» proviennent de cinq vols commis par le rat d'hótel, k Berlin. Er. avril 1926, Daniloff a passé que! ques jours k Bruxelles, dans un graml bótel situé prés de la gare du Nord. II surveilla les allées ct venues d'un Américain et profita dc 1'absence dc celui-ci pour pénétrer dans son appar tement. II fractura plusieurs valises et déroba des bijoux pour 60.000 francs environ. En juillct, Daniloff sc trouvait Ostende. 1! parvint k eulever les bi joux d'un a«-N-rcrirain, bijoux va lant 200.000 francs. Enfin, on sc 1 |dle encore du vul important count.is l'année derrière dans un bétel du centre de Bruxelles. Pendant l'absence «les occupants d'nti appartement, tin voleur avait visité un carton chapeau, d'oü il avait retiré une somme de 4.000 francs. Le voleur avait, par inattention, laissé tomber son bracelet, bijou en or. I.a police du parquet dc Bruxelles vient d'tdentifhu- eet objet comme ayant appartenu Daniloff, qui lc portait ostcnsiblement avant la disparition des 4.000 francs. Un petit nombre seulement des bi joux volés Osteude, Bruxelles et Berlin ont été retrouvés dans les ba gages du cambrioleur. On se deniande oü Daniloff a pu éeoulcr les autres La police judicial're fait des recherches a cc sujet. Certains bijoux n'ont pu être identi fies et proviennent en conséquence d'autres vols que ceux que nous nons de relater. Ce sot uotaimnent uu -'tui A cigavcUxa, en argent f>« émaillé nofr sur scs faces, avée «le largék bandes d'or 18 carats; one bagne en or nissc 14 carats, sertle sur platine d'une éme- rande entourée de petits brillants, des bracelets, dfes broches, etc. Daniloff nfe tout, même l'éridence. gouvernement allemand viert dc demander son extradition. CRUE DE LA LYS Dc notre corrcspoudant dc Deer- lyck Par suite des dernières plaies, les eaux de la Lys ont débordé «lans la régïon de Harlebceke. UNE FEMME ECRASSE A NAMUR. De notre corrcspoudant Samedi soir, vers 8 h. 15, l'épouse Albert Dubois, 33 ans. passait prés de l'b6pital civil en ponssant devant elle une charrctte k bras. Elle fut renver- séc par une auto conduite par le chauf feur Pierre N... La victime a été transportée k l'hópital avcc plu sieurs blessures. UN CONDUCTEUR TAMPONNÊ PAR UNE AUTO A MARCHEENNE-AU PONT. De notre correspondent dc Charle roi Un nomtnó Jean Ilendrickx, 59 ans, conduisait tine voiturc attclén d'un Ane. route de Beaumont, quand il fut renversé par unc auto dont le chauf feur continua sa route. I.a victime a été transportée chez elle, rue du Coron. dans un état eravc. 1^« r.liauffeur. Hippolvte Van Poel. au service des usines Léonard Giot, arrété peu apri-.s. a déclaré qu'il ne s'était apercu dc ricn. UNE AILE DU BATIMENT DETRUITE De notr© cori-eapondant Mardi matin, vers 8 heures. un vio lent incendie s'est déclaré k 1'hópitaL d'Alost. Le feu a pris naissanre dans les salleg de la matemité. Ces locaux, quoique dans l'ensemble Isoléa. com- muniquent cependant par uno extré- mité avoc le bótiment destiné aux in curables ct avec lo couvent des reli- «ieuses. Par les soins du personnel de l'hó pital et des voisins. les malades. heu- reusement pas nombreux. purent être rapidement évacués et une partie du matériel «les salles put être sauvé. Les pompiers sous les ordres du ca pital ne Fritz Dcwolf arrivèrent rapi dement suj los lieux, mals les jtravaux Inquiitanto disparition. Adol- phc Dupont, né lc 17 janvier 1910, ap- prenti ébéniste, domicilie avec ses pa rents rue Scrgent Dc Bruyne, 61, k Cureghem, s'était rendu, le 5 courant, vers 7 heures du matin, son ♦r.iv.nl Depuis, il n'a plus reparu. II a fait fiarvenir k scs parents une lcttre dans aqnclle il fait connaitre qu'il va net- tre fin k ses jours. Allez faire choür, Mesdames, d'une robe «I»Ngnnte, d'un manti^iu demier modèle dans Ie< rnacrasins 4 la Grande Fabrique, 26, rue dc la Vienze Noire. 8692-B8684J Vol d'argenterie k Ixelles Pendant une courte absence de Mme V.., domiciliée 1, nte dc la Belle-Vtie, 4 Ixelles, un malfaiUmr s'est Introdu-t dans sa dcraeurc et a volé pour 4.000 francs d'argenterie. Contre lo vol. Coffres-forta LIPS. 222. rue Rovale. Bnixelles. Union MatchtLa meilleure allumette a673 De beanx roeobles, do bons fau teuil*. 4 tou* les prix.De Cant e» Del- croix. 69. rue des Eperonnlers. Bnix. a7C3C L© banditisme nocturne. Mn Alice l>..., domiciliée rue de Linthout 4 Ettrr!»cek. en rcr.trant chcz elle. vers 2;, hciii'.<. j été attaquéc par un inconnu, igé dc :o ans, qui lui a arra clié sa sacoche avcc 45 franc*» st den objets de toilette. Important vol sur l'autobus. M. Joseph II.... ckmeurant rüc de 1« Concorde, 50, avait pris place, lundi soir. sur l'autobus, pla»x Royale. A rivé i destination, M. 11... 1 rorstat que- s-on portefeuille avcc 13.600 ft qu'il venait dc ton her dans une beii- que dc la ruc dc la Régcncc, ayatt lts- paru. Vol d'uno auto. M. Isaac hlan- rice, domicilié rtic de la Vallée, j Mo- leiibcck-St-Jcan, avait abandïi'né, lundi, vers 6 h. y du soir, son auto de vant un itmncttble dc la ruc. Quaml il voylut rcprcn«lre la voiturc. valant 15.000 francs, elk avait disparu. Une femme énergique. -- De 11 tie correspondant de Charleroi I.tindi matin, un inconnu penétrait, ruc «lc Namur. 1, chez Mtnc Lejcum négociantc a Dampremy. Au moment rette dame allait le servir, l'hotn mc lui déroba un jxyrtcfeuille contc nant 150 francs. Sans penfrc son sang froid, Mme I^jeune fenna sa potte ;i double tour et exigea dc l'in livid'i qu'il lui remit son argent avant dl' sot- tir. Ce qu'il fit sans essayer dc réqis- 1 croit qu'il s'agit de l'individu qui opéra quelques heures plus tard 4 Charleroi, nie dc Monlignics proion géc. Arrcstation a Hannnyères. Do notre coiresnondaiit «lc Mons Le nommc Vital Dubru. 22 ans, éva- dé de II«Mi2straeten. h commis un vol au prejudice d'un fermi'-r d© Hon ntivères qui l'avait rccueilli il a été arrété. Une fabrique en feu a Lokeren. Do notre correspondnut Dirnanchc après-mi«li, un incendi© a éclaté puur la 3e fois. k la fabriqii'-' de houchons ot de quercine 4: 1^ G»-- m-rale Lokeren. Heurct^unent, I»"- pompiers arrivèrent <-t rurent mat- triser 1© sinistre. Iji rouse du feu eat inconnue. inais 011 suppose qu'il y a rualveillancc. Asphyxié dart* sa cave. Un habitant «le l.i ruc dc Sch-ssin, 4 laé- gc, M. Fransquct, Agé «le 73 ans, a été dccouvert dans la cave dc «a dc- meure. Ia* malhetircux avait cessé dc vivre; il s'était asphyxié nu moyen du gaz. L'enquêtc a démontré qu'il s'agit d'un suicide. Un franc vojeur. -- De notre coi rospondaut do Namur Lundi. un mendinnt s'est introduit dans une piére du chAteau «la* La Percbv a Wicrde, oü liabite M Moncheur de Pierpont et a aérol«" «lans une wicocbc uno sornrnc de 225 francs. Surpris en fla^rnibt d«'*l 11 11 a été arrété par la gpiKiarnerit. C'est un norniné Jules Hanllrt. 48 an^, né 4 IUunpteatu dcmeunint' Pi'*d du Ghèteau, k Namur. Uno vtalUe affaire criminelle qui revlent sur le tapfs 4 Haine-St-Picrre. De notre corroepondant II v r quelque 35 ans, M. Mousticr, propriétair»», habitant un chfiteau.ruo «le la Heptn', fut tué Ia nuit d'un coup de maillet. L'épouse dc la ricti- »tic ainsi que M. Ilfirgnios. furent condamnés aux travaux fort-és. Hor- tniios. mort en prison, ne ressa ja mais de proclamcr son innorence. A la suite de dóclarations qu'aurait faites l'éixinse Moustier »N\uit sa mort. 11 résultereit que le maJhcu- reux Horgnics était innocent La fa milie de celui-ci vn rommeucer la procé«lure dc réhobi li tation. La «endarmerie »>t vcnuo que> tionnc-r nne cousine do Mme M«ms- tior. habitant Haine-St-Picrre, cl ie/ qui la criminelle avait vécu qiiclqu'- temps, après sa sortie dc prison. Solo-schlem 4 Rceulx. M. Hen ri Dubois junior a fait dimanrhe un solo-sohlom 4 Ronulx. PartenairO'- MM. Coppeai frèraa ot Carl Dunur Cx. Ie sucre RAFFINÉ de Titiemont. a859-Bl0t Ciiio-Tomate, Imitóe. female égalée. a825-B2f -- La Cbicorée La Belle Jardi nière est bicn la meilleure. nussi Imfauca Pas d'autre a4ü3-B26ö« P' vos conserve* éerfv. Solefl Maline». *775-BWt S. A Collette-Mühlen Graines et plantas, a Huy Dcinandez notre catalogue. êÉk'ó Le Grand Hótel-Rest Catbol. de Brux. tont Ier or«lre). 24. avenue ri'1 Midi.Grandes et belles r.hambre?.643f'R Le super-film San* Familie ri'nprèa M. Mnlot passera au Grd. Ci néma catbol. dos Families, ioudi 10 fév. k 3 h. et a 8 h. 6438-B737K Incendiaire arrété 4 Gallegham. Un grave incendie sc dcclara récem- ment dans le magasin de lin de M. C. Vandatmnc. Les «lfe.'its matérielfu rent importants, lcuAtimcnt contenait 35.000 kilos de lin. Le parquet fit une enquête et apprit que quelques jou:- avant Ie sinistre, on avait décotiv-:: dans le hangar une chaudelle allum.*- Ijc juge d 'instruction vient dc «U'li- vrer un mandat d'amener contre le propriétaire C. Vandnmme. Celui-<-i a été arrété. Deux accidents sur FEacauL Le navire beige Adour peu après avoir quitté le port «l'Anvcrs, luudi, a destination de Hambourg, fit e.v.i et menaga de sombrer, un peu en amont de l'éeluse Bonaparte, sur l'Escai-t. On constata qu'une des pompes dans la cale ne fonetionnait pas normal ment. On envoya immédiatemcnt «nr place un remorqueur, muni d'nne j»ompe puissante 4 la rescousee. steamer Omcra destine 4 être démoli A Dordrecht, a touché par deux fois nn banc de sable, tout rr. - du Doel. Chaque fois on est parvenu a le ren- flouer. II a pu continucr sou voya; Un peu engageant ami. De notre correspondant de Mons Un jeune hommo de Soitrnles, Ar- mand Roland. Atré de 21 ans, n'a dj_* trés bon euractére il courtis* une dr-moisellc de Braine-Ie-Com'e, nominee Yvonne I>ibnin. qri'il a déjè plusieurs fois menarée de mort. Au cours d'une visite qu'il fit 4 la jeune fille. le trop bouillant Son^xicn se présenta avcc un coutcau it r>'nou- 1 vela sea menaces. Cctte scène qui se 1

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La Libre Belgique | 1927 | | pagina 3