La démission de M. Millerand L'embonteiiiement ds siatadi |^e troisième centenaire de Ia fondation de New=York Préoccupé de la stabilité de sou régime, Mussolini cherche a régler les rapports du capital et du travail Sis;ï i: aar és 'Sas I .f-V<«--4 POUR LES GENS P8FSSÉS ASiïïsattja j %e%njz:z9z i üo-&ir%zneA R'\ a revu M. Herbette, ambassadeur a" V qui lui a présenté le nou vel ntta- r'litAre de France, le colonel Blavier. ltoi r:gu éwilement M. Jcan Jadot, erreuiXde la Pooiété Générale, et M Ja lotAii ccteur-pénéral de la construc- lu chenAn de fcr du Bas Congo, au Ka- La première locomotive de renfort va On recoil des nouvellcs au sujet des l omotivos eoinmandécs ft la Société C i II ii deslinatlon de Matndi. ia Société s'élait engaged ft livror los i •emlères machines le 20 juillct et les a i seinaine en scmaine. I.'on sait que 1< 4 la ré félicité le directeur ockcrill de ('effort n son personnel dans Mardi été produitcs dan ks 15 mai"; 203,0!»' Le mémorial pcnsons- L'n ïonct.. message ais par le peuplc beige Calvin COOLIDGE C'EST, HEL AS, INEXACT! certaines realisations sociaies :s. parfnitement conformes te tracé ces jours derniers. Raoul de NOLVA. En raison d'uno plus-value dos recattc intr'autros, M. Theunls ne songcrait plus ious grallfler de taxes nouvelles. Cc n'est guère avant juillet ions des certitudes au onctlonnalres. La Chambre a ent» ur les habitations a bon rpcllatio» 2 juin (dip. Itculcr). res re-mis en liberté par les irteurs d'une lettre de ces mme rancon des deux au- II ont pas été re lie lu», Ia i, puis de mille fusils, 100: irloucbcs. 30' ANNEE. N° 157. RÉOACTIOH-AOMINISTRATION 26, rue de lo Madeleine TELEPHONESi IÏÊD4CTIO* i 120.46, 220.49. 220.50.'290.00 ADMINISTRATE* 1 220.41 ABONNEMENTS niton cms ruiiüi Elle dépendrail d'un débat public des Chambres Paris, 1 juin (dép. ttavas). Les joumaux constatent que la siiuatii politique ne présente aucun changement dehors de la division que manifeste lc- Sénat 4 l'égard de Ia question présidentielle. 11 faut remarquer 4 ce sujet que les votes émls par les groupes du Sénat ne sauraient don- ner une indication définitive, puisque :es groupes n'étaicnt pas au complet. Le Matiii, parlant de la question présiden tielle, écr.t NOS LEITRES DE ROME Rome, 2 juin- la loyauté des patrons pour que ceux-ri tenlcnt point de diminuer les saü.x 5 L'analyse de la puissance capilaliste o tuelle de l'industri; atteste que Thali- i atteint le niveau de production de l ava it- guerre. Autrement dit, elle a dépassé, daas hious son ensemble, le point critique. Ccrtpii.ès Les I branches de la production obtiennent le e observer j gros benefices. Pour celles-la. un rclève- s manifestations du fasci avec trop d'intérêt dans les dive pour que Ton négligé celles qui viel d'avoir lieu ces jours-ci. Ge sont. a vr dire, des manifestations uniquernent or: toires, partant susceptibles de rectificatioi frequences et peut-être profondcc sccijtiques pourraient même faire ob=^.»^. r,--- - que la realisation en est probablement loin-ment des sola,res s impose. En ag.ssant nu- taine et douteuse. N importe. Bien qu en tremcnt la elaboration de classe reste- politiquc Tincertitude du lendemain soit de rait fatalcmcnt lcttre morte. 11 ne faut pas la definition toute récente dune par- qu ,1 en so.t amsi. Toutes les doctrines tie du programme fasciste ne saurait êtresocialises. expenmcntees le terrain de passée sous silencCT car elle répond a preoccupation essentielle laf stabilisation ^77 T p^'V'swialisme. la lutte de cl'ar la stabilisation rdesmforces du''proléuna!'0 Ce cjassc est la regie, pour le fascisme, ell. •que 1 excepti- n a appelé l'e: -ippui dessein mérite qu le dcveloppemenl mais pratique de ce que I périence italiennc de 1 api La réouverture du Parlement pour le dis cours du tróne a revêtu un caractère de so- lcnnité et d'apparat tombé depuis bien longtemps scuhsment théoriqueparoles precises de M Mussolini. sent, M. Millerand constituéra tout dé mime mcNc de la cérémonie, contrastant total. un ministère; ce ministère ira dovant les mcnt avec je laisser-aller démocratique des Chambres; s'il est renversé, cc sera uprès précédentes legislatures, n a pa< sabilité et dire s'il entend rendre impossible journal d oppositio au president l'cxcrcicc du premier de ses le tab eau de cettc effraie nullement si j apprends qu un syndicat fasciste a déclaré une greve. Je me dis, au contraire Ce syndicat, mnlgre toute sa volonté de conciliation, s'est trouvé a 3 midi lumuc n~ien presence d'un patron si têtu 'qu il a désuétud^ La^plendèur"for- épuisé toute Ia patience collaboration- - de la corporation locale. Ce syndicat scourir a l'arme de la greve après j" 1"échec de tous les autres moyens dont il irques. Ün disposait. Ce n'est la qu un simplje^epMSode^ la Stampa, en tracant oté lïr devoirs, qui est de nommer ponC'qS lfj^cftond'être.rt de Ier' k l'ordre 'e de vivre produite pi •- of,ner. M. Mussolini n'hésite done pas a rappe, l'ordre la classe patronale, -t, en 1 es- ]|Jv la Confederation générale (patrom. ment. De auront été appelés a l'Elyséc et qui auront paraïtre, la joie ae vivre prouui.e <o-ir«-• y -- y--v r. r rcfusé le pouvoir assumeront, cliacun en ce semblée. Cette constatation est exacte. nale) de 1 ïndustne. L. est qu qui le concernc pour l'avenir. les conséquen- Mais ur que l'impression soit durable, ilfment a ce qui s est passe dans 1 agriculture ces de leur attitude.En pare,11e circons ancc faut e ,es conditioils sociales. assurément ou proprieta.res et ouvriers ru i! y aura done bataille parlementaire et dans - déj& trouvent unc base pacifi- être englobes dan: cette bataille les adversatres et les pai^o. ^'^C que lcs rapports entre capital et capital industrie a pay -m -I. -1 mill ie compteront au grand jour de ■e n'est qu'après l'issue de ce aeuiu nisiu-uavai. u»h..c»a rique que M. Millerand prendra ses déci- cipes de 1 equite. La est evideuuiicm wi 1 aim non de 1 hormonic social. des prin- tonomie et qu'il offre. en co; nt la con- une résistance parfois tres forte aux re formulée» dans fa Le travail dans la Ruhr iter les Groupc de pérsonnalités américaincs ct beiges, ii la Iribuiic, pendant la fcle. Batlery Park. On peut remarquer ilHerbert Hoover, a droite, et a cote dc ''artier de Marchicmies, ambass adcur dc Belgiquc aux Etals-llnis. L'anniversaire du Roi fieorge II est iêté par la Colonie britannique qui entend un discours de Sir (ieorge Grahame n banquet des plus brillant tie brilnnnique d. Bruxelles, l'anniversaire du roi George, ure des toasls, sir George Grahame, deur d'Anglctcrre, a salué Ie roi mployéesGeorge ct le rol Albert. Puis, i' prononcé i <iont nous détachons le passage Les traitements du personnel de TEtat L'clahoration du nouveau barème Ou s'est éntu, dans certaines administra tions de l'Etat, des informations publiées par différents joumaux au sujet des résullats des iravaux de la Gommission chargée d'élu- dici: la question délicate de la péréquation des traitements du personnel. Les chiffrcs ct les coefficients publiés sont fort commcntés 1 et l'intcrprétntion inexacte do ci Un téiégramme du président CooÜdge dictatcur itahen s dijburs''' if" A,bert a rci;u du Président Cooliilgc, i les formes de raétmtl'n?- jji^rtuche? 11 a lm-meni^^dans cccii-^urs.^.gram^suivaiH- Par'IC> ^narenrs' la'gmmhe réP"o'csÏnt coMre^u'te'aUciiite uses aans toutes les tormes öe l activite na-.Sg-Jj - - ''fcl uu rnandat con- tionale, servent au rclevement des classes est Toütefóis certain que M. H\5"|7nr l'Asseinblée nationale au président ouvrières. a quelque catégorie qu'elles ap- s'écarte de la formule ordinaire du gé de la Républlque. partiennent, manuelle, technique ou profes- nement conservateur et se préoccune n état de malaise tout 4 fait in- e dc justifié. Nous avoris cnterulu des agents se - 'in atlalt être i. II importe, Jev-1 di'minuée i oeiiui a uuupic ia motion voice uimancne - j- - dernier par In cartel des gauches contre Ie ndlcf"e moïcns d V président de la République. ■espondant parisien) C'ftait au Sénat, hier, que sc concenlra. tout l'intcrét. II s'agissait dc savoir quell altitude prendrait la Hautc-Assembl/e dan la grande question présidentielle. Disons ton - -de suite, que no sénatcurs dc la gauche di'mc Ostitl'" c'csl-i-dire le parti radical-sock en -jota'H soni Pr0"°l'c^s contre it. Millerana Out/r Au rnrVL01'0" 'JOliC an cane^j n„, iir .v,.i le perfectionnement et la stride observation I thcoriques des contrats de Iouage de service, le déve- gouvernement ou d'en sortir. loppement des assurances sociales. la par- Une chose mérite, a ce propos, ticipation effective des ouvriers et des pro- signalée Un fasciste de Ia première hcu ducteurs (dont les intéréts souvent diver- M. Massimo Rocca. vient d'etre cxpulsé gents devront concorder en une résultante) parti pour indiscipline. Or il avait soute a la politique économique du gouveme- les idéés d'équité sociale dont lc chef ment, sous forme de conseils ou autres or- gouvernement a donné ces jours-< iültatifs exislant ou a créer. Ce, mule si nette. Cette contradiction chose qu'une affirmation doute éclai publique et solcnnelle dans la boucheEnfin, ces indications se compléten! même du Roi, du principe de la collabora-1 un passage de l'allocution prémonitoire gauches. Quelle significa- j tion de classe. proclamé comme nécessité noncée par le dictatcur devant ent difficile dc lc dire, j'ai j suprème par le fascisme dès son avène- quatre cents députés. soit la majorité d< "■'ML soit d fa C/iam-ment. Chambre. L expériencc qui consiste a 'inurr^, firrsnnnntilé< i I - JX4 !LIl:_:I. i i Charr. I E5^s qui sc passe a sa maniire, et dame aux chif frcs une valcur différente. Void ce que disent les défenscurs dc it. Millerand le Président sclon cux, peut trés bien tenir: les radicaux- soclahstes du Sénat sont officicllcmcut au tut linlt?AU(fi,f '"'ssion est oncore loin d'Otrc nu point. On a «eïi f™1" 'l"lr ,e Conscil 'l'v minlstrcs nva.t été saisi des I inexact et le I minlstrcs a été saisi des résuitats de ce travail. C'est tmier ..linistre Jnl-méme n'cn Pas inforiné. La sous-commission qui s'. :- ntre alliés sur cuPe 'Ie la situation du pe mei adminis- fait prcuve do j tratif travaill- acüvement ct elle a établi plu- gie. Nous qui sieurs projets répondant 4 des ordres de dé- t particuliere- penses différents pour ce qui concerne le trai- «na^mnt.0Tap .Je ombrc de 160. ont voté contre il. Millci compter que tous les advci poste. Les 40 abstentionn pas contre le Président de un scrutin public: done dans un Sénat de 316 men tres grands partis de l'L'n présidés par it de Selves I d'en cs étaicnl -'publique, dans 1 n, >0 irréductiblcs s. Les deux au- républicaine I P omptent 100 c{ La veille de ce jour, M. Mussolini avait surer le fonctionnement de I; traité largement cettc question dans un dis- fasciste. a-t-il dit. est difficile a e cours prononcé au Congres des corpora- Elle constitue assurément le derni tions fascistes qui comprennent. a l'hcure parlementaire que fait I'Italie'. S'il échou t-résente. deux millions d'adhérents. et qui il n'y autait plus qu'a fermer Ie Parlemt tend«nt de plus en plus a reslreindre ou et a le remplacer par d'autres meme a éliminer Taction de la Confédéra- Oue seraient ces institutions nouvclh tion générale du Travail, liée étroitement. II n'est point malaisé de le dc cux sinon1 ouvertement. du moins en esprit, au raient évidemment les fameux conseil! 1 s.0,c'a sme' Certaines observations du pré techniques que M. Mussolini projetait de 'Hard. II semble que lident dit Conseil éclairent le chemin par- créer, et qui, laissant Taction purement po-l P'une part, pour V.r2i itre budget en équilibre'm li peut rapproclicr los den) ce discours, salué de longs applaudisse- s, M. Simons, président du Comité or- sateur, n répondu par un toast chaleu- 4 I'adresse do Tambassadeur. A i du banquet, un bal improvisé a ter- miné cette excellente soirée. .u congres d'Ostende, M. Tschoffen a pu toneer que les réalités budgétaires l'cm- tcraient sur les prévisions d'environ 500 lions. On s'est demand.- si, dans ces con- ons, M. le ministre des Finances croirait oir passer 4 l'exécution du programme fi- icier qu'il avait tJmfdcment ébnuclié ct -- devait se trnduire par des contributions I ®°?E- Deux autrcs hvdro-.- 1 velles 4 concurrence de plus d'tin demi- CHUTE fl'U.N HYDRU-AVI0N Item luén Riga, 3 juin (dép. Time meeting d'~—ra... hydro-avion est tomhn d'nn. don est"tombé dTui s deux occupan Au point de a seulement les pactes de r les corporations fascistes n'ont pas em- 1 la situation du prolétariat. mais dans tains cas ils l'ont rendue plus satisfai- c ite. II a reconnu aussitót. il est vrai, que otlnrt ion du prolétariat urbain ou indus- téress it pas aussi bonne. Et il a saisi Toe- progri ui s'offrait a lui pour faire appel a i, les dépenses scrorrt 1920, 4 5,5001 Hard, los d. a gés. tement fixe des TEtat. Elle s'c-st mise d'accord a- propositions 4 faire concernarit la partie mo bile des traitements, sujette aux influences dc Tindex-number ainsi que sur les indem- mtés accessoires de résidonce èt familiaio. On a dit que l'indcmnllé mobile évolue- rait entre 1,009 ct 5,000 francs. Erreur. II n'est pas question de réduire cette indcmnlté nu taux de base de 1,000 fr. Pour cc qui concernc i'indcmnité de rési- dence, il est vraisemblable qu'ellc ne sera conservée quu dans lc-s centres importants. Quant a l'indemnilé familiale, il n'est pas exact qu'c-lle doive être diminuéc pour ccrtai- nes categories d'agents; au contraire, pour tout lc personnel en général. elle sera plutfil relevée. C'est 14 le danger dc ces informe le j 'ions prématurécs qui jetient dans 1e person- 11 ajorité contre lc Président la République, ct M. Millerand n'a qu'a tenir sur sa position q est trés constituli ncllc. A cela, les adversaires de M Millerand pondent, que jamais le Sénat ne eonsenlirc voter Ia dissolution de la Chambre- el I conséquent, tót itle. Ijs ajoutent que d'ici quclques1 p ,-jL'aiitonomie financière du chemin I de fer UN BALLON FGUDROYE intiendraient^U ncnées de 0,192 rnilli. demicr et lel l U'°.,!v' a»tre Part. oraina. "Sr5 v®^nl' P°ur a -700 millions el i,6fid millions en 1925. On peut mesurer le irage fiscal de la Belgique 4 ce soul trait in n°S rCCet,es ordinalrcs sV nt i - 'tril mc des COTPs- r fau' y ajouter environ un demi-milliard f existence de I'electron Efü. "ctms e" -compte capital".j Phabileté feminine d diviser. soustraire el "0,nrnn'<"•«'- occupcnt dans ces multiplier, je conelut d la supériorilé de la - itlimitiquc Etes-vous a la page? Pour ma part, je retardc. Par excmplc, liens I atome pour 1'clément te plus infi- des corps, et voild qu'on m'anprend iours, des manifestations poputaii duiront autour de l'Elyséc. V'aines mena et 1) ce propos, attention Oui fera ces in testations Le parti communiste, ear lui dispose des effcctifs suffisants pour créer l'agitation dans ia rue. Mais alorsle bloc gauches avoue publiquement qu'il fait. Ie J I i.d,7.rf.i I. A r; l-a Commission spéciale de la Chambre T:"!: milLi nf' Jm1 1 1 chur?ée d'examiner le projet dc loi relalif a d'Jl 1"e d m Tautonornie financière du chemin de fer a coiimicncé ses travaux mercredi matin. éxö Elle n'a pas abordé encore, au cours dt- j cette première séance, l'examen des ques- j tions ile fond. Elle s'est uniquement précc- I cupéc de la designation de son rapporteur. 1 Mais la Commission n'étant pas en nombre, j il a été décidé que ccite désignation serait faite 4 la prochnine séance. l.eS socialistcs proposent le eholx dc M. Bologne. II est possible que Ton désigne aussi soit M; Segers. soit M. Lemonnier. - P. D. -.1 les radicaux-socta- listcs répélcnt partoul ct sur tous les tons C'est une affaire réglée, Millerand est oblige dc s'en aller, il nc peut pas insister Mais cu réalilé, its craigncnt earmément M. Mille rand cl its bluf/ent tant qu'ils peuvent pour l'Elyséc NOUVELLES DE LTNTEItlEuj Jacques ROUJON. udlences royales Le franc a Londres Missionnaires ranconnés utile émoi. 7-c travail de la sous-commission pren dra done encore un certain temps J'ai tout lieu de croire qu'il ne sera pas achevé avant la mi-juillct. Actucllement, la sous-commissinn s'occupe de Tapplication des bases qu'ello n arrêtées pour l'indemnité mobile et les indemnités accessoires r.ux ca dres spéciaux existant dans les différents dé- partements personnel enseignant, armée etc. II restera ensuite 4 établlr une hannbule nécessaire entre les propositions se rappor- innt aux fonctionnaires et celles intéressant les magistrals, car une sous-commission, s'occupe aussi des troi- dc la magistrature. Co m'apprend producti dommages de 1 nses un rang prépondéranL ËÏlès V'élt j ftUe d'Eve dans ire dernier, les changes étrangers é'.anl oblienl des résullats supérieurs dc 100/109runs alors seuSnênt"fi*'er' 'ïnmnnlnn» T",'" m.D'mns. d ceux du beau sexe. p'our mot, CAri® I dé^a dan^Stes lypoZ^ et puls lors. ,1 est vrai. le franc beige a re- ^bMcouvril VAmérique vers fan Ü02 ètablir des prop u" .léfiniti^sTsonmet- ,nn'duvnvirona350 milliras^Li"'^8 tPt°r Vrtü"' 'VTTne encode'l»C^ia.' de faire.face aux TOO millions de 1 Verte Ei'ri ges permnnentes du budget des réi - done pas néces- qui bombardérent Paris couver- btabic distance. Paris Petite dire, en parlant dc Ia terre du fesscur R. II. Goddard, de New-York 1025, toutes les charges r des recettes purement beiges, u.x impöts sont votés. Les verse.... Ilemagnc pourront être consacrés au ent des Indemnités 4 liquidcr et 4 tissement dc Ia dcttc.' i la Belgique aura restauré ses finan- ns un état analogue 4 celui de 10Ü et ons de Verte Eirinn. alia, dés le IX' siècle, écan.jé- 'l"e temps... épara- hscr lc pays du dollar. En balislique.je donnc Vous avez lu la déclaration faiti dc re- ta pa me aux grosses Berthas allemandes "at par M. N ujean.On ne sera nas o oui nnrnhnnlèrm1 irnr;, ,r..„. u 11 quelque autre ''oceupc a braquer esque projectile - au Sé- ne sera pas p. pour „,£'r juillet, mais les augmentations auront ri fose effel rétroactif 4 cette date. Ccpendant, lo - ~ro-1 premier mois d'augmentation devant en tout de é-tnt de cause, être versé 4 In Cnissc des veu- ullage yankee, j V£S r'i orphcliiis, ce n'est qu'au Ier aoüt, en is quel 11 julevcr- realité, -que le el joulra du bénéflco ingerq trenle-stx ',u rclevement. Je crois pouvoir dire, dès 4 Plaisanterie d part, lc siècle ne marchc j réaliser u il court. La nouveauté de chaqi décidé Comme en Belgique s semmes vont voter en Angleterre Londres, 3 juin (dép. XXe Siècle «ira prise aujourd'bul pur'i. cu' I ïS-'rar! 2T. »SP^*» &4feS.*!5MS;Vè Té', EsêEE Les Wlans d une catastrophe laisserait pas d'ilrc intéressant plus fort perpétuel si, avec chaque trouvaille, il ne paran/sait- plus en nous la facuité d'admiration. Les explosions de Koumanie ont fait 97 victimcs du Suffrage universcl, le prójet de loi I r la représenta- modifier la loi iu pcuple, de 1018. gouvernement a virtueUement promis projet, et on peut considérer, nt, que eet amendement est voté. 1 seult question 4 débattic était celie f a l'-'i?e- D'aucüns préconisaient l'é préconisaient l'4ge c-proposition adhocVOraCC contre 11. Ts'i-Kn. Pelletier d'Oisy en Corée fanterie ,ulu I, ueuicri été détruits. Lo üeutenant Pelletier d'Oisy, renxnt de Mou- La responsabillté dé Ia Pyong-Vang dans la Corée. tribuée 4 des bolchevistes IL EST OEJA REPARTl grand nombre Nagasaki, 4 juin (dép. Reuter 1 Portés. rune Pelletier d'Oisy, poursnivant i-dessiis dc la Corée. est arrivé Les explosions de dépots de munitions eu Roumanie ont fait 97 victlmes.se dénombrant wmi?eA?Ui«70 soldats. 7 officiers, 20 civils. J dépots de munitions appartenant 4 Tin- °'i° 20 appartenant 4 Partlllerie ont >n I Les "£S produltes par ies explosions k| sesonTéievées 4 30_mèlres et olies onl pu être aper?ues 4 une distance de 80 kllomètres. 15 CENTIMES le numéro.. -* EDITION if- if LEXXSIÈCLE JOURNAL QUOTIüÏE.lj - TRÖIS EDITIONS 1- édltion IS h. - 2- édit nn 22 h. - 3- édition 3 h. JEU Dl 5 JUIN 1924. POUR LA PUBUCITÉ LIS ANNONCES ET LES RÉCLAMES BUREAU DU JOURNAL 25. rue de la Madeleine BRUXELLES Télêfhox» i 220.41 Adresje télégr VIN'SIÈCLE i 40232 I PA'A CHHISTI1H RE6H0 CHRISfl

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Le XXe Siecle | 1924 | | pagina 1